Mix Job, une nouvelle génération de job board née à Cergy

Mix Job, une nouvelle génération de job board née à Cergy

Mix Job est une plateforme de recherche d’emploi à la frontière entre le site de rencontres et de coaching. Son fondateur, Michael Mesere, lauréat du Réseau Entreprendre, a fait ses armes dans le domaine du marketing digital, avant de lancer son propre projet et d’installer ses quartiers à Cergy, immeuble Ordinal.

 

L’objectif de Mix job est d’aller plus loin qu’un job board classique en faisant matcher l’offre et la demande (beaucoup d’offres sont non pourvues et 8 millions de personnes cherchent chaque année à changer de poste). L’idée est de mettre en contact les entreprises et les candidats ayant le plus de points communs et un maximum d’axes de convergence. Au contraire, si la candidature ne correspond pas, elle est écartée. La plateforme s’appuie sur un algorithme prenant en compte de nombreux critères.« Lorsque le candidat crée son profil, explique Michael Mesere, on lui demande qui il est, quels sont ses savoir-faire, ses qualités, les langues qu’il parle, ses centres d’intérêt, où il habite afin de privilégier la proximité… »

Après analyse de toutes ces données, la plate-forme délivre un coefficient d’employabilité qui s’avère être un outil très efficace d’aide à la décision. L’entreprise peut aussi indiquer au préalable qu’elle souhaite prioritairement recruter une personne résidant à moins de 30 mn de l’entreprise par exemple, un critère qui aura plus de poids. La plateforme peut également suggérer des profils de candidats au recruteur. De son côté, la personne en recherche d’emploi est accompagnée dans ses démarches par un coach digital qui l’encourage au quotidien à booster sa réactivité. Elle reçoit régulièrement des messages pour l’aider à avancer dans ses recherches… Candidats et recruteurs peuvent même entrer en contact directement et échanger avant de se rencontrer.

https://www.mixjob.fr

Joëlle Castro décorée de la Légion d’honneur

Joëlle Castro décorée de la Légion d’honneur

Joëlle Castro a reçu le 22 octobre dernier la légion d’honneur des mains de Geoffroy Roux de Bezieux, président du MEDEF, au Shangri-La Hotel. Directeur général délégué et administrateur du groupe Mobilitas, elle a été honorée pour sa vie de contributions professionnelles et de promotion des femmes dans les affaires à travers le monde. Beaucoup de monde l’entourait pour vivre ce moment exceptionnel, et notamment les femmes de la délégation FCE 95, qu’elle a présidée deux ans et largement contribué à dynamiser.

Joelle Castro s’est adressée aux nombreuses personnalités, amis et membres de sa famille présents, venus assister à cette belle cérémonie. « Je tiens à vous dire que ce soir je suis particulièrement émue et touchée de voir une si belle assemblée dans ce magnifique salon Napoléon de l’hôtel SHANGRI-LA. Vous avez toutes et tous très vite répondu présents pour assister à cette remise des insignes de Chevalier dans l’ordre national de la légion d’Honneurqui consacre mes décennies d’engagement à l’international. »

Joelle Castro avait à ses côtés Sarah Rosette Taieb, sa mère, qui, avec André Isaac Taieb, s’est lancée dans l’aventure entrepreneuriale pour ouvrir une petite société de transport et déménagement national en 1974 sous le nom d’AGS. Son père conduisait son camion, sa mère était au bureau et s’occupait de l’administratif et du développement commercial en distribuant des flyers très tôt le matin dans tout Paris. Les 4 enfants (Serge, Alain, Gilles et Joëlle), sont entrés au fur et à mesure dans l’entreprise familiale pour en assurer le développement et faire de cette petite SARL, l’ETI patrimoniale internationale qu’elle est aujourd’hui.

« Nous étions dotés chacun à notre niveau de la bonne boite à outil et des qualités entrepreneuriales nécessaires pour développer et faire prospérer cette entreprise. Mes parents nous ont transmis leurs valeurs morales, le gout de l’effort et du travail bien fait, un sens aigu du commerce, et l’ambition de réussir. Nous avons très vite compris que pour pérenniser l’entreprise, se développer rapidement, mais durablement, il fallait se tourner vers l’international et c’est ce que nous avons entrepris. Nous avons un visionnaire dans la famille, mon frère Alain, Président du Conseil de surveillance qui a toujours su montrer la bonne voie et la bonne impulsion pour le groupe. Nous avons donc suivi tous ensemble cette nouvelle trajectoire et en 45 ans, MOBILITAS est devenu une belle ETI internationale avec près de 5000 personnes collaboratrices et collaborateurs, répartis sur 203 filiales dans le monde avec des implantations totalement opérationnelles en Afrique, en Asie, en Europe au Moyen-Orient, et dans les Caraïbes. »

La feuille de route du groupe, en constante évolution, adaptation, consolidation depuis des décennies a conduit l’entreprise à s’implanter dans toutes les zones ciblées, soit en créant Ex nihilo des filiales soit en jouant de l’accélérateur de la croissance externe. Aujourd’hui, le groupe MOBILITAS poursuit son développement et ses acquisitions dans le secteur du déménagement international de la gestion globale de la mobilité et de l’archivage, physique, numérique et patrimonial. La troisième génération est déjà aux commandes du groupe, avec Cédric Castro, actuellement Président du Directoire qui a hérité du Virus MOBILITAS et donne les nouvelles accélérations.

« Ces activités, projets, constructions, acquisitions, développements, renforcements nous occupent 365 jours sur 365 mais surtout : ils préparent et installent l’arrivée de la troisième voire quatrième génération de notre famille aux affaires, confirmant encore plus s’il le fallait le caractère ETI patrimoniale de MOBILITAS. »

Pour finir, Joëlle Castro a prononcé quelques mots sur son parcours et ses missions internationales au sein du groupe : «  J’ai consacré toute ma carrière à la promotion du savoir-faire français dans le monde. Mon ADN de « business développeur » alliant une volonté de fort développement à l’international a permis à mon groupe familial de rejoindre le rang des ETI patrimoniales, champions mondiaux dans leur secteur. Après avoir créé le service international en 1991, mis en place et géré les équipes import-export et commerciales, AGS/MOBILITAS se devait d’être reconnu dans le monde ; j’ai donc pris mon bâton de pèlerin pour parcourir le monde pendant des décennies, et rejoint le CNCCEF pour mettre ce savoir-faire acquis tout au long de ces années au profit d’autres entreprises. J’ai pu créer des réseaux d’une grande richesse et atteindre ainsi les objectifs que je m’étais fixés. »

 

Club ACE : la « gestuelle » en question à l’ESSEC

Club ACE : la « gestuelle » en question à l’ESSEC

Le club ACE a organisé le 17 octobre une rencontre à l’ESSEC afin de découvrir cette grande école de l’intérieur, à l’invitation de Nicolas BURCKEL, directeur du pôle entreprises ESSEC et de son équipe, qui a évoqué l’impact global et l’ancrage local de cette business school, qui partage les mêmes enjeux qu’une entreprise, se veut créatrice d’emplois et de valeurs sur le territoire. A cette occacion, le club avait également convié Isabelle POINSON (Isactive), conférencière dynamique et passionnante, qui est intervenu sur le thème “La gestuelle : un puissant outil de négociation !”. Son intervention interactive et cocasse a permis à chacun d’apprendre à décrypter et comprendre nos attitudes et gestes inconscients, de mieux lire les émotions.

Des salles de cours ouvertes, qui correspondent aux nouveaux formats de pédagogie, des tableaux interactifs… même dans ce domaine, l’ESSEC est à la pointe des évolutions. Avec de gros projets immobiliers en cours pour développer son campus et revoir l’ensemble des modes de circulation, l’ESSEC se positionne comme une école « monde » avec des racines locales, implanté à Cergy depuis 1974. « Il est vrai que la sélection pour entrer à l’ESSEC est exigeante, souligne Nicolas BURCKEL. Nous expliquons à nos étudiants, que leurs futures responsabilités les conduiront à avoir un impact sur la société et qu’il est donc essentiel pour eux d’intégrer certaines dimensions, notamment sociétales et environnementales. Les 160 professeurs de l’école font à la fois de l’enseignement et de la recherche. Ils sont dans une logique permanente de compréhension du monde et des enjeux actuels, qu’ils restituent aux étudiants. » Très tourné vers l’entreprenariat, l’ESSEC travaille avec beaucoup d’entreprises, plus de 2000, donc une centaine avec lesquelles elle a des relations co-construites et des interactions sur mesure. Chaque année, elle répertorie plus de 60 000 offres de stage. Elle est aussi la première école Bac + 5 à avoir ouvert la voie de l’apprentissage et compte environ 20% de boursiers.

Isabelle Poinson a ensuite pris la parole tout en s’inspirant des gestes et des attitudes de ses interlocuteurs pour dynamiser son intervention. « Tous ces codes amènent un vrai plus dans la vente et la négociation, cela fonctionne vraiment ! Mais il ne faut pas non se laisser déconcentrer et chercher à interpréter le moindre mouvement ! »

Essec : 01 34 43 30 00 – relations-entreprises@essec.edu
Isabelle Poinson – Isactive : 06 64 67 20 09 – ipoinson@isactive.fr

Les FCE 95 organisent leur soirée Prestige

Les FCE 95 organisent leur soirée Prestige

Les FCE 95 ont organisé jeudi dernier leur soirée Prestige à l’Abbaye de Royaumont. Un moment très convivial dans un cadre magique, qui a rassemblé près de 150 personnes. L’association, qui regroupe une quarantaine d’adhérentes, fédèrent des femmes chefs d’entreprise, qui mènent de nombreuses actions tout au long de l’année pour soutenir des causes qui leur tiennent à cœur, sensibiliser les plus jeunes à l’entreprenariat, et pousser les femmes à la tête de leur société à prendre des mandats au sein des instances décisionnelles. Le fil conducteur de l’année 2019 était la création artistique dans l’entreprise.

Carole Gratzmuller, qui préside cette année les FCE 95, a présenté le bilan 2019, une année ponctuée par de nombreux ateliers artistiques (tels que la création d’un parfum) animés par Pauline Dumail (Feel by Smell). En 2020, l’association soutiendra le Judo Club Escales d’Argenteuil, qui prépare de jeunes sportifs telles que Clarisse Agbegnenou aux Jeux Olympiques de Tokyo, et cherche des financements pour payer ce long voyage.

Pour illustrer le thème de cette année, les FCE 95 avaient convié Nelly Rodi, très belle société de conseil en innovation et en création. Basée à Paris, Tokyo et New-York, elle est une référence mondiale de la prospective appliquée aux industries et aux services, et accompagne les marques (textile, prêt à porter), les fonds d’investissements, les organismes collectifs dans leur développement stratégique, marketing, produit et digital. La dirigeante a évoqué son parcours, réussissant à s’imposer dans un milieu d’homme, en misant sur la singularité, l’agilité, l’engagement, la transparence et l’expérience… Cette soirée a été ponctuée d’autres interventions (théâtre et chant) requérant la participation du public, avant d’ouvrir le buffet.

https://www.fcefrance.com/delegation/val-d-oise   –    https://www.facebook.com/groups/1430124787309142/

L’offre hôtelière se renforce à Roissy CDG

L’offre hôtelière se renforce à Roissy CDG

Le Groupe ADP, en tant que propriétaire foncier, aménageur et investisseur, ADIM Paris Île-de-France (filiale de développement immobilier de VINCI Construction France) en qualité de promoteur et Cycas Hospitality, en tant qu’exploitant hôtelier, ont signé les accords permettant la construction et l’exploitation sur l’aéroport Paris-Charles de Gaulle d’un combo hôtelier double-enseigne rassemblant Courtyard**** et Residence Inn****, deux marques appartenant à Marriott International.

Conçu par l’architecte primé Manuelle Gautrand, ce complexe hôtelier, dont l’ouverture est prévue pour janvier 2022, sera doté d’une surface de 13 500 m². Il comprend un hôtel Courtyard by Marriott**** de 223 chambres et une résidence hôtelière Residence Inn**** de 100 appartements, proposant des suites avec cuisine destinés aux longs séjours (plus de 24 heures).

Logés dans le même bâtiment, mais répartis sur deux volumes, les deux établissements offriront leurs services de manière différenciées et autonomes, tout en partageant des espaces de convivialité communs : au rez-de-chaussée, très largement vitré et offrant de larges volumes (4,5 m sous plafond), les espaces de réception (lobbys) des deux enseignes, ainsi qu’une salle de restauration de 300 m² pouvant accueillir les clients des deux hôtels et du quartier ; une salle de sport/fitness, un espace de co-working et des salles de réunions sur 330 m², répondant ainsi aux nouveaux besoins de services des clients ; un parking de 50 places en sous-sol.

Ce nouveau complexe hôtelier enrichit l’offre d’hébergement sur l’aéroport qui, portée par la croissance du trafic aérien, a plus que doublé en dix ans avec 3 181 chambres à fin 2018 contre 1 480 chambres en 2008. Après l’ouverture début 2019 de l’hôtel Innside by Meliá de 267 chambres, propriété du Groupe ADP, la capacité d’hébergement de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle s’établit désormais à 3 448 chambres réparties sur 11 hôtels et devrait atteindre 4 460 chambres à l’horizon 2025 du fait des futurs et nouveaux projets hôteliers en cours. Considéré de par sa superficie comme la plus importante ville aéroportuaire au monde, le quartier d’affaires Roissypole regroupe environ 384 000 m² de bureaux, hôtels, commerces et services.

Données techniques

  • Propriétaire foncier et aménageur : GroupeADP
  • Promoteur :ADIM Paris Île-de-France
    (filiale de VINCI Construction France)
  • Investisseur : GroupeADP
  • Exploitant : Cycas Hospitality
  • Architecte : Manuelle Gautrand Architecture
  • Emprise foncière : 0,3 hectare
  • Surface de plancher : 13 500 m²
  • Capacité : 323 chambres 4* et appartements 4*
  • Ouverture prévue : 1ertrimestre 2022