par Audrey Le Meur | 5 Déc, 2014 | Actualitēs
Prologis va redévelopper
un site de 13,6 ha à Marly-la-Ville
Le leader international en immobilier logistique vient d’annoncer l’acquisition d’un terrain de 13,6 hectares situé à Marly-la-ville, sur lequel est installé un site logistique SEVESO de 45 000m². Ce bâtiment obsolète sera déconstruit avant la fin de l’année pour laisser place à un bâtiment de distribution de dernière génération d’une surface développée de 60 000m².
Prologis renforce ses positions foncières sur le marché Nord de l’Ile de France tout en offrant un campus logistique modulable et divisible en 2 bâtiments indépendants de 30 000m² chacun. Le site apparaît comme idéal pour des chargeurs industriels, distributeurs ou E-commerçants tant par sa taille, sa modularité, situé à proximité immédiate de l’autoroute A1 et de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Le site de Marly-la-Ville s’inscrit dans une démarche de redéveloppement de friches logistiques de grande taille initié en 2013 avec l’acquisition du Parc de Moissy II Les Chevrons.
Les aspects relatifs à la préservation et à la densification du tissu végétal du site, à la gestion des eaux pluviales, aux déplacements des collaborateurs feront l’objet d’une attention toute particulière.Afin d’offrir à ses futurs utilisateurs la plus grande flexibilité, le bâtiment disposera d’une gamme étendue d’autorisations d’exploiter. « Nous attaquons dès à présent le désamiantage et la démolition des constructions existantes. Nous procéderons à la reconstruction du site courant 2015, l’idée étant d’offrir une plateforme logistique plus vaste avec des prestations supérieures à l’horizon 2016 », explique François Rispe, Directeur Général Europe du Sud, Prologis. Les bâtiments seront disponibles au premier semestre 2016.
par Audrey Le Meur | 5 Déc, 2014 | Actualitēs
Une semaine de mobilisation
pour les patrons du Val d’Oise
Sifflets, cadenas : à l’appel de la CGPME 95 et de la Fédération du bâtiment du Val d’Oise, les chefs d’entreprise du département n’ont pas hésité à faire le chemin jusqu’à Paris pour faire savoir leur mécontentement, avançant parmi les 6000 manifestants jusqu’à Bercy. La grogne patronale semble avoir été entendue. Le mouvement a même reçu le soutien de 6 français sur 10. En marge des rencontres nationales qui se sont tenues tout au long de la semaine, dans le département, les trois principaux syndicats patronaux (MEDEF 95, CGPME 95, UPA 95) ont pu rencontrer jeudi dernier le préfet, Jean-Luc Nevache, pour lui faire part de leurs revendications et lui remettre un courrier commun. A huis clos, les trois représentants concernés, Michel Jonquères, Pierre Coyaud et Bernard Perot, ont pu échanger avec un préfet «attentif et conscient des problématiques rencontrées par les entreprises».
Après avoir battu le pavé parisien lundi dernier, une centaine de dirigeants valdoisiens se sont retrouvés jeudi 4 décembre dans les salons du Cercle du MEVO pour écouter l’intervention de Geoffroy Roux de Bezieux, vice-Président Délégué du MEDEF. Cette réunion d’échanges plus « traditionnelle » s’inscrivait elle aussi dans le cadre de la semaine de mobilisation des chefs d’entreprise. En question, « un Medef de vision et de combat, pour une France aux entreprises compétitives, créatrices d’emplois nouveaux. » Un peu plus tard dans l’après-midi, Michel Jonquères, président du MEVO et représentant du MEDEF 95, Pierre Coyaud, adminstrateur de la CGPME 95 et Bernard Perot, président de la Chambre de Métiers du Val d’Oise et vice-président de l’UPA (Union professionnelle artisanale) ont pris la route pour se rendre en préfecture et y rencontrer le préfet Jean-Luc Nevache. Ce rendez-vous officiel avait vocation à formaliser l’ensemble des sujets de mécontentement.
« Nous avons parlé d’une seule voix, défendu des positions communes, avec des points précis mis en avant : le compte pénibilité, les seuils sociaux concernant la représentation du personnel dans l’entreprise, les freins à l’emploi, la loi Hamont sur les cessions d’entreprise, les lourdeurs administratives
, précise Pierre Coyaud. Nous avons reçu une écoute pleine et entière du préfet, qui est un homme d’ouverture et d’entreprise. Il s’est engagé à rédiger un rapport immédiatement afin de faire remonter ces difficultés. »
Les trois représentants lui ont par ailleurs remis un communiqué commun réclamant simplicité et compétitivité et préconisant plusieurs grandes actions structurelles, notamment plus de cohérence entre les actes et les paroles pour rétablir la confiance, la poursuite de la baisse des charges ou encore le déploiement de vraies réformes dans les 5 ans pour une réelle diminution des prélèvements obligatoires.
La Fédération du bâtiment du Val d’Oise a également adressé aux organisations professionnelles patronales du Val d’Oise un document signé de son président Nicolas Sablier, remis au préfet, reprenant les grands points qui préoccupent le secteur avec, une nouvelle fois, la mise en place du compte de prévention de la pénibilité, l’inquiétude face à la baisse des investissements des collectivités locales, la volonté que soient renforcés les contrôles sur chantier et d’impliquer les PME locales dans les projets du grands Paris.
Pour les dirigeants de PME – TPE, une étape symbolique a été franchie. Pour autant, les dirigeants n’entendent pas relâcher la pression. Du côté de l’UPA, une rencontre avec le préfet est prévu le 10 décembre. « Cette fois, nous exprimerons les revendications qui concernent plus précisément et directement les artisans, dont les problématiques sont spécifiques, précise Yves Hélie, président de l’UPA Val d’Oise. Nous sommes rarement conviés à la table, alors que les artisans jouent un rôle social important. Aujourd’hui, la crise n’est pas qu’un mal passager, nos entreprises ont besoin d’oxygène pour investir. Cela passe par une baisse des charges ou une relance de la consommation pour restaurer le pouvoir d’achat. »
Du côté de la CGPME, là aussi, on attend pour voir ce qui va se passer concrètement. « Nous avons été entendus et compris, mais si rien n’est fait, assure-t-on du côté de la confédération, nous n’hésiterons pas à relancer de nouvelles actions. »
par Audrey Le Meur | 25 Nov, 2014 | Actualitēs
Les startups valdoisiennes Invectory et Teemeo au WebSummit
Les 2 startups val d’oisiennes Invectory et Teemeo (implantées à la Technopole Neuvitec 95) viennent de participer au plus important rendez-vous mondial sur le Web, qui s’est déroulé début novembre à Dublin. Ainsi pendant 3 jours, dans un Dublin transformé en Capitale mondiale du web et envahi par la communauté des geeks, elles ont pu rencontrer, échanger et collaborer dans le cadre de tables rondes, forums et « tournées des bars » avec d’autres startup mais aussi avec des grands noms du web comme Amazon, Google, Facebook, Cisco, Apple…
A l’instar des 90 entreprises françaises présentes, elles ont su saisir cette occasion pour enrichir leur carnet d’adresses et rencontrer les leaders de l’univers web. Créé en 2010, le Dublin Web Summit est devenu le rendez-vous mondial des acteurs des technologies de l’internet. Après une première édition qui avait réuni 500 personnes, l’édition 2014 a atteint plus de 22.000 personnes de 109 nationalités.
Ainsi Valentin Tordjman co-fondateur d’Invectory a saisi cette occasion pour présenter sa startup et son activité à un Product Manager de Google. Créée par de jeunes diplômés de l’EISTI (École Internationale des Sciences du Traitement de l’Information) et incubées au sein de « Val d’Oise Incubation », Invectory propose des solutions digitales pour les acteurs du monde artistique. Son produit semble avoir séduit son interlocuteur qui lui prédit un bel avenir et lui a proposé de le revoir rapidement.
Teemeo, startup fondée par des diplômés de l’EISTI et de l’Ecole de Management de Grenoble, développe quant à elle une plateforme collaborative d’optimisation d’organisation. Teemeo compte déjà une dizaine de salariés et est installée à la Technopole Neuvitec95.
par Audrey Le Meur | 25 Nov, 2014 | Actualitēs
Pour la 6e année consécutive, 80 entreprises et plusieurs centaines d’étudiants ont participé, mardi 25 novembre, au Speed Recrut, organisé par le Cese 95, à l’université de Cergy-Pontoise (site des Chênes). Au cours d’entretiens individuels de 10 mn, les recruteurs présents avaient la possibilité de rencontrer des jeunes en recherche de stage, d’un projet tuteuré ou d’un premier emploi. L’événement a été marqué par la venue de Pierre Gattaz, à l’invitation de Michel Jonquères, président du MEVO. Le président du MEDEF est allé très spontanément à la rencontre des entreprises présentes afin de découvrir les activités représentées et d’échanger avec les dirigeants. Comme les années précédentes, les retours ont été très positifs.
Cet après-midi a permis de mettre en relation des étudiants motivés et dynamiques, avec des entreprises à la recherche de compétences sur le territoire. Cette année, les organisateurs avaient apporté quelques modifications au niveau du format avec deux heures d’entretiens programmés, suivies d’une heure d’entretiens spontanés. Les inscrits disposaient préalablement d’un accès au site www.pisteonjobs.com pour communiquer sur leur activité, diffuser leurs offres, consulter les profils, préparer les entretiens et planifier les rendez-vous.
Grâce à ce système, Sylvie Corneil, présidente de l’association des entreprises de Jouy le Moutier (ACT’ECO), a pu prendre des contacts avec des étudiants intéressés pour l’accompagner dans une démarche de valorisation de son association. « Je souhaite mettre à jour le site Internet, ajouter des rubriques, le rendre plus dynamique et créer une plaquette papier pour mettre en avant notre association. Pour cela, j’ai besoin de l’aide d’un étudiant, dans le cadre d’un projet tuteuré. »
A ses côtés, une jeune entreprise, Er-mada, créée par Chantal Ernoult-Rakotofiringa, positionnée dans le commerce équitable de produits venus de Madagascar (artisanat, épicerie fine, bien-être
). La créatrice est venue chercher des jeunes capables de l’aider à lancer son projet. « J’ai besoin de deux profils, l’un pour appuyer ma recherche de fonds et le second pour la partie commerciale et marketing. Il aura pour mission la conception d’outils marketing et le développement de la vente des produits en boutique, notamment le miel de Madagascar. »
Beaucoup d’émulations et de rencontres lors de cet événement et rendez-vous l’année prochaine pour la 7e édition.
Plus d’informations : 01 34 25 30 96
m.terrasson@ceevo95.fr
www.speedrecrut.com
par Audrey Le Meur | 25 Nov, 2014 | Actualitēs
Un deuxième centre Waterbike vient de s’ouvrir à L’isle Adam. Dirigé par Philippe et Tiffany Blond, ce lieu a ouvert ses portes le 18 novembre dernier, dans le centre commercial � »Le Grand Val� » à l’Isle-Adam. L’aquabiking individuel (vélo aquatique) en cabine privée est un concept novateur lancé en 2010. Créé à l’origine pour la rééducation, Waterbike s’impose aujourd’hui dans l’univers du bien-être et de l’esthétique. L’idée d’associer les bienfaits de l’eau et ceux du cyclisme est venue de kinés italiens souhaitant proposer une solution de rééducation fonctionnelle et toute en douceur.
Quand on pédale dans l’eau, la perception d’effort est diminuée et on obtient un résultat physiologique équivalent à celui du pédalage dans l’air en effectuant l’exercice deux à trois fois moins vite. La société française Waterbike a développé ce concept pour le grand public en proposant dans chaque cabine différents équipements qui renforcent l’efficacité et le confort du système : hydro-massage, ozone et chromothérapie.
Séduite par ce concept, Tiffany Blond, 24 ans, qui a travaillé auparavant dans plusieurs salles de sport, a souhaité se lancer dans cette activité en plein développement en s’implantant à l’Isle Adam. Pour la jeune femme, l’aquabiking ne présente que des avantages et permet aux plus pressés, sur RDV, de venir quand ils le souhaitent. Le client, seul dans sa cabine, réalise sa séance à la carte et peut même téléphoner, lire en pédalant. Pour les citadines, retour à la vie active coiffées et maquillées ! Nous pouvons aussi trouver ce concept sur Ermont, ainsi que dans certains centres de remise en forme comme Gymsa ou Energy Form
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