Le réseau des Femmes Chefs d’Entreprises du Val d’Oise (FCE95) fête son premier anniversaire !

Le réseau des Femmes Chefs d’Entreprises du Val d’Oise (FCE95) fête son 1er anniversaire !

Belle soirée de prestige au château de la Chesnaie à Eaubonne pour la délégation des FCE 95, jeudi 21 novembre dernier, qui fêtait sa première année d’existence. À cette occasion, Laurent Le Fur, Directeur Général de Lenôtre, membre du directoire, Directeur Général des Yachts de Paris et des restaurants de la Tour Eiffel est intervenu sur le thème du � »dynamisme des entreprises� » à travers la stratégie de développement, l’innovation, la créativité et la formation des hommes.

Au cours du cocktail offert par Lenôtre, un des partenaires de la délégation Le Lido a offert par tirage au sort une soirée spectacle à Marie-Laure Linquier de la société Magie de l’Ephémère (décoration florale). Elles sont actuellement 17 femmes chefs d’entreprise regroupées au sein de la délégation val d’oise.
C’est Michel Jonquère, président du MEVO qui a favorisé l’éclosion de ce réseau à travers plusieurs conseillères au commerce extérieur. Premier réseau entrepreneuriat féminin, c’est une force qui les accompagne dans leur fonction de dirigeantes. C’est un moyen de favoriser le progrès de la parité. FCE en France c’est 42 délégations départementales et 2000 adhérentes, qui se réuniront le 6 décembre prochain au cours de leur forum national dont le thème est � »Le manager du 3e millénaire� » avec un invité d’exception : Pierre Gattaz, président du MEDEF.
Imaginatives, combatives, efficaces et solidaires sont les maîtres mots des FCE 95. Pour les rejoindre, FCE accueille de nouvelles adhérentes afin de développer l’effectif dans les PME, TPE, cadre dirigeante, n’hésitez pas à les contacter au fcevaldoise@gmail.com

Matis : visite sans fard

Matis : une visite sans fard


Dans le cadre de son action en direction de l’industrie, « Val d’Oise terre d’industrie », la Chambre de commerce du Val d’Oise organisait mardi une visite de la société Matis, implantée à Osny. Cette belle PME de 79 personnes, dont 58 sur le site cergypontain et une vingtaine basée au siège parisien, développe et fabrique des produits cosmétiques essentiellement destinés aux instituts de beauté. Dotée d’un très bel outil industriel, la société a connu un changement d’actionnariat en 2009. Aujourd’hui, la marque professionnelle entend consolider ses assises : repositionnement commercial, politique de rationalisation des coûts, innovation, investissements au sein de l’usine et développement à l’export, autant d’actions mises en œuvre pour renouer avec la croissance et donner un nouvel élan à la marque.

L’aventure Matis commence en 1936. Plus de 75 ans après, la société compte près de 350 références produits, dispose de 180 formules actives et exporte dans plus de 69 pays. Ses gammes couvrent tous les besoins : de l’anti-âge, adaptées aux différents types de peaux, en passant par le solaire, les crèmes et soins pour homme… La marque, implantée depuis 2000 à Osny (dans les anciens locaux de Roc) a fait le choix d’un positionnement professionnel (présente principalement en instituts et spas).
Après avoir été gérée pendant plus de 30 ans par la famille Camboulive, Matis, change de mains en 2009. L’entreprise est alors en difficulté. Le repreneur, Christian Moreau, déjà à la tête d’une société de fabrication de produits cosmétiques, arrive à la barre pour redresser la PME. Le potentiel est là. L’entreprise possède un outil industriel de très grande qualité, un véritable savoir-faire, des laboratoires de R&D à la pointe et une équipe qualifiée, fidèle et attachée à la marque. Malgré tous ces atouts, la société se doit aujourd’hui de relever plusieurs challenges : accroître sa notoriété face aux grands noms du secteur, sur un marché où elle fait encore figure d’outsider, mais aussi gagner en profitabilité, un objectif qui passe inévitablement par une augmentation des volumes de commandes.

Une usine qui pourrait produire trois fois plus
« Aujourd’hui, une équipe de 7h assure la production (de 10 à 12 tonnes par mois), mais si les besoins l’imposaient, nous pourrions aisément multiplier par deux ou trois ces quantités », commente Philippe Parotin, directeur des Opérations de matis. Depuis deux ans, la direction a mis en place un plan visant à rendre l’usine plus productive : nouvelle équipe commerciale, développement de la vente en retail, segmentation de la distribution et ouverture à de nouveaux marchés. A Osny, des investissements conséquents (à hauteur de 270 000 euros) ont été réalisés pour mettre le site aux normes BPF (bonne pratiques de fabrication), règlementation qui tend à s’imposer aux fabricants. L’usine a fait l’acquisition de matériel de pesage, réduit ses coûts et renégocié certains contrats, notamment avec son transporteur. En juillet 2013, la logistique a été réinternalisée, le stockage et la préparation des commandes (14 000 à 15 000 colis par an) rapatriés à Osny. « Cette réorganisation a permis de générer des économies très significatives pour l’entreprise, sans embauches supplémentaires, précise le directeur. Quatre emplois ont pu être sauvegardés sur le site : d’anciens opérateurs de conditionnement, qui n’étaient que partiellement occupés, ont été formés et affectés à la logistique. » Matis a également continué à innover, avec, par exemple, la mise sur le marché de nouvelles crèmes repulpantes (à base d’acide hyaluronique), régénérantes (à base de caviar), ou encore le lancement d’un soin à boire.
Conjuguant tous ces efforts, le chiffre d’affaires 2012 s’est monté à 14,5 millions d’euros dont 85% réalisés à l’export, un résultat encourageant, pourtant suivi d’une baisse sensible cette année. A l’export, si les ventes ont progressé dans certains pays d’Europe en 2013, les commandes venues de Chine, notamment, n’ont pas atteint les objectifs prévus. Pour doper ses ventes, Matis, tout en restant une marque destinée aux instituts*, travaille actuellement sur le lancement d’un site web marchand, qui permettra aux consommatrices de se procurer directement les produits de la marque et dont la mise en ligne prévue pour 2014.
www.matis-paris.fr

* six instituts dans la Val d’Oise sont fidèles à la marque
B3 (Ermont)
Trinacria/Jess’Lau (Pontoise)
ABC (Magny en Vexin)
Jess’Lau Institut (Vauréal)
Kassy Beauté (Cormeilles en Vexin)
Institut Espace Marine (Enghien les Bains)

Saint-Ouen l’Aumône : tous à Defoul’Kids

Les aires de jeux pour enfants rencontrent un succès grandissant. Une solution idéale pour occuper les plus turbulents par temps froid ou pluvieux. Khadra Bouchaïd et son conjoint Sébastien Richard, après avoir expérimenté ce type de structure dans le nord de la France et séduits par le concept, ont décidé de se lancer dans un projet similaire. Après deux ans de réflexion et de travaux, Defoul’kids a ouvert ses portes ce mercredi. Au programme, un espace de 1000 m2, une piste de luge, des structures de jeux dont une dédiée aux moins de quatre ans, des mini karts…

Ancienne directrice d’agence dans le secteur du travail temporaire, Khadra Bouchaïd a changé de voie pour monter son propre projet de création d’entreprises. Mère de famille à la tête d’une famille de quatre enfants, elle commence en 2011 à travailler sur ce projet, soutenu par la communauté d’agglomération du Parisis (l’implantation devait au départ se faire sur ce secteur). Deux ans plus tard, l’heure de l’ouverture a sonné. Depuis mercredi, les premiers cris d’enfants raisonnent dans le bâtiment fraichement aménagé. L’investissement total se monte à près de 220 000 euros. Le couple a souhaité faire de cette aire de jeux l’une des plus complètes de la région : piste de luge en « U » et canon à balles, structure comprenant deux toboggans, construction de legos géants, un parcours motricité pour les moins de 4 ans, terrains de basket, piste de kart de 19 mètres. Des formules anniversaires sont proposées ainsi qu’un tarif spécial pour les moins de 4 ans qui n’ont accès à une partie du site.
Ouvert de 10h à 19h tous les mercredis, samedis, dimanches et jours fériés, tous les jours pendant les vacances scolaires.
2, avenue Alsace Lorraine – ZI des Béthunes à Saint Ouen l’Aumône

http://defoulkids.fr

Ambiance motarde chez Triumph à Osny

La concession Diagonale 95 est la seule du département à représenter la marque de motos british haut de gamme Triumph. L’inauguration de ce nouveau magasin s’est déroulée le 15 novembre dernier. Plus de 200 personnes ont participé à cette très belle soirée autour des motos, en présence de la direction de Triumph France et de nombreux partenaires, amis et motards, dans une ambiance rock, avec le groupe Just4fun.

Les amateurs ont pu y découvrir une trentaine de modèles en exposition, sur deux niveaux, et l’ensemble de la gamme (routières, en passant les sportive, les customs et les trails). Amoureux des deux roues, Bernard Lasnier est aujourd’hui à la tête de quatre concessions : Montesson (Triumph), Montigny les Cormeilles (Yahama) et Epinay sur Seine (Yahama). Le magasin d’Osny, qui jusqu’à représentait la marque nippone (dont les activités se recentrent à Montigny), cède sa place à la célèbre marque anglaise, qui, depuis une trentaine d’année, connaît une renaissance complète. Sur place, Diagonale 95 propose sur plus de 600 m2 la vente de véhicules neuf, d’occasion, de pièces détachées et d’accessoires, et dispose d’un atelier entretien et réparation.
Information auprès de Jean-Louis Castille : 01 30 30 86 00 Triumph Diagonale 95 Osny www.diagonale-moto95.com

Le président du Tribunal de commerce à la rencontre des entreprises

Gérard Maury,  président du Tribunal de commerce, à la rencontre des entrepreneurs

Le Comité d’Expansion Economique du Val d’Oise (CEEVO) organise depuis plus de 18 ans les « Apéritifs Contacts », conférences à thème afin de permettre à des chefs d’entreprises et à des responsables économiques de s’informer sur des sujets qui les préoccupent. Ces réunions conviviales permettent aussi de développer des relations interentreprises. Ce mercredi Gérard Maury, président du Tribunal de commerce, interviendra sur les services à la disposition des entreprises pour la prévention des entreprises en difficultés.

« Le tribunal ne doit pas être perçu comme un lieu de sanction, au contraire, les juges sont à l’écoute des entreprises. Celles-ci doivent impérativement venir y exposer leurs difficultés avant qu’il ne soit trop tard et rencontrer notre cellule de prévention, qui se tient à leur disposition pour les orienter et leur proposer des procédures adaptées à leur situation (mandats ah hoc, conciliation, sauvegarde, redressement judiciaire…). »
C’est le message délivré par Gérard Maury il y a quelques mois dans une interview accordée à Contact Entreprises. Ce mercredi, le président interviendra une nouvelle fois sur les missions du TC pour lutter contre les idées reçues. « On le sait, par nature, le chef d’entreprise est un homme qui prend des risques, mais quand la situation devient critique, il faut savoir faire preuve de clairvoyance et de discernement. On espère toujours que demain, arrivera la commande qui peut sauver l’entreprise. C’est un cheminement sournois qui peut parfois conduire à la liquidation sèche de l’entreprise. »
 
De 12h30 et 14h30, dans les salons du Conseil Général du Val d’Oise, 2, avenue du Parc, à Cergy-Pontoise (Bâtiment F – 3ème étage). La participation à ces conférences est gratuite, sur inscription préalable. Contact et inscription : Chrystel BERTERRETCHE au 01 34 25 32 43