En 2022, Spie lance une vaste campagne pour recruter 3000 talents

En 2022, Spie lance une vaste campagne pour recruter 3000 talents

“Venez chez nous si ça vous branche !” : avec 2 200 recrutements en 2021 et tout autant prévus en 2022, SPIE France, filiale du groupe SPIE, leader européen des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications, lance sa nouvelle marque employeur : “Venez chez nous si ça vous branche d’agir pour la transition énergétique et pour la transformation numérique”.  Inspirée et créée avec le concours de plus de 3000 collaborateurs, cette campagne a été conçue à travers un processus 100% collaboratif et une mobilisation interne forte qui illustre l’engagement et la fierté d’appartenance des collaborateurs.  

La campagne révèle l’ambition de SPIE France, bâtir un monde toujours plus smart et responsable grâce au savoir-faire reconnu d’une communauté de passionnés qui aiment se réinventer et transmettre, d’audacieux qui entreprennent chaque jour, et de professionnels qui se révèlent dans la diversité de leurs missions et de leurs métiers. Toutes les filiales de SPIE France y ont participé et ont permis de créer une campagne tout à la fois, ambitieuse, attractive et représentative des valeurs de SPIE.

Acteur majeur de la transition énergétique et de la transformation numérique, chacune des filiales de SPIE France propose, partout en France, des carrières qui ont le vent en poupe et qui contribuent très concrètement à la lutte contre le changement climatique et au déploiement de nouveaux usages par le numérique : ingénieure-e efficacité énergétique, électricien-ne, ingénieur-e d’affaires, ingénieur-e télécoms, ingénieur-e réseaux, monteur réseaux, conducteur de travaux, ingénieur-e & technicien-e cyberSécurité, technicien-ne datacenters…

Avec un très large panel de métiers techniques et scientifiques accessibles à tous niveaux de diplôme, les filiales de SPIE France réunissent des femmes et des hommes mus par la même énergie : préparer l’avenir énergétique, créer de la valeur partagée par le numérique, et accélérer les démarches écoresponsables au service de la qualité de vie des clients et des collaborateurs. “Avec cette campagne, nous voulons mieux faire connaître nos métiers et notre entreprise. Auprès des jeunes notamment, mais aussi auprès des femmes qui ont toute leur place chez SPIE, alors que beaucoup pensent encore trop souvent que nos métiers sont réservés aux hommes”, commente Olivier Domergue, directeur général de SPIE France. Résolument portée par un discours de preuves, elle sera alimentée par des éléments factuels et des témoignages concrets qui viendront illustrer de quelle manière le groupe agit pour la transition énergétique et la transformation numérique, comment s’expriment et se vivent les trois piliers, et en quoi rejoindre SPIE c’est prendre part à la lutte contre le changement climatique et agir pour un numérique durable et responsable.

“En 2022, nos filiales recruteront plus de 2 500 collaborateurs dont plus de 500 alternants. Nous recrutons avant tout des talents qui veulent s’engager, qui ont envie de partager nos passions, des audacieux qui, comme nous, aiment entreprendre et souhaitent explorer la grande diversité des métiers et des secteurs dans lesquels SPIE intervient”, précise Olga Martin-Jarousse, Directrice des ressources humaines de SPIE France. “Nous portons une attention particulière à l’alternance car la transmission fait partie de notre ADN et recrutons plusieurs centaines d’alternants chaque année. Permettre aux jeunes de devenir à leur tour des ambassadeurs des métiers techniques est pour nous une grande fierté.”

Rendez-vous sur les réseaux pour découvrir #lapreuveparspie.

 

Pierre Kuchly dans la mêlée

Pierre Kuchly dans la mêlée

“Ravi d’avoir été élu président du Stade Domontois Rugby Club ! Refaire de ce club qui a une vraie histoire, un beau stade et un public fidèle, le club phare du département du Val d’Oise est mon projet…”, telle est l’ambition de Pierre Kuchly, président de la CCI du Val d’Oise et dirigeant de LSI, qui reprend les rênes du SDRC (Fédérale 2), en succédant à Serge Vidal lors de l’assemblée générale de l’association du 11 décembre dernier. Objectif : écrire ensemble une nouvelle page de son histoire et revenir au plus haut niveau.

Homme de terrain, Pierre Kuchly sait faire bouger les lignes et mobiliser les troupes. Une position qui devrait être un véritable atout pour le club historique, né en 1969. Si le stade domontois compte déjà un certain nombre de soutiens et investit les réseaux économiques, il a aujourd’hui besoin d’un coup de boost pour se relancer. “Je suis allé plusieurs fois au stade des Fauvettes, un très bel équipement, et j’ai vu une bande de volontaires motivés ! Je me dis que ça vaut la peine d’essayer. J’ai juste envie d’être le chef d’orchestre de toutes ces bonnes volontés, attirer du monde, changer le Stade domontois en Stade domontois-Val-d’Oise en amenant des appuis dans les entreprises et la politique”, souligne le nouveau président. A ce jour, l’équipe (avant-dernière de sa poule) doit composer avec un budget modeste de 300 000 euros (cinq fois moins que Nantes, leader du groupe). Pierre Kuchly entend rassembler, mobiliser et capitaliser sur ce sport très populaire, qui sera sous les feux des projecteurs lors de la coupe du monde de Rugby de 2023. L’ambition affichée est claire : mettre en lumière l’équipe valdosienne et tenter d’aller chercher sa place en Fédérale 1, et pourquoi pas encore plus haut.

Collégiens cherchent mentors pour projets de mini-entreprises

Collégiens cherchent mentors pour projets de mini-entreprises

La députée Fiona Lazaar (circonscription d’Argenteuil-Bezons) s’investit pour l’insertion, la jeunesse et la lutte contre le décrochage scolaire depuis le début de son mandat. Elle porte aujourd’hui un nouveau projet : celui de permettre à des jeunes du département et des quartiers de créer des mini-entreprises, en lien avec l’association Entreprendre pour apprendre, les FCE95 (Femmes Chefs d’entreprises), EAF95 (Entreprendre au féminin), avec le soutien de l’éducation nationale. Cette action à la fois solidaire et sociale ne pourra être menée à bien sans le soutien de dirigeants d’entreprise prêts à donner un peu de leur temps (1 à 2h/mois) et de leur savoir-faire. Leur rôle : chapeauter les groupes de jeunes pour les aider à coordonner leur projet en intervenant sur des thématiques spécifiques.

Et pourquoi pas devenir un entrepreneur en herbe dès le collège ? C’est en Bretagne que Fiona Lazaar découvre l’association Entreprendre pour apprendre, dont le rôle est interconnecter l’école et l’entreprise pour faire grandir tous les potentiels. D’emblée, elle trouve l’idée très intéressante et se fixe un challenge : décliner l’initiative dans le département. Pour cela, elle frappe à différentes portes, notamment celle des FCE95, présidée par Carole Gratzmuller. Sans hésitation, le réseau adhère.

“Notre objectif est d’ouvrir le champ des possibles, que l’on ait des parents chefs d’entreprise ou que l’on soit issu des quartiers, explique la députée. Il faut faire sauter les barrières et permettre à ces jeunes de rêver afin que chacun trouve sa place dans la société.”

Déjà 22* projets de mini-entreprises ont émergés dans le département. Pour leur permettre d’aboutir, l’association recherche des mentors pour les accompagner, transmettre aux jeunes leur expérience, les coacher et leur faire découvrir le monde de l’entreprise. Chaque chef d’entreprise s’engage auprès d’une équipe de mini- entrepreneurs dans le cadre de la mini-Entreprise. Sa mission est d’aider les jeunes dans la recherche de l’activité qu’ils vont développer de s’assurer de la pertinence et la viabilité de celle-ci en réalisant une étude de marché. Après avoir défini l’activité à développer dans leur mini-Enentreprise, les jeunes devront se répartir par service. Direction générale, service communication, technique, financier, relation client, ou encore service administratif et ressources humaines : chacun a un rôle et des responsabilités pour une mise en conditions réelles, qui pourrait susciter des vocations !

*Beaumont-sur-Oise – Collège Sainte Jeanne d’Arc, Goussainville – Collège Maximilien de Robespierre et Lycée Romain Rolland, Villiers-le-Bel/Arnouville – Collège Saint Didier et Lycée Pierre Mendès France, Deuil la Barre – Collège Denis Diderot, Pontoise – Lycée Camille Pissaro, Sarcelles – Collège Voltaire et IUT, Cormeilles en Parisis – Lycée pro Le Corbusier, L’isle Adam – Lycée Fragonard, Cergy – Lycée Galilée, Taverny – Lycée Carré saint Honorine

Pour rejoindre l’aventure : Quentin Debray q.debray@epa-idf.fr au 07 50 12 64 18

Les missions du mentor en quelques mots :

  • Rencontrer un groupe de jeunes pour les aider à mener à bien leur projet de Mini-Entreprise® en apportant vos compétences.
  • Créer votre espace sur notre plateforme pédagogique, afin de pouvoir suivre au mieux le projet de Mini-Entreprise®.
  • Leur permettre de découvrir le monde économique et le fonctionnement d’une entreprise en leur faisant partager votre expérience professionnelle. Et ce à des fins pédagogiques.
  • Soutenir les initiatives concrètes de jeunes (contact fournisseurs, administration, préparation au contact avec les clients et les investisseurs, prise de parole, aide à la stratégie de communication et à la réalisation des outils, etc.)
  • Accompagner les jeunes autant en présentiel qu’en distanciel grâce à des moyens digitaux comme Whatsapp, outils de visioconférence (type Zoom), etc. afin de s’adapter au contexte sanitaire actuel.
Le Club ACE en visite à la Turbine

Le Club ACE en visite à la Turbine

Le club ACE, qui rassemble des chefs d’entreprise de Cergy-Pontoise, a organisé une belle visite à la Turbine jeudi 25 novembre, en présence de Gilles Le Cam, vice-président en charge du développement économique de Cergy-Pontoise, venu parler de son action auprès des entreprises de l’agglomération. Le maire de Neuville a rappelé sa volonté d’être à l’écoute de toutes les entreprises. Magali Terrasson, project manager, et Jean-Claude Célestin, directeur de la Turbine, ont détaillé le rôle de cet incubateur-pépinière-hôtel d’entreprises, né de l’ambition partagée entre la Communauté d’Agglomération de Cergy-Pontoise et le Conseil Départemental du Val d’Oise, de créer un écosystème entrepreneurial de premier plan au niveau départemental et régional.

Connectée à l’écosystème local et au monde académique, la Turbine compte 6 500 m² dédiés à l’entrepreneuriat, à l’innovation et à la créativité, dans un cadre entièrement refait à neuf. Les adhérents du Club sont venus nombreux à la rencontre des résidents de la Turbine, jeunes entreprises innovantes, qui développent leur créativité dans des domaines très variés.

L’objectif d’ACE est à la fois de créer du lien avec les acteurs économiques de l’agglomération et d’initier des rencontres professionnelles, de s’ouvrir à différents univers comme le monde culturel ou sportif, de rester connecter aux institutionnels du territoire afin de maintenir un dialogue permanent ou encore de développer des passerelles avec les jeunes créateurs d’entreprise. Ce positionnement se veut différent des clubs business « stricto sensus », avec la volonté de maintenir un esprit d’entraide entre les adhérents. Prônant la convivialité, les rencontres ACE permettent à chacun de sortir la tête de l’eau pour se retrouver et passer un agréable moment.

De son côté, Gilles Le Cam a pu faire passer plusieurs messages aux participants et rappelé l’intérêt qu’il porte aux entreprises de l’agglomération, sa volonté est de créer un écosystème favorable pour les aider à se développer. L’élu ne ménage pas sa peine. Lors de cette rencontre, il a évoqué une journée type, qui le conduit de visites en réunions : une présence terrain quotidienne, qui lui permet d’écouter les entreprises, de comprendre leurs besoins, pour mieux orienter les actions.

Semaine de l’Industrie : une belle mise en valeur des métiers et des entreprises

Semaine de l’Industrie : une belle mise en valeur des métiers et des entreprises

Inventer un “avenir durable” : il s’agissait du thème de la Semaine de l’Industrie version 2021 (qui s’est déroulée du 22 au 28 novembre), qui entendait mettre en lumière l’adaptation des acteurs de l’industrie face aux grands enjeux sociétaux, évoquer la transition écologique, l’économie circulaire et la mixité des métiers dans l’industrie. Cette semaine était également l’occasion de mettre en avant les solutions mises en œuvre par les acteurs de l’industrie pour répondre aux préoccupations des jeunes et aux enjeux de production et de souveraineté nationale. Depuis 10 ans, la Semaine de l’industrie suscite des vocations en montrant que l’industrie offre des carrières passionnantes, stables, formatrices et en moyenne, mieux rémunérées que dans les autres secteurs. De nombreuses entreprises du Val d’Oise ont joué le jeu et ouvert leurs portes à cette occasion.  

Parmi celles-ci, Spie a fait visiter ses chantiers. Erom, entreprise de maintenance aéronautique, et Aubry NTV ont reçu les jeunes de bac Pro et de CAP métallier du lycée Rolland de Goussainville. La société Tôlerie générale (Beauchamp) a accueilli des lycéens venus de Jean Jaurès à Argenteuil et l’entreprise Careco (équipements pour véhicules automobiles), des jeunes du lycée Arthur Rimbaud de Garges les Gonesse. Ergalis a organisé, au sein de son agence de Bezons, un jobdating pour faire découvrir les métiers de l’industrie, et reçu la visite de la députée Fiona Lazaar. De son côté, la CPME a proposé à ses adhérents une visite chez Disco Pompe à Saint-Ouen l’Aumône, fabricant de pompes de transfert volumétrique pneumatique pour l’industrie cosmétique. A noter aussi la participation de Safran, Amada, Univeira, Cousu main, AZConstruction, AEG, Eurostar Engineering Plastics, Air France, Yvel… Une belle mise en avant des métiers de l’industrie pour susciter de nouvelles vocations.