Elcom poursuit son développement à Frépillon

Elcom poursuit son développement à Frépillon

Elcom a le vent en poupe et s’agrandit. Cette belle PME d’une centaine de collaborateurs, leader français du profilé aluminium, travaille depuis 29 ans au service de solutions modulaires innovantes sur-mesure à destination des équipements industriels. Implantée en région lyonnaise (siège à Bourgoin Jallieu) et au Plessis Bouchard, l’entreprise qui porte de fortes ambitions de croissance, a investi dans de nouveaux bâtiments afin de mieux organiser sa production. Dans le Val d’Oise, c’est à Frépillon, dans un bâtiment de 1500 m2 que les équipes, jusqu’alors basées au Plessis Bouchard, vont s’installer.

C’est un changement majeur pour Elcom, société leader sur son marché, qui apporte des solutions sur-mesure à ses clients pour la conception de bâtis et cartérisations de machines, guidages linéaires, portiques, postes de travail, équipements pour le lean, passerelles… Elle réalise également des solutions complètes à partir des convoyeurs et systèmes de transferts brevetés.
La PMI vient de se faire livrer d’un tout nouveau bâtiment en région parisienne et passe de 1 000 m² (au Plessis Bouchard), mal organisés, à 1 500 m² plus fonctionnels et mieux pensés à Frépillon. Une enveloppe globale de près de 2 millions d’euros a été investie sur ce projet, qui entraînera le transfert de la vingtaine de salariés de l’usine du Plessis. Objectif : accroître de 50 % la capacité de production du site.

En Isère, la société vient par ailleurs de regrouper ses équipes berjalliennes sur un seul site. Jusqu’ici, un de ses bâtiments de Bourgoin-Jallieu était destiné à la découpe et l’assemblage des profilés tandis que l’autre se consacrait aux convoyeurs (tapis roulants) industriels, la seconde spécialité de la société. Désormais, toutes les équipes seront regroupées sur le site principal de la Maladière. L’autre bâtiment sera destiné aux “chantiers” un peu exceptionnels.

Ces deux déménagements devraient doper le chiffre d’affaires de la société. Le président, Eric Vergne vise au moins une croissance de 10 % dans la durée, s’appuyant sur un salariat motivé, un créneau porteur et la politique d’innovation de l’entreprise. La PME consacre déjà 4 % de son chiffre d’affaires à la recherche et au développement, une part qui devrait croître de 1 % par an. Parmi ses dernières innovations, Elcom a récemment lancé un convoyeur entièrement électrique, fonctionnant sans système pneumatique, qui permet de diminuer la consommation d’énergie et d’augmenter de façon importante le niveau de précision.

http://www.elcom.fr/

*source : Dauphiné Libéré

 

Les Restos du Cœur et la STIVO lancent un appel aux dons de jouets

Les Restos du Cœur et la STIVO lancent un appel aux dons de jouets

La collecte de jouets Noël pour Tous est une action solidaire lancée par la STIVO afin de récolter des jouets et des jeux en bon état au bénéfice de familles en situation délicate. Elle se tiendra cette année du du lundi 1er au dimanche 7 décembre sur l’agglomération cergypontaine.

Pour cette 12ème édition, la STIVO poursuit sa collaboration avec les Restos du Cœur dont les bénévoles se chargent par la suite de trier, nettoyer et redistribuer les jouets collectés aux familles pour Noël. Tous les jouets récoltés vont permettre aux enfants issus de famille en situation difficile de passer, comme tous les autres enfants, un joyeux Noël.

Il est possible de remettre ses jouets en bon état du lundi 1er au dimanche 7 décembre dans les bus de Noël et dans les Points Relais partenaires de l’opération répartis au sein de toute l’agglomération (liste sur www.stivo.com ou par téléphone au 01 34 42 75 15). La STIVO fait appel à la générosité des Cergypontains pour offrir un joyeux Noël à tous.

 

 

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FFB bâtit 10 propositions pour l’avenir

FFB bâtit 10 propositions pour l’avenir

A l’occasion des élections régionales de décembre 2015, la FFB a émis 10 propositions avec pour objectif de favoriser la reprise de l’activité et valoriser durablement les territoires. Cette implication est relayée dans le département par la FFB VO. Sur le chemin incertain de la reprise, les entreprises et les artisans du secteur ont, plus que jamais, besoin de l’appui des décideurs régionaux. Ce soutien passe, au premier chef par la commande publique.

En France, la Fédération française du bâtiment revendique quelque 50 000 entreprises adhérentes dont 35 000 de taille artisanale. Dans le Val d’Oise, la FFB 95 représente 850 entreprises adhérentes et 8500 salariés. Plus globalement, sur l’ensemble du département, on dénombre 3000 entreprises qui emploient environ 28 000 salariés (chiffres auxquels il faut rajouter environ 3000 entreprises artisanales sans salariés).

Pour ces entreprises qui tentent tant bien que mal de faire subsister leur activité en période de crise depuis 2008, la commande publique reste une bouée de sauvetage indéniable. Mais l’annonce de la baisse des dotations de l’État et la récente réforme territoriale qui a refondu la carte des régions a changé la donne.

La FFB fait donc 10 propositions pour maintenir l’activité et promouvoir la reprise. Ces propositions abordent trois grands volets : favoriser une commande publique exemplaire, promouvoir l’apprentissage et inciter à la rénovation des bâtiments (rénovation énergétique, mise aux normes accessibilité, rénovation urbaine).

1 : lutter contre les offres anormalement basses

2 : développer les avances sur marché

3 : renforcer le partenariat formation

4 : valoriser l’apprentissage en le comptabilisant au titre des clauses d’insertion

5 : aider à la modernisation er à la transmission-reprise d’entreprises

6 : Inciter à la construction durable

7 : Valoriser le patrimoine historique et le potentiel touristique

8 : Adapter rapidement

9 : appuyer les programmes régionaux du nouveau plan national de rénovation urbaine

10 : optimiser l’utilisation des fonds européens

plus de détails sur http://www.ffbatiment.fr

 

Sensient inaugure ses nouveaux labos

Sensient inaugure ses nouveaux labos

Gaëlle Frere, directrice Générale Sensient Cosmetic Technologies, a inauguré mardi le nouveau centre de recherche du groupe, en présence de Mike Geraghty, Président du groupe couleur de Sensient, et d’Alain Richard, sénateur-maire de Saint-Ouen l’Aumône. Ce bâtiment flambant neuf et très design de 1900 m2, implanté sur le site existant de Saint-Ouen l’Aumône (rue de l’industrie) permet à ce spécialiste mondial de la production de pigments et d’ingrédients, destinés à l’industrie cosmétique, d’étendre ses labos de 63%. D’ici deux à trois ans, l’unité de production sera elle aussi agrandi, ce qui permettra, à terme d’agrandir la surface totale du site de 70%. A Saint-Ouen l’Aumône, le groupe emploie 146 personnes et a généré un chiffre d’affaires de 43 millions d’euros en 2014.

Avec 3500 salariés, 75 sites dans 35 pays, Sensient rayonne à travers le monde et poursuit sa montée en puissance. A Saint-Ouen l’Aumône, où il est installé depuis 15 ans, le groupe représente la division « couleurs » et travaille uniquement pour le secteur de la cosmétique. « La France est un marché de référence pour la cosmétique, commente Gaëlle Frere. L’industrie française occupe une position dominante avec 25% des parts de marché mondiale. Il paraissait donc naturel d’étendre ici notre présence historique, au plus près de nos clients majeurs que sont par exemple sont l’Oréal, LVMH, Clarins, Yves Rocher…, à qui nous fournissons pigments, colorants, dispersion… » La construction de ce nouveau bâtiment, vitrine internationale du savoir-faire de Sensient, a nécessité plus de 6 millions de dollars d’investissement en 2014 – 2015. Ce centre d’excellence mondial s’appuie sur des laboratoires High tech pour le maquillage, la coloration capillaire et le parfum.

La DSN généralisée en 2016

La DSN généralisée en 2016

Mardi dernier, la CPAM Val d’Oise (caisse primaire d’assurance maladie) organisait à Cergy une rencontre à destination des entreprises à l’occasion des matinée employeurs. Près d’une centaine de personnes étaient présentes pour assister à cette réunion destinée à aborder et présenter un sujet d’actualité : la Déclaration sociale nominative, un projet majeur du « choc de simplification », qui va remplacer toutes les déclarations sociales. Elle repose sur la transmission unique, mensuelle et dématérialisée des données issues de la paie et la transmission dématérialisée de signalements d’événements (fin de contrat, arrêt et reprise de travail…).

La plupart des entreprises vont devoir intégrer à partir du 1er janvier 2016. Toutefois, pour permettre aux 1,5 million de petites et moyennes entreprises d’intégrer ce dispositif dans les meilleures conditions, un nouveau calendrier de mise en place progressive de cette déclaration a été proposé : les TPE et PME devraient mettre en place la DSN à des échéances comprises entre janvier 2016 et juillet 2017 en fonction du montant annuel des cotisations sociales versées ou de leur effectif. La généralisation de la DSN devrait finalement intervenir en juillet 2017.

La DSN remplacera alors l’ensemble des déclarations sociales adressées par les employeurs aux organismes de protection sociale, pour leur permettre de calculer les cotisations, contributions sociales et certaines impositions dues, ainsi que les droits des salariés en matière d’assurances sociales, de prévention de la pénibilité et de formation (attestation de salaire pour le versement des indemnités journalières maladie, maternité et paternité, attestation employeur pour Pôle emploi (AE), déclaration unifiée de cotisations sociales destinée à l’Urssaf…).

Alors qu’auparavant les entreprises transmettaient des données multiples à diverses échéances et à différents organismes, globalisées par établissement, avec la DSN, les employeurs effectuent, à l’issue de la paie, une transmission mensuelle de données individuelles des salariés. La DSN doit être transmise le 5 ou le 15 du mois suivant celui auquel la DSN se rapporte.

Contact utile : Michaël Boirot (Conseiller informatique service activités Sésam Vitale CPAM) au 01 34 22 25 59 – espace-employeurs@cpam-cergypontoise.cnamts.fr