LA CPME et le MEDEF contre la mise en place d’un CETU obligatoire

LA CPME et le MEDEF contre la mise en place d’un CETU obligatoire

Après consultation de leurs instances, le MEDEF et la CPME ne participeront pas à une négociation ayant pour objet la mise en place d’un CETU obligatoire pour toutes les entreprises. La négociation interprofessionnelle au titre de l’article L1 du code du travail sur « l’emploi des séniors, les transitions et reconversions professionnelles, la prévention de l’usure professionnelle et le Compte épargne temps universel (CETU) » n’a pas abouti. Dans un communiqué commun, les deux organisation patronales expliquent leurs sujets de désaccord.

« Au cours des 3 mois et demi de discussions entre partenaires sociaux, tous les sujets ont pu être abordés et travaillés. Le MEDEF et la CPME regrettent qu’aucun compromis n’ait pu être trouvé malgré les nombreuses propositions et avancées sociales intégrées dans l’ultime proposition d’accord proposé par les 3 organisations professionnelles (MEDEF, CPME et U2P) aux organisations syndicales dans la nuit de mardi à mercredi dernier, au terme d’une séance marathon de 48 heures.

Ce texte avait pour objectif principal d’augmenter le taux d’emploi des actifs et de créer les conditions optimales d’un allongement de la vie professionnelle, en veillant à la qualité de la construction des parcours et à la prise en compte des situations particulières conduisant à des phénomènes d’usure professionnelle : CDI spécifique pour les demandeurs d’emploi séniors, négociations dans les branches et les entreprises de plus de 300 salariés sur l’emploi des séniors, aménagement facilité du temps de travail en fin de carrière, ouverture du contrat de professionnalisation à l’ensemble des salariés, amélioration des dispositifs de transitions – reconversions notamment dans les entreprises de moins de 300 salariés, etc.

Ces propositions n’ont, semble-t-il, pas convaincu les organisations syndicales, pour lesquelles l’enjeu était avant tout de faire de cette négociation l’acte II de la réforme des retraites. C’est un échec collectif et un mauvais coup porté au dialogue social interprofessionnel auquel nous restons fondamentalement attachés.

Force Ouvrière a pris officiellement position et ne signera pas la proposition patronale d’accord national interprofessionnel. Les autres organisations syndicales devraient se positionner cette semaine.

De fait, la négociation est donc terminée. Dès lors, il est inconcevable que les discussions se poursuivent sur l’ensemble des sujets déjà traités y compris sur les reconversions professionnelles : cette initiative de l’U2P, qui a pourtant validé la dernière version du texte transmise aux organisations syndicales, ne peut qu’être qualifiée de déloyale, notamment au regard de l’ANI paritarisme du 14 avril 2022.

S’agissant de la mise en place d’un CET universel, le MEDEF et la CPME ont affirmé dès le départ, et sans aucune ambiguïté, leur opposition à la volonté du gouvernement de mettre en place un CETU « obligatoire, opposable et portable », applicable à toutes les entreprises. Son application poserait de trop grandes difficultés notamment aux plus petites entreprises.

Alors que l’U2P, de manière pour le moins surprenante au regard des difficultés que cela pourrait poser aux artisans et aux TPE, considère désormais « que ce dispositif contribuera à accroitre l’attractivité des TPE auprès des salariés », le MEDEF et la CPME réitèrent leur opposition à la mise en place d’un CETU obligatoire et généralisé, nouvelle contrainte pour les entreprises, y compris les plus petites d’entre elles.

A nos yeux, et au-delà du fait que nous considérons que le rôle d’une organisation patronale n’est pas de prôner de nouvelles obligations pour les entreprises, les obstacles qui rendent inapplicables un tel dispositif sont en effet nombreux :

  • pense-t-on vraiment qu’une entreprise embauchera un salarié avec 35 ans d’expérience sans possibilité de savoir ce qu’il a placé sur son CETU, prenant ainsi le risque de le voir s’absenter plusieurs mois sans avoir la capacité de s’y opposer ? Alors que le sujet de la négociation était l’emploi des séniors et que l’objectif commun était d’augmenter le taux d’activité, le CETU aurait l’effet contraire, en désincitant à l’embauche des séniors, potentiellement porteurs de CETU chargés à bloc.
  • comment valoriser, par exemple en 2054, une heure à 15€ placée sur son CETU trente ans plus tôt, en 2024, et ce alors même qu’un salarié aura pu évoluer, changer de statut et de rémunération ? Une simple revalorisation ne suffira pas pour compenser et maintenir intégralement le dernier salaire.  Le dernier employeur devra-t-il abonder financièrement ? Cela risque de dégrader la compétitivité des entreprises : à minima, la gestion du CETU engendrera nécessairement des coûts supplémentaires pour l’employeur en termes de frais de gestion, que celle-ci soit internalisée ou externalisée
  • comment remplacera-t-on un salarié d’une TPE/PME souhaitant activer son CETU et s’absenter plusieurs semaines voire plusieurs mois de son entreprise ? Imagine-t-on vraiment trouver, sur le pouce, par exemple, un cuisinier ou un chef de rang remplaçant dans un restaurant ? Et si l’employeur parvient à trouver un remplaçant, qu’adviendra-t-il de lui par la suite ?
  • en termes de trésorerie, un modèle de gestion mutualisé du CETU, tel que préconisé, implique un versement de la part de l’entreprise et donc, à chaque fois que le salarié épargne un jour, une sortie de trésorerie. Ce sujet est particulièrement sensible, notamment pour les TPE-PME.

Plusieurs organisations syndicales ont-elles-mêmes reconnu les risques de ce dispositif : il est d’ailleurs à souligner que le CETU ne faisait pas partie des 10 revendications communes portées par les organisations syndicales dans le cadre de la négociation.

Nous restons fidèles à la ligne pragmatique qui a été la nôtre tout au long de la négociation, avec pour seuls objectifs la compétitivité des entreprises et l’emploi. Nous n’entendons pas participer à une discussion visant explicitement à instaurer une nouvelle obligation pesant sur les entreprises. Chaque entrepreneur doit rester libre d’instaurer ou non un CETU.

Pour toutes ces raisons, le MEDEF et la CPME n’entendent pas participer à cette « négociation ». »

Nouveau : le laser tag débarque à GO PARK !

Nouveau : le laser tag débarque à GO PARK !

Il ne manquait plus que le laser game pour compléter le large choix d’activité chez Gopark (Pontoise) ! Après le paintball, les trampolines, le foot, le footbulle, les défis, Gopark étoffe encore son offre. Le site propose une nouvelle expérience : le laser game, ou plutôt du laser tag : décors, ambiance, matériel, tout est pensé pour une immersion totale. A tester durant les vacances !

Une surface intérieure de 1000 m² est dédiée à cette activité, sur double niveau en mode urbain. Ce terrain laser game tactique va au-delà de la pratique usuelle de par sa configuration repensée par des pros du jeu tactical. Une zone de brief et une zone neutre accueillent les nouveaux joueurs et les joueurs en cours de mission. Pour jouer, Go Parc a investi dans du matériel dernier cri, nouvelle génération de type Falcon (ultra réaliste), avec sa technologie d’impulsion de recul pour les émotions vives et inoubliables. Son viseur point rouge augmente la précision de tir. Les joueurs sont également équipés d’un bandeau de tête avec capteurs.

Sur un complexe refait à neuf, les sessions de laser sont systématiquement briefées, encadrées et débriefées pas des pros de l’animation qui font vivre des missions de jeu démentes. Le laser tag s’adresse à tout public à partir de 6 ans et pour toute occasion : anniversaire, enterrement de vie de célibataire, team-building d’entreprise, une activité accessible par excellence. Egalement sur le complexe : vestaires, douches, espaces club-house et restauration pour un confort optimal.

CY Forensic School sous les feux des projecteurs

CY Forensic School sous les feux des projecteurs

CY Forensic School, 1ère école de science criminelle en France, a été inaugurée au cours du 1er trimestre à la Maison Internationale de la Recherche de Neuville-sur-Oise. Cette inauguration a permis de faire le point sur le chemin déjà parcouru, et de donner la parole à ses invités et experts. Depuis sa création en 2020 dans un contexte de pandémie mondiale, CY Forensic School n’a jamais eu l’opportunité de fêter son inauguration officiellement. Pour y remédier, une soirée spéciale d’échanges et de débats, a été organisée en présence de François Daoust, directeur de CY Forensic School et du CREOGN (Centre de Recherche de l’Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale). Forte de la présence de ses 80 invités, mêlant enseignants-chercheurs, forensiciens, étudiants et jeunes diplômés, la parole a été donnée aux experts pour analyser les possibilités et les limites de l’IA au travers de la science forensique.

Sous la modération d’Edouard De Boysson, directeur des programmes Formation Continue chez CY Tech, une 1ère table ronde a réuni 4 éminents experts (Adrien Vincart CY et PwC, Etienne Pillin Clotho AI et le Commandant Thibaut Heckmann du CREOGN). Ensemble, ils ont exploré les possibilités révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle dans la forensique, tout en examinant attentivement ses limites et ses implications éthiques.

Par la suite, 2 doctorantes ont exposé leur thèse respective : Mathilde Récipon a présenté ses recherches sur la mise en évidence et la modélisation des traces biologiques, visant à optimiser leur prélèvement en vue de l’identification génétique en criminalistique. Menés en partenariat avec l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), ces travaux présentent une stratégie innovante de détection des traces de contact basée sur une combinaison de cibles ADN et cellulaires. Ces traces biologiques revêtent une importance capitale sur une scène de crime. Laurène Renaut a partagé son étude approfondie sur le concept d’étrangeté dans la construction identitaire des cyber-militants de l’État Islamique. Son analyse éclaire les mécanismes complexes de radicalisation en ligne et souligne l’importance de comprendre les dynamiques socio-culturelles dans la lutte contre le terrorisme. Durant sa présentation, elle a notamment mis en avant son utilisation de la linguistique forensique.

La soirée a pris fin autour d’un moment de convivialité offrant aux invités l’occasion de poursuivre les échanges dans une ambiance festive et enrichissante. CY Forensic School : une école qui rend accessible un parcours universitaire entièrement dédié aux sciences criminelles avec une palette d’enseignements diversifiés.

L’ambition de CY Forensic School est d’offrir des parcours de formation spécialisés pour des publics divers dans le domaine de la science forensique, mais également de proposer des enseignements conçus à la carte pour les professionnels et les partenaires institutionnels. Ces parcours de formation permettent aux apprenants de développer une culture forensique et des méthodes de raisonnement incluant l’interprétation des données, la détection et l’analyse de signaux faibles (les traces), la gestion de crise, l’appréhension d’environnements particuliers, etc.

Sa création répond à une attente et un besoin général. En effet, bien que notre pays soit particulièrement reconnu dans ce domaine à travers les unités de police technique et scientifique ainsi que les laboratoires de criminalistique, il n’existait pas encore de parcours universitaire spécialisé, à l’instar de l’Ecole des Sciences Criminelles de l’université de Lausanne (ESC UNIL) ou de l’université du Québec à Trois Rivières (UQTR), universités avec lesquelles CY Cergy Paris université a bâti un vrai partenariat. Le Pôle Judiciaire de la Gendarmerie Nationale (PJGN) vient compléter ce partenariat quadripartite.

« Aujourd’hui, l’école regroupe 344 apprenants formés, explique Stéphanie Le Marec, responsable du pôle Conception de formations et de projets. Par ailleurs, depuis septembre 2023, l’école accueille la 1ère promotion du double diplôme Licence Science de la vie et DU Science forensique. Le programme de la licence a été aménagé de façon à permettre aux étudiants en formation initiale de suivre le double cursus en 3 ans. En investissant ce champ d’expertise, CY Cergy Paris Université prépare l’avenir en répondant aux besoins constants et évolutifs de l’exigeante science criminelle. Analyse de la trace ADN et numérique, biométrie, ou encore nouvelles technologies au service de la sécurité et de la criminalistique, nos apprenants développent des compétences de pointe dans de nombreuses disciplines au service de la résolution des affaires criminelles complexes. »

Inauguration de « Ampère Village » : l’ancien parc d’activités SOMAG intégralement rénové

Inauguration de « Ampère Village » : l’ancien parc d’activités SOMAG intégralement rénové

 

Dix-huit mois après la pose de la première pierre en octobre 2022, l’inauguration officielle du parc d’activités Ampère Village (ex-SOMAG) marque la fin d’importants travaux qui ont permis la transformation et la réhabilitation du site. Ce projet, co-financé par la foncière privée SOREMI, IDF Investissements & Territoires et la Banque des Territoires, offre aux PME et TPE du territoire de nouvelles opportunités d’implantation pour leur développement.

Elle marque la renaissance d’un site bien connu des acteurs économiques de l’agglomération mais vieillissant et peu adapté aux nouveaux usages. Cette opération de requalification exemplaire permet de maintenir l’emploi local, d’offrir plus de services aux utilisateurs, et d’attirer de nouvelles entreprises. Aujourd’hui, le site rassemble 110 locataires et compte une cinquantaine de sociétés domiciliées.

Rénové en profondeur, le site de 12 000 m2 comprenant trois bâtiments est complètement adapté aux besoins de l’écosystème entrepreneurial local et propose une offre de services en ligne avec les nouveaux standards. Avec des bureaux modernes et des espaces d’activité et de stockage polyvalents situés à proximité de l’incubateur La Turbine, Ampère Village propose un parcours résidentiel qui correspond aux attentes des startups et des PME/TPE du territoire.

Ampère Village, constitue l’un des rares parcs d’activité pouvant accueillir des PME et des PMI à partir de 20 m2 et jusqu’à plus de 200 m2 avec une grande mixité d’usages : bureaux et locaux d’activité destinés à des artisans ou industriels mais aussi entreprosage et stockage d’archives.  Parmi les services proposés, des salles de réunion sont mises à disposition des locataires, ainsi qu’une crèche, la réception de colis, de lettres recommandées et des bornes de recharge sécurisés. L’ancien restaurant cherche un nouvel exploitant pour prendre la suite et ainsi offrir une offre de restauration revisitée.

Le projet a mis l’accent sur la réhabilitation de deux bâtiments existants et la reconstruction d’un troisième, ainsi que la mise en conformité au regard de la nouvelle réglementation énergétique pour des bâtiments tertiaires (décret éco-énergie tertiaire). Le niveau de performance énergétique du site sera élevé avec les certifications « Breeam very good » pour le bâtiment neuf et « Breeam very good » pour les bâtiments rénovés.

L’événement a été marqué par la présence de plusieurs personnalités :  Stéphanie Von Euw, maire de Pontoise, Alexandra Dublanche, vice-présidente de la Région Ile-de-France en charge développement économique et présidente de la SEM IDF Investissements et Territoires, Julien Nessim, président de la foncière SOREMI, Ludovic Valadier, directeur régional adjoint de la Banque des Territoires Île-de- France, ainsi que de Olivier Pagezy, DG de IDF Investissements & Territoires.

Contact 
Clotilde VAILLANT – Responsable site Ampere Village
Tel : 01 30 30 92 77 – Mob : 06 18 40 10 97 – Du Lundi au Vendredi : 8h30 – 12h30  / 14h30 – 17h00

 

La seconde phase du retail park Parenthèses vient d’ouvrir ses portes à Persan

La seconde phase du retail park Parenthèses vient d’ouvrir ses portes à Persan

Situé à l’entrée de la ville de Persan (95), le retail park Parenthèses déploie sur près de 29 000 m2 un centre commercial nouvelle génération, à la fois pôle de commerce et de restauration : 30 boutiques, 6 restaurants et 840 places de stationnement. Deux ans après l’inauguration de la première phase du projet consacrée à l’équipement de la personne, Parenthèses présente 10 700 m2 complémentaires dédiés à l’univers de la maison. Cette seconde phase vient à son tour enrichir et dynamiser l’activité économique du territoire.

Parenthèses, 10 700 m2 dédiés à l’univers de la maison

Au cœur du parc d’activités du Haut Val d’Oise, le retail park Parenthèses a ouvert les portes de ses 10 700 m2 dédiés à l’univers de la maison ce 3 avril. Développé par Hurban et PICTURE Asset Management, cette deuxième et dernière phase du projet Parenthèses accueille 7 nouvelles enseignes majoritairement inédites sur le territoire : B&M, Jysk, L’Incroyable, Poltronesofa, Easy Cash, Cuisine Plus et Cuisines Elite. Le site proposera également, d’ici l’été, un espace de 1 000 m2 dédié au sport avec l’installation d’un Fitness Park.

Un projet structurant alliant architecture contemporaine et qualité environnementale

Illustrant les savoir-faire d’Hurban et de PICTURE Asset Management, ce retail park – dont la réalisation a été confiée aux architectes Patrick Charoin et Marina Donda – est un projet unique qui contribue au développement et à la structuration du territoire persanais. Il se distingue par son parti-pris architectural et ses performances environnementales dont le projet intègre une démarche de certification environnementale BREEAM (niveau visé VERY GOOD). Le retail park se caractérise par une grande rue marchande à ciel ouvert, s’apparentant à une promenade, et par sa forme originale, évoquant deux parenthèses ouvertes.

Vers une tendance croissante des solutions durables et efficaces, la deuxième phase de ce projet a été conçue en ossature bois, issue d’une filière française. Ce choix s’inscrit dans une démarche environnementale responsable, contribuant à la réduction des émissions de carbone et à la prévention des ressources naturelles.

Plus de 60 nouveaux emplois à la clé

Porté par la Ville de Persan et la Communauté de Communes du Haut Val d’Oise, l’ouverture de la première phase du retail park avait permis la création de 150 emplois. Pour cette seconde phase, 60 personnes ont déjà été recrutées par les enseignes.

A terme, le parc d’activités du Haut Val d’Oise, aménagé par la SEMAVO, se composera d’un pôle commercial de 40 000 m2, d’un parc logistique de 45 000 m2, et de pôles d’activités dédiés aux PME-PMI. Situé à proximité immédiate du centre commercial “Les Portes de l’Oise” qui a bénéficié d’une extension sous l’enseigne E.Leclerc, ce parc d’activité promet de dynamiser l’économie locale et de renforcer l’activité commerciale et industrielle de la région.

Ligne 19 : le conseil départemental sensibilise les acteurs économiques

Ligne 19 : le conseil départemental sensibilise les acteurs économiques

Depuis 2021, le Département du Val d’Oise se mobilise pour la création de la ligne 19 du Grand Paris Express. Marie-Christine Cavecchi, présidente du Département présentera plus en détails ce projet porteur d’une très forte dynamique aux acteurs économiques. Elle rassemblera tout le tissu entrepreneurial du Val d’Oise pour accélérer la mise en œuvre de ce chantier d’intérêt général le vendredi 3 mai 2024, en présence de Philippe ROULEAU vice-président du Département délégué aux Transports et aux Mobilités douces. La mise en service de ce projet serait prévue pour 2040.

Longue d’une trentaine de kilomètres, cette future ligne reliera La Défense à Roissy-Charles-de Gaulle en moins de 35 minutes. Elle desservira plusieurs villes du Val d’Oise ainsi, près de 650 000 habitants dont 360 000 Valdoisiens seront situés à moins de 2 kilomètres d’une de ses gares.
Cette ligne 19 ouvrira aussi de nouveaux accès à l’emploi pour des centaines de milliers de franciliens et élargira les bassins de recrutement pour les entreprises.

La ligne 19 sera en correspondance à Nanterre avec les lignes 15 et 18 et relierait directement le pôle de Paris La Défense à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle en se connectant sur la ligne 17 à la gare de Triangle de Gonesse du Grand Paris Express, actuellement en construction.

 La ligne 19 offrira de nombreux bénéfices aux habitants du département du Val d’Oise, et plus largement à ceux du Nord de la région Île-de-France :

  • Une liaison rapide et directe entre les secteurs de La Défense (1er quartier d’affaire d’Europe) et de l’aéroport Charles-de-Gaulle (2e aéroport d’Europe) en moins de 35 minutes.
  • De nombreuses interconnexions avec les lignes ferroviaires existantes ou en projet. De ce fait, ce sont plus d’un million de Valdoisiens qui, par le jeu des correspondances, pourront bénéficier des avantages de la ligne 19.
  • Un accès facilité à l’emploi pour des centaines de milliers de franciliens et un élargissement des bassins de recrutement pour les entreprises.
  • Une attractivité résidentielle et économique du Sud du Val d’Oise.
  • Des temps de parcours compétitifs vis-à-vis de l’automobile.