BNI gagne du terrain en Val d’Oise

Le 29 mars 2013, le groupe BNI Conti (l’Isle Adam) s’est retrouvé le temps d’un «petit-déjeuner business» en présence de 70 entrepreneurs du Val d’Oise. Ce moment privilégié, qui s’est déroulé au restaurant de la Plage, a permis à chacun de présenter en public sa société, et ainsi d’initier de multiples contacts, dans une ambiance conviviale. Des petits-déjeuner de ce genre, il s’en organise chaque semaine au quatre coins du département, BNI étant présent dans le 95 à travers 10 antennes. Retour en quelques mots sur ce réseau d’affaires professionnel « qui monte », basé sur la recommandation mutuelle.

BNI, trois lettres qui signifient Business Network International, un réseau d’abord testé Outre-Atlantique, sources d’échanges de bonnes pratiques commerciales. Répertoriés par secteur d’activité et secteur géographique, le BNI compte 10 antennes en Val d’Oise, une onzième en création, un objectif de 13 groupes d’ici mi 2013 et de 16 en 2014. Près de 200 membres s’y retrouvent régulièrement. En 2012, le nombre de recommandations a été estimé à près de 400 et le chiffre d’affaires généré par les entreprises membres à 5 000 000 d’euros HT.
A période de crise, solution commerciale efficace. Source d’échanges de bonnes pratiques commerciales, de savoir-faire et de culture, les clubs d’entreprises apportent une aide précieuse à leurs adhérents. Que ce soit pour rompre l’isolement et intégrer un réseau, ou pour trouver des solutions à une problématique précise, le bouche à oreille s’avère être le média commercial le plus efficace en période de crise. « Dans ma concession BMW-Mini, je rencontre tous types de clients. Ils me font part de leurs demandes spécifiques. Avec le BNI, je trouve souvent un adhérent qui peut leur apporter la meilleure réponse adaptée à leurs besoins », souligne David Champoud, chef de ventes Horizon Pontoise (BMW – Mini) et ancien président de BNI Conti (Luc Offerlé, journaliste et conseil édiorial lui succède depuis mars 2013). L’efficacité de BNI repose aussi sur le contrat moral qui lie les membres d’un groupe. Il répond au principe simple : � »givers gain� » ; celui qui donne des recommandations en reçoit lui-même par un juste � »retour d’ascenseur� », et c’est parce que tout le monde donne, que tout le monde reçoit. »
En France depuis 1985, BNI offre à 135 000 professionnels une méthodologie fondée sur la recommandation mutuelle pour augmenter leur chiffre d’affaires. Le réseau est organisé en plus de 6 000 groupes de travail qui ne comportent chacun qu’un seul représentant par spécialité professionnelle.
Pour en savoir plus : Luc Offerlé : 06 08 72 56 21 – lofferle@pressendo.fr