CONTACT ENTREPRISES est en téléchargement

CONTACT ENTREPRISES est en téléchargement

Pour télécharger le dernier numéro, c’est par ici :
https://lnkd.in/epdfVZ5P

🔥 🔥 🔥 La flamme sera de passage demain dans le Val d’Oise !!!!
Elle donnera le coup d’envoi d’un été sous le signe de l’olympisme 🏆 🤺 🏃‍♀️ 🏇 🏊‍♀️ 🚴‍♂️ 🤼‍♀️ 🌏 🏓 🏸 🏈 🏀 🏅
contact-entreprises95 revient sur cet incroyable événement que sont les JO de Paris 2024 et leur retentissement économique dans le département.

En marge de cet exceptionnel rendez-vous, le magazine reste fidèle à ses principes éditoriaux avec la mise en avant de belles entreprises notamment ASIC INDUSTRIES, sous-traitant dans le domaine du traitement de surfaces, dirigée par Marc CHERUEL-LAMY, qui a connu un développement majeur ces dernières années en collaborant avec les plus grands donneurs d’ordre.

Nous vous ferons découvrir également l’expertise tentaculaire du Le Poulpe Français dirigée par Greg SALLEHOUNT, PME spécialisée dans les supports de communication événementiels créatifs et complexes.
Mais aussi la résilience du groupe ROUSSEAU et de ses dirigeants – Gilles ROUSSEAU – qui ont su rebondir après les émeutes de l’été passé dans le secteur de l’automobile.
Ainsi que de nombreuses actualités qui font la vie économique de notre département…

La rédaction vous souhaite une bonne lecture et un très bel été 🌞 ⛱

Les remparts se mettent en scène

Les remparts se mettent en scène

Dans le cadre de la stratégie lumière de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et notamment de la mise en valeur du patrimoine remarquable du territoire, le site historique des remparts de Pontoise va bénéficier à partir du 20 juin 2024 d’un nouveau système de mise en lumière, plus moderne, dynamique et moins énergivore. Un dispositif de projection de scénographies monumentales permettra par ailleurs de célébrer certains événements, comme les Jeux Olympiques 2024.

Le système actuel d’éclairage du site historique, devenu obsolète et étant difficile d’accès avec son implantation au pied des remparts, va être remplacé par un équipement plus moderne et moins énergivore. Les nouveaux projecteurs, situés dorénavant sur les candélabres de la rue de l’Hôtel- Dieu, vont mettre en lumière les remparts de la place de la Piscine à la rue de la Roche.

Les remparts bénéficieront par ailleurs d’un dispositif événementiel de projection de scénographies monumentales, permettant la diffusion de différentes séquences mettant simplement en valeur le site ou répondant à l’actualité, comme pour célébrer certains événements tels que les Jeux Olympiques 2024, la fête nationale du 14 juillet, les fêtes de fin d’année …

Ainsi, le site disposera dorénavant d’un dispositif innovant, pour ce type de configuration sur un périmètre aussi étendu, mais aussi moins énergivore : les projecteurs led et les projecteurs vidéo permettront de réaliser une économie d’environ 6000 kWh/an.

C’est dans le cadre de la stratégie lumière de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, révisée en avril dernier (cf encadré), que les remparts de Pontoise, site d’exception pour cette « ville classée d’art et d’histoire », ont intégré la liste des édifices remarquables du territoire mis en valeur par la lumière (une trentaine de sites sont programmés d’ici à 2031).

La mise en lumière du patrimoine historique et moderne de Cergy-Pontoise vise à mettre en valeur les sites concernés et à créer, au fur et à mesure des années et des réalisations, une image nocturne cohérente et homogène sur l’ensemble de l’agglomération.

La nouvelle mise en lumière des remparts démarrera avec l’allumage de l’éclairage public, jusqu’à 1h en période estivale et lors d’événements ; en période hivernale jusque 22h en semaine et 1h le vendredi et le samedi.

Le dispositif est piloté par la Communauté d’agglomération, la réalisation étant assurée par Cylumine, dans le cadre du contrat de partenariat d’exploitation et de renouvellement de l’éclairage public, et la conception lumière par la société Vialis. Le montant de l’équipement s’élève à 430 000 €, financés par la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, le Département du Val d’Oise et la Ville de Pontoise.

Mettre la lumière au service des cergypontains tout en cherchant à préserver la biodiversité et à maîtriser la consommation d’énergie : c’est tout l’enjeu du service public d’éclairage, qui s’appuie sur un nouveau Schéma directeur d’aménagement lumière (SDAL). Le SDAL est le document cadre qui fixe les grandes orientations et les principes de gestion de l’éclairage public du territoire.

Datant de 2013, cet outil stratégique a évolué lors du Conseil communautaire du 2 avril 2024, pour intégrer, notamment, la baisse des niveaux d’éclairement et les extinctions et ainsi contribuer à réduire la pollution lumineuse.

Déjà exemplaire dans la maîtrise des consommations d’énergie, le réseau d’éclairage public de Cergy-Pontoise a réduit de plus de 60% de sa consommation globale d’électricité entre 2013 et 2023 grâce aux investissements réalisés depuis 2013. Le nouveau SDAL doit permettre d’aller encore plus loin en générant une nouvelle économie annuelle de 200 000 € /an.

page2image40006864

Emploi : deux RDV pour recruter

Emploi : deux RDV pour recruter

Forum de l’emploi de Cergy-Pontoise

Le jeudi 3 octobre prochain aura lieu le prochain Forum de l’emploi de Cergy-Pontoise au complexe sportif des Maradas – Joël Motyl à Pontoise. La réservation étant gratuite et le nombre de stands limités, les entreprises sont invitées à exprimer leur intérêt le plus tôt possible, avant le 30 juillet 2024.

https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=N242qpjlt0mOAehrsE0cZimphcdHERtErgHI_O538sBUODlQNkQ3R1I1Uk4zQURRMDJBRTNaNk1YNi4u&utm_source=brevo&utm_campaign=Newsletter%20DEV%20ECO%20-%20Juillet%202024&utm_medium=email

 

Recrutez des étudiants en temps partiel dès la rentrée
Les étudiants sont invités à apporter leur CV pour décrocher un job étudiant parmi plus de 300 postes à temps partiel. Une trentaine de recruteurs proposant plus de 300 postes à temps partiels (CDD ou CDI) seront présents :

Informations pratiques

  • Mardi 24 septembre 2023, de 11h à 15h
  • Site des Chênes à Cergy
  • Toutes les offres d’emploi sont disponibles sur votre plateforme JobTeaser : inscrivez-vous ou connectez-vous sur https://cyu.jobteaser.com
Le nouveau hub de la santé et du bien-être se trouve à L’Isle-Adam

Le nouveau hub de la santé et du bien-être se trouve à L’Isle-Adam

La Pharmacie des Plantes s’agrandit et innove avec du matériel high-tech associé à de nouveaux services et de précieux conseils consacrés à la santé, au confort et au bien-être.

Alexandre VACHER, Docteur en Pharmacie et Conseiller Régional de l’Ordre des Pharmaciens d’Île de France, s’est entouré d’une équipe de 15 personnes dont 4 pharmaciens et 6 préparatrices. Pour eux, forts de leurs compétences, la santé va au-delà de la simple délivrance de médicaments. L’étendue des services et leur savoir-faire répondent à leur engagement de soigner et améliorer de manière globale le bien-être général de chacun.

LES LOCAUX
L’agrandissement des lieux a porté les locaux à 400 m2 sur 4 niveaux dont 2 accessibles au public.

  • Le Rez-de-Chaussée est consacré à l’officine pour le délivrance des médicaments, parapharmacie, produits cosmétiques, etc.
  • Le 1er étage accessible par ascenseur est consacré à :

l’Espace soins, conseils & bien-être avec 4 salles dédiées à l’entretien santé, l’orthopédie, l’atelier cosmétique, la vaccination… et un showroom de matériel médical.

Les deux autres niveaux comprennent l’automate gestionnaire et distributeur de médicaments High Technology – New generation et les locaux administratifs.

LES SPECIALITES
Au delà de la délivrance de médicaments effectuée par l’automate, la Pharmacie des Plantes offre une large étendue de services.
– Para-pharmacie – Médecine naturelle – Diététique – Cosmétique – Puériculture – Orthopédie – Prothèses mammaires externes – Aides au maintien à domicile – Vaccination et dépistage
– Produits vétérinaires…

Weshotel Taverny dévoile ses infrastructures

Weshotel Taverny dévoile ses infrastructures

L’hôtel Weshotel Taverny, développé par le Groupe français West Finances, a été inauguré le 17 juin dernier à l’invitation de son président, Arnaud Moulet qui a donné lieu à une visite puis une présentation de ce nouvel établissement hôtelier quatre-étoiles. Ouvert le 20 mai dernier, il regroupe 92 chambres, un espace restaurant et un lounge bar, une piscine couverte et des espaces bien-être, avec 128 places de parking privées et gratuites.

Bénéficiant d’une surface minimale de 25 m², insonorisées et climatisées, les chambres proposent des lits King size ou deux lits indépendants avec matelas de qualité, ainsi qu’un espace bureau avec accès wi-fi gratuit, des salle de bains indépendantes avec douche et quelques suites familiales.

Parallèlement, l’hôtel dispose de 15 salles de réunions modulables avec une importante capacité d’accueil pour des séminaires, des réceptions et cocktails, des opérations de team building et incentives ou des opérations événementielles et des salons, ainsi que pour des réceptions de mariage et des événements privés.

Florence Portelli, Maire de Taverny, Vice présidente du Conseil régional Île-de-France, Vice-présidente de la Communauté d’agglomération Val Parisis, participait à cet événement. Elle a salué cet investissement hôtelier de qualité qui vient s’inscrire dans la dynamique du parc d’activité et du quartier des Ecouardes, en développement rapide, tout en apportant des services essentiels pour les sociétés qui ont fait le choix d’une implantation sur ce site.

Dans une ambiance musicale jazzy grâce au groupe Joe Sings, la manifestation a permis de préciser que l’architecture du Westhotel Taverny a été étudiée attentivement afin d’intégrer le bâtiment dans son environnement, à proximité du bois des Ecouardes, en bénéficiant ainsi d’un bardage bois et de toitures végétalisées et équipées de panneaux photovoltaïques. (infos CEEVO)

www.westotel-taverny.com

Législatives : les ETI prennent la parole

Législatives : les ETI prennent la parole

Dans la perspective des élections législatives, les 6200 ETI françaises, qui représentent près de 3,5 millions d’emplois et réalisent plus de 1000 milliards d’euros de chiffre d’affaires, prennent la parole dans le débat public, par la voix du METI, qui fédère la communauté des ETI à l’échelle nationale et à travers le réseau des Clubs ETI régionaux. Elles rappellent qu’aucun projet politique n’est viable s’il n’est adossé à la vitalité des entreprises. A travers un manifeste, elles appellent les candidats à ne pas entraver leur développement avec des propositions d’un autre temps, tant de fois éprouvées, tant de fois échouées, qui nuiraient à leurs projets d’investissements créateurs d’emplois, ou encore avec des mesures qui conduiraient au repli et condamneraient l’exportation de l’excellence des savoir-faire français sur le continent européen et dans le monde entier. Dans le Val d’Oise, ils sont 92 candidats dans 10 circonscriptions à se présenter aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains dans le Val-d’Oise. Il est de notre responsabilité à chacun de parvenir à décrypter les intentions des futurs députés afin de faire le meilleur choix possible. 

Extrait du manifeste des ETI : « Sans l’économie, aucun projet politique n’est viable. Les ETI ne font pas de politique. Ce n’est pas leur vocation. Mais parce qu’elles sont l’un des socles de la société, elles ont le devoir, lors des grands rendez-vous démocratiques, de prendre la parole pour nourrir le débat public.

En commençant par rappeler un principe intangible : il ne peut y avoir de projet politique qui ne tienne compte de la réalité économique, dont les entreprises et leurs salariés, au cœur de la création de richesse, sont le moteur. Dans la campagne qui s’ouvre, dans une France fragmentée, les 6200 ETI françaises, symboles du « travailler et du produire en France », veulent porter l’espoir de la prospérité.

Les ETI, les « grandes entreprises du coin »

Avec 125 000 sites répartis dans toute la France, les ETI n’ont jamais abandonné les villes moyennes et les zones rurales. De la Vallée de l’Arve aux Herbiers vendéens, du Grésivaudan aux vallons des Vosges et du Jura, les ETI sont l’ossature industrielle de nos régions.

Beaucoup de leurs sièges sociaux sont implantés dans les sous-préfectures, elles sont les animatrices du tissu économique et de l’emploi local, garantes de la cohésion sociale, pivots des filières industrielles, elles entraînent des milliers de TPE, de PME fournisseurs et sous-traitants.

Quand une ETI s’en va, c’est un territoire qui s’efface et s’effondre. Quand une ETI réussit, c’est tout l’environnement local qui se redynamise. Avec le développement des ETI, c’est la vie locale qui s’enrichit en termes d’emplois, de services et d’équipements publics, de soutiens aux associations et à la vie culturelle.

Au niveau du pays, la somme de ces réussites pèse près d’un tiers de la richesse nationale (1000 milliards de chiffre d’affaires) et plus encore en matière d’exportation (34%) compte tenu de leur dominante industrielle.

Et pourtant les ETI françaises ne sont pas assez nombreuses : elles sont 17 000 en Allemagne, 8 500 en Italie…

Le manque d’ETI en France est une anomalie majeure. C’est le résultat de 40 ans de mauvais choix économiques : blocage des transmissions d’entreprises pendant 20 ans, fiscalité sur l’activité et les salaires la plus lourde de l’OCDE, des normes et des contrôles disproportionnés.

Dans le cadre du marché européen, tout miser sur le « travailler et le produire en France »

Depuis dix ans, ces erreurs ont commencé à être corrigées. La réforme de la fiscalité du capital, les lois sur le dialogue social et le travail, les premières baisses de la fiscalité de production : ces premières réformes ont produit des résultats. En témoignent le nombre d’ETI, passé de 4600 à 6 200 aujourd’hui, avec des conséquences en cascade sur l’investissement (20 Md€ par an), sur l’emploi et l’apprentissage (465 000 postes créés sur la période), et sur les recettes fiscales. Aujourd’hui, les usines sont plus nombreuses à ouvrir qu’à fermer.

La voie du « travailler et produire en France » est gagnante, et il ne faut pas s’en détourner.

D’autant que la France reste très en retard sur ses voisins en matière de compétitivité. Rien qu’en matière d’impôts de production, 80 milliards d’euros par an nous séparent toujours de la moyenne européenne.

D’autant que les crises à répétition (gilets jaunes, COVID, inflation, énergie) ont singulièrement aggravé ces faiblesses françaises. Les ETI, malgré leur résilience, en sortent affaiblies. Elles ne pourraient supporter ni le retour aux mauvaises recettes qui ont plombé la France, ni les replis qui les priveraient de leurs marchés naturels en Europe.

Quatre priorités s’imposent pour réussir le rattrapage français dont les ETI ont besoin :

  • Poursuivre la baisse des impôts de production pour soutenir l’innovation et l’investissement et leurs exportations.
  • Mettre en place une politique publique de la transmission d’entreprise pour garantir la pérennité de nos usines et de nos emplois.
  • Engager la baisse du coût du travail qualifié pour une France des bons salaires.
  • Instaurer un bouclier normatif pour enrayer la déferlante règlementaire.

A côté de nous, d’autres pays ont réussi des redressements spectaculaires. La France n’est pas condamnée et ses atouts sont innombrables. Le redressement économique est le plus court chemin vers la prospérité et le mieux vivre en France. C’est la condition pour être au rendez- vous des transformations sociales et environnementales. Les ETI y sont prêtes. »