Miltra veut devenir un groupe leader de l’équipement pour véhicule industriel

Miltra veut devenir un groupe leader

de l’équipement pour véhicule industriel

Spécialiste des grues hydrauliques depuis plus de 35 ans, Miltra est l’importateur exclusif en France du fabricant italien « FASSI », activité qui représente 80 % du CA. En ce début d’année, Miltra accélère sa mutation. Le groupe se réorganisera en avril autour de 3 sociétés : Marrel, Fassi France et Miltra. Pour Roger Boutonnet, Président du groupe, cette réorganisation est dans la continuité des actions menées depuis 12 ans avec ses équipes : construire un groupe leader de l’équipement pour véhicule industriel.

En juillet 2013, CTELM SAS, holding du groupe Miltra a racheté la société Marrel SAS, leader européen dans la fabrication de bras hydraulique Ampliroll. Fort de ce succès, le groupe se réorganisera au mois d’avril 2015 autour de 3 sociétés : Marrel, Fassi France et Miltra. Fassi France filiale à 100% du groupe CTELM, devient l’importateur exclusif des grues Fassi et représente le constructeur sur le territoire national.
Miltra Paris Nord et Miltra Provence deviennent les concessionnaires des marques du groupe, Fassi, Maxilift, Marrel, Jekko et des marques Penz et Forez-Bennes. « La communication autour de la marque Fassi, en France, ainsi que la filialisation des activités de carrosserie industrielle autour de la marque Miltra, permettront à terme, de renforcer la qualité de service, offerte à nos clients et d’améliorer la notoriété des produits représentés, précise Pour Roger Boutonnet, Président du groupe. L’ambition de Fassi France est de jouer les tous premiers rôles sur le marché de la Grue Auxiliaire ».

35 ans de savoir-faire

En tant qu’équipementier et intégrateur, Miltra installe les grues de levage sur toutes sortes de véhicules prévus à cet effet. Avec plus de 25 modèles de grues hydrauliques (de 1 à 195 t/m) dont certaines offrent 7 à 8 versions différentes, Miltra a su s’imposer comme un des principaux leaders sur ce marché. La société emploie près de 60 personnes dont 47 personnes au siège situé à Saint-Ouen-l’Aumône, qui réunit aussi un atelier de montage, un atelier SAV, un magasin de pièces détachées, et une carrosserie industrielle équipée d’une cabine de peinture, le tout sur plus de 4 000 m2. Miltra, qui réalise un CA de 41 M€, assure la vente, le montage ainsi que le service après-vente des produits de manutention qu’elle distribue, à travers un réseau national constitué de soixante concessionnaires et dix agents.
Sa présence sur l’ensemble du territoire lui a permis d’être référencé par l’UGAP (Union des groupements d’achats publics) de fournir l’EDF, la SNCF, la RATP et les DDE et de compter parmi ses fidèles clients : Fraikin, Via Location, Loxam, Thales, Sanef, Mairie de Paris ou encore BigMat et Point P…
www.fassi.com

www.miltra.fr


www.marrel.com

Envor Technologie : une petite révolution dans le stockage de données

Envor Technologie : une petite révolution
dans le stockage de données

Envor Technolgie, startup val d’oisienne, brille aux Rencontres Universités Entreprises 2015. Implantée au sein de la Technopole Neuvitec 95, elle vient d’obtenir le second prix du concours « Docteurs Entrepreneurs » attribué lors de ces Rencontres. Envor Technologie est une startup portée par Alan Jule, docteur de l’Université de Cergy-Pontoise, consécutivement à ses travaux de recherche effectués en relation avec le laboratoire ETIS (ENSEA, UCP, CNRS).

Positionnée sur le secteur en très forte croissance du stockage de données, la startup Envor Technologie s’applique à en réduire les coûts économiques et écologiques en limitant par exemple le besoin en disques. En effet, les techniques actuellement utilisées par les data centers sont consommatrices de terminaux et de disques et donc fortement énergivores. Afin de répondre aux enjeux de coûts et aux problématiques énergétiques, Envor Technologie a développé une technologie associant algorithmes mathématiques et architecture de stockage innovante, permettant une conservation pérenne avec une réduction du nombre de disques de 30 à 70% par rapport aux techniques actuelles.
Cette technologie a d’ores et déjà obtenu une reconnaissance puisque son créateur, Alan Jule a été lauréat en 2013 du concours I-LAB Emergence (concours national de création d’entreprises de technologie innovante) organisé par la BPI et le Ministère de l’enseignement supérieur et la recherche.
Alan Jule : jule@envortech.com
Tél. : 06 71 78 13 58

Le SIST VO ouvre son nouveau centre médical à Franconville

Le SIST VO ouvre son nouveau
centre médical à Franconville

Présent dans le département du Val d’Oise depuis 1943, le SIST VO, Service Interprofessionnel de Santé au Travail du Val d’Oise, a pris la décision de transférer son centre médical d’Herblay, au 25 rue André Citroën à Franconville. Ce nouveau centre médical a ouvert ses portes ce lundi 30 mars 2015, au terme de 4 mois de travaux. Il succède au centre de Santé SIST VO d’Herblay qui ferme ses portes après 35 années de service. Situé au 2 rue Paul Langevin, il assurait le suivi médical de 10 000 salariés.

C’est pour mieux répondre aux attentes de confort et d’espace des salariés des entreprises adhérentes que le SIST VO a décidé de rejoindre le secteur de Franconville. Cette nouvelle infrastructure de 400 m2 a été conçue pour suivre médicalement les collaborateurs des entreprises, mais également pour organiser des sensibilisations collectives sur les questions de la santé et de la sécurité au travail.
Le centre compte une équipe de 11 collaborateurs : 4 médecins du travail, 1 assistante sociale, 1 infirmière, 1 technicien hygiène et sécurité, 1 assistant santé travail, et 3 secrétaires médicales. Ouvert à tous les salariés des entreprises adhérentes basées sur l’ancien centre d’Herblay, le centre de Franconville accueillera les patients en semaine, sur rendez-vous.
Le SIST VO compte 8 centres médicaux dans le département du Val d’Oise, une partie des Yvelines et de la Seine-Saint-Denis, situés à Argenteuil (siège), Enghien, Maisons-Laffitte, Houilles, Bezons, Roissy-en-France, Gonesse, et maintenant Franconville.

Centre médical SIST VO de Franconville : Catherine GASPARI, responsable de centre – gaspari@groupe-heloise.com – 01 39 97 65 01

Plus d’informations sur :
www.sante-au-travail.fr

Le concours gastronomique des chefs de demain

Le concours gastronomique
des chefs de demain

La 9e édition du concours culinaire pour les apprentis du Val d’Oise a eu lieu le 23 mars, à l’Institut de l’Hôtellerie et des Arts Culinaires (INHAC) de Saint-Gratien. Les élèves de l’école du groupe Ferrandi ont participé à ce concours qui avait pour thème « les produits d’Ile-de-France » et la « Joie ». Les gagnants sont Cédric Bailleux (restaurant « Sous le Porche » à Auvers-Sur-Oise) pour la partie cuisine et Bastien Hericher (restaurant « Vin sur vin » à Sannois) pour l’épreuve en salle. Une occasion de mettre en avant le talent des apprentis. L’événement était organisé par l’ARIV (Association de Restaurateurs Indépendants du Val d’Oise), la Chambre de Commerce et d’Industrie de région Paris Ile-de-France et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat du Val d’Oise.

Ces épreuves avaient des allures de « Top Chef » : les participants répartis en deux catégories (cuisine et service en salle) devaient respecter des contraintes, en suivant les produits imposés.

Cette année le thème mettait en valeur dans les assiettes les produits locaux d’Ile-de-France, comme le chou milan de Pontoise, un carré de porc francilien… Pour l’épreuve en salle, le thème imposé était la « Joie » : les candidats devaient préparer la table et la décorer avant de dresser le buffet pour cocktail avec et sans alcool. Le but de cette journée était tout d’abord de mettre en avant le talent des jeunes apprentis cuisiniers, souvent sous-estimé, mais aussi celui de leurs maîtres d’apprentissage. L’idée était également de les confronter aux vraies conditions de travail en cuisine, loin de l’image « glamour » que les médias en font parfois.

Sous le regard de professionnels
Ils étaient parrainés par Philippe Faure-Brac, le meilleur sommelier du Monde 1992 et par Denis Courtiade, directeur de salle du restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Les participants ont débuté les épreuves à 8h pour pouvoir assurer le service à 12h15. Tous les participants ont été jugés par un jury de quatre personnes : Michel Blanchet, président d’Honneur des Maitres Cuisiniers, Denis Varusio, chef au restaurant Nuages des Saveurs, Nicolas Grymonprez, éleveur de porcs francilien et Patrice Boudet, sommelier au restaurant Le Chiquito.
Le premier prix destiné aux gagnants de l’épreuve cuisine et de salle, était une tablette numérique. Les lauréats du concours sont Cédric Bailleux pour l’épreuve cuisine, qui est sélectionné pour concourir à « Un des meilleurs Apprentis de France » et pour l’épreuve en salle, Bastien Hericher. Les autres candidats sont repartis avec des tenues de professionnels, des livres culinaires, des repas offerts par les restaurants partenaires…

La clinique du Parisis n’est plus en danger de mort

La clinique du Parisis n’est plus
en danger de mort

La nouvelle a été rendue officielle en mars : la clinique du Parisis ne fermera pas. Jugée « au fond du gouffre », l’établissement a finalement été racheté après de longs mois de négociations, par le Groupe suédois Capio qui possède déjà deux cliniques dans le Val d’Oise (à Ermont et Domont). Malgré des locaux vieillissants, datant des années 70, et le travail de fond nécessaire pour la remettre sur pied, la clinique est la seule du Val-d’Oise à détenir une autorisation de procréation médicalement assistée, un atout important.

Le groupe Suédois Capio a décidé de reprendre la clinique de Cormeilles-en-Parisis, en difficulté depuis plusieurs années. C’est en 2010 que le groupe Sainte-Marie avait racheté l’établissement de Cormeilles-en-Parisis, qui était déjà en perte de vitesse. Différents projets avaient été évoqués, notamment celui de déplacer les locaux de la clinique, actuellement en plein centre ville (avenue de la Libération). Faute de moyens, ces projets n’avaient pu voir le jour, au point que la clinique était prête à fermer en 2014.

Yannick Boëdec, maire de Cormeilles-en-Parisis avait laissé entendre, lors des vœux, que la clinique continuerait probablement son activité mais que rien n’était encore officiel. Après de longs mois de négociation, c’est finalement le 17 mars que le groupe Capio a fait l’acquisition son acquisition (il détient désormais 100% des parts), avec, à la clé de nouveaux projets, notamment celui du déménagement, prévu pour 2017.

Développer les synergies
Avec ce rachat, le groupe Capio, déjà fortement implanté dans le monde du soin en Europe, souhaite créer des synergies entre les différentes cliniques, notamment avec Claude Bernard et Domont, pour favoriser les offres de soins locaux. La clinique du Parisis regroupe actuellement de nombreuses spécialités : la gynécologie, l’ophtalmologie, l’orthopédie, l’ORL et stomatologie, l’hémodialyse… Le personnel médical est composé de 110 personnes et le site dispose d’une capacité d’accueil d’environ 18 lits pour les hospitalisations en chirurgie, chirurgie gynécologique et chirurgie déambulatoire. La clinique est aussi est la seule du Val d’Oise à détenir une autorisation à la procréation médicalement assistée.