Le centre de formation et d’animation Sto fait sa rentrée avec une offre élargie

Le centre de formation et d’animation Sto fait sa rentrée avec une offre élargie

Le centre de formation et d’animation de Sto a rouvert ses portes depuis le 8 février. Au programme : deux nouveaux modules techniques dédiés à l’entretien et aux rénovations d’ITE et aux pathologies de façade et solutions en ravalement, et toujours les “Chantiers école ITE”, dispensés par les formateurs experts Sto, tous professionnels de la façade.

Après quelques semaines de fermeture en raison de la flambée des contaminations liées à la Covid-19, le centre affiche déjà complet pour les premières sessions. Situé au sein de son siège social à Bezons (95), certifié Qualiopi, il entend soutenir ses partenaires en mettant à leur disposition toutes les clés pratiques et théoriques pour faire monter leurs équipes en compétences, dans un contexte où la rénovation énergétique bat son plein.

Un centre de formation boosté par la rénovation énergétique

Depuis 2019, le centre de formation de Sto ne désemplit pas. A l’image de la forte activité, les demandes en formations sont très nombreuses, surtout pour le marché de la maison individuelle. Le secteur de l’isolation thermique par l’extérieur bénéficie d’un contexte réglementaire actuel très porteur (MaPrimeRénov’, rénovation globale, etc.).

“En 2021, nous avons formé 208 personnes, majoritairement des compagnons et des chefs de chantier, mais aussi de plus en plus de dirigeants d’entreprises. Le secteur de la maison individuelle est en plein boom. Il y a aussi de plus en plus de professionnels qui viennent de métiers annexes, comme par exemple l’isolation de combles ou le chauffage, et qui veulent compléter leur formation pour pouvoir faire de la rénovation globale. Nous avons déjà 70 personnes inscrites aux sessions du 1er trimestre”, analyse Laurent GIRARDEY, responsable des Techniciens d’application et du Centre de formation et d’animation.

Les travaux de façade nécessitent un savoir-faire pour livrer des projets de qualité, dans les règles de l’art. Qui dit pose de qualité, dit nécessité de se former ! Un sujet d’autant plus d’actualité pour faire face aux malfaçons constatées qui ont donné lieu à une diminution des aides de MaPrimeRénov’ pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur en juillet 2020.

Toutes les dates de formation et l’intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.

Pour plus d’informations ou pour réserver, contacter directement le Centre de formation de Sto : 01 34 34 57 22 – formation.fr@sto.com

La ministre de l’industrie choisit Balt pour dévoiler son Plan France 2030

La ministre de l’industrie choisit Balt pour dévoiler son Plan France 2030

A l’occasion d’un déplacement sur le site de l’entreprise Balt dans le Val-d’Oise, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie, a annoncé le volet de soutien à la filière des dispositifs médicaux. La ministre a choisi cette belle usine pour dévoiler la stratégie « medtech » du plan France 2030. La société, spécialisée dans les dispositifs médicaux pour le traitement des maladies vasculaires cérébrales, veut créer un centre mondial d’innovation dédié aux neurosciences à Montmorency.

Développer les dispositifs médicaux de demain pour traiter plus efficacement les maladies vasculaires cérébrales. C’est l’ambition de Balt, fabricant de microcathéters et d’implants médicaux, basé à Montmorency, dans le Val-d’Oise. L’entreprise familiale, fondée en 1977 et dirigée par Pascal Girin, président-directeur-général, est devenue depuis une ETI employant 600 salariés dans le monde (300 en France dont 200 à Montmorency). Son activité ne cesse de croître tout comme ses investissements. Son chiffre d’affaires a été multiplié par cinq et son effectif par six. 12 % de son chiffre d’affaires est consacré à la recherche. Elle prévoit de se doter d’un centre mondial d’innovation dans les neurosciences où seront menées des recherches sur le traitement d’autres pathologies cérébrales, mais aussi sur la connectique. Balt est la seule entreprise européenne dans ce secteur face aux Américains. Ses micro-cathéters et stents sont exportés à travers le monde et elle a acquis une usine en Californie. Balt, qui travaille en direct avec les médecins des centres hospitaliers universitaires de France (Chu), a été choisie comme exemple de la politique d’investissement que l’État compte conduire à travers son Plan France 2030.

Soutenir la filière

Dans le cadre de France 2030, 7,5 milliards d’euros sont mobilisés pour le secteur de la santé, dont 400 millions d’euros pour accompagner les entreprises du dispositif médical en France. Avec un objectif : réindustrialiser la France dans le domaine des industries de santé et accélérer l’émergence de leaders français au niveau européen et mondial. La filière française du dispositif médical et du dispositif médical de diagnostic in vitro compte 1 500 entreprises (françaises et étrangères), dont 93% de start-ups et PME. Elles emploient en France près de 85 000 personnes et présentent un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros.

Le secteur du dispositif médical est aujourd’hui confronté à de nouveaux enjeux. L’entrée en vigueur de nouveaux règlements européens induit une pression sur les ressources humaines et financières des acteurs de la filière, notamment les start-ups et PME. L’augmentation du coût des matières premières, additionnée aux difficultés de financement, réduit les capacités d’investissement des entreprises du secteur, dans un contexte de forts besoins capitalistiques pour des projets de long terme.

Si la croissance du secteur est fortement portée par l’export (+10% en 2021), la France capitalise peu sur son marché intérieur, le deuxième au niveau européen, et reste importatrice nette malgré l’existence d’un écosystème d’innovation très prolifique (premier secteur en termes de brevets déposés en 2021). Cette situation s’explique en particulier par les difficultés d’accès au marché des innovations françaises et à l’absence de mesures permettant à l’hôpital public de servir de démonstrateur et d’expérimentateur des innovations de rupture françaises.

Dans ce contexte, le volet « dispositif médicaux » de France 2030 aura pour objectif d’investir massivement dans le développement de technologies de dispositifs stratégiques comme les robots chirurgicaux, de faciliter l’accès des établissements de santé aux dispositifs médicaux innovants, de soutenir des projets d’industrialisation et de réduire les délais d’accès au marché.

Le Gouvernement déploie un plan d’action autour de quatre axes pour répondre aux défis technologiques et de santé publique majeurs, permettre aux entreprises du secteur de démontrer la valeur de leurs produits, industrialiser de nouveaux dispositifs médicaux, accompagner les entreprises dans leurs démarches réglementaires d’accès au marché

Les ministres annoncent aussi l’ouverture, le 25 février 2022, de l’appel à projets « Industrialisation des produits de santé ». Il vise à soutenir les projets d’industrialisation dans les secteurs de la biothérapie et de la bioproduction de thérapies innovantes, de la lutte contre les maladies infectieuses émergentes et les menaces NRBC (MIE-MN), et des dispositifs médicaux. Il sera doté d’une enveloppe de plus 800 millions d’euros. L’appel à projets « Industrialisation des produits de santé » sera ouvert jusqu’au 29 décembre 2023. Le cahier des charges sera disponible sur le site internet de Bpifrance.

https://www.bpifrance.fr – https://www.baltgroup.com

18 entreprises du Val d’Oise s’engagent pour l’insertion professionnelle

18 entreprises du Val d’Oise s’engagent pour l’insertion professionnelle

La préfecture du Val-d’Oise, la Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités et la Chambre de commerce et d’industrie du Val-d’Oise se mobilisent pour l’insertion professionnelle à travers le dispositif : « Le Val-d’Oise, une chance. Les entreprises s’engagent ».

Le 3 février dernier, Xavier Delarue, préfet délégué pour l’égalité des chances et Pierre Kuchly, président de la CCI Val-d’Oise, ont signé les chartes d’engagement avec 18 entreprises du territoire, en présence  d’Emilie Ivandekics et Philippe Bonne, élus référents ESS à la CCI 95.

La signature des chartes matérialise la volonté des chefs d’entreprise de faciliter l’accès et l’intégration sur le marché du travail des publics éloignés de l’emploi (jeunes, travailleurs en situation de handicap, résidents des QPV, réfugiés, …). En favorisant l’apprentissage, l’intégration de stagiaires, le recrutement équitable et positif, les achats responsables, ils s’inscrivent dans une démarche citoyenne, tout en affirmant leur ancrage sur le territoire valdoisien, #Madein95.

« L’objectif est de reconnaitre le rôle majeur des entreprises dans la cohésion sociale du pays en accompagnant la mise en œuvre d’engagements volontaires, innovants et concrets en faveur de l’inclusion par l’emploi » précise Pierre Kuchly, président de la CCI 95. Plus globalement, c’est un changement de paradigme qui est encouragé : produire, acheter, consommer différemment pour créer les conditions d’une croissance inclusive, en conciliant l’économique et le social.

« Aujourd’hui,  nous partageons la même conviction : la bataille de l’emploi et de l’égalité des chances doit être gagnée ! Les entreprises qui s’engagent adoptent une culture de l’inclusion et de la diversité.  C’est un enjeu de performance économique, d’attractivité et de compétitivité durable.  C’est aussi prendre sa part de manière responsable à un enjeu fort et prioritaire de cohésion sociale et territoriale » confirme Xavier Delarue, préfet délégué pour l’égalité des chances.

Les entreprises signataires :

Active Fermeture (Goussainville)

Babychou Services (Pontoise / Herblay)

Bernard Controls (Gonesse)

Cam Isol (Baillet en France)

Corsali (Montmorency)

Domaine des Vanneaux (Presles)

GPH (Beauchamp)

Initiactive (Cergy)

Koena (Argenteuil)

Mel Restaurant (Taverny)

MEVO (Argenteuil)

Nature et Cacao (Argenteuil)

Nicolas Goupil Consulting (Soisy sous Montmorency)

Point Pare Brise (Bernes sur Oise)

Raoudis (Cergy)

Ser’ins Intérim (Le Plessis Bouchard)

UltraServices (Beaumont sur Oise)

 

Contact entreprises s’intéresse à la FOOD TECH

Contact entreprises s’intéresse à la FOOD TECH

Contact Entreprises propose un numéro de rentrée consacré à la food Tech à l’occasion de son 30e anniversaire ! Et oui, voici déjà trois décennies que notre journal existe et se fait le relais du monde économique. Qui aurait imaginer une telle longévité ! Pour marquer cette date anniversaire, la parole sera donnée, tout au long de l’année, à des chefs d’entreprise qui font la vie du journal, déjà engagés en 1992 et toujours dans l’action en 2022 ! Du côté de la Food Tech, on pourrait définir ce secteur comme l’écosystème regroupant les entrepreneurs et start ups se servant de la technologie pour améliorer ou faciliter la production et la distribution alimentaire. Un challenge pour l’avenir dans un contexte d’accroissement continu de la population mondiale, qui doit également prendre en compte les enjeux environnementaux, et l’accompagnement des industriels dans cette transition. Bonne lecture !

Pour télécharger le dernier numéro :

https://www.contact-entreprises.net/wp-content/uploads/2022/02/Contact174.pdf

Le nouveau président de CCI France en visite à la Coding Factory

Le nouveau président de CCI France en visite à la Coding Factory

Le Toulousain Alain Di Crescenzo a été élu à l’unanimité président de CCI France. L’élection s’est tenue le 25 janvier dernier à Paris lors de l’assemblée générale d’installation à la Maison de la Chimie à Paris. Le nouveau président (PDG de l’éditeur de logiciel IGE+XAO) s’est ensuite rendu, dans l’après-midi, à la CCI du Val d’Oise, à l’invitation de Pierre Kuchly. Une première sortie qui lui a permis de rencontrer les élus valdoisiens, de visiter la Coding Factory (by ESIEE Tech, école de code informatique de la CCI Paris Ile de France) et d’échanger avec les jeunes présents, en présence de Dominique Restino, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de région Paris Ile de France.

Étaient appelés à voter tous les présidents de CCI territoriales et de CCI de région. « Je suis fier du réseau des CCI, de ses 4 400 élus et 16 000 collaborateurs. Ma principale ambition, en tant que nouveau président de CCI France, est de continuer de faire évoluer le réseau des CCI pour qu’il soit ce réseau utile, efficace et performant, au service du développement de nos entreprises et de nos territoires » déclairait le Toulousain peu après son élection. Le Medef national tout comme la CPME avaient tous deux soutenu la candidature du Toulousain.

Alain Di Crescenzo, PDG de l’éditeur de logiciel IGE+XAO a été président de la CCI de Toulouse (2012-2017) puis de la CCI d’Occitanie (2017-2022). CCI France est l’établissement national fédérateur et animateur de toutes les chambres de commerce et d’industrie de France et se positionne notamment comme l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. L’assemblée générale a aussi été l’occasion d’attribuer le titre de président honoraire de CCI France à Pierre Goguet qui en a assuré la présidence de 2017 à 2022. Il avait auparavant été président de la CCI de Bordeaux (2011-2017).