par Audrey Le Meur | 11 Déc, 2018 | A la une, Actualitēs, Emploi
L’e-réputation est la perception réelle ou fictive de l’organisation par les internautes
Facteurs impactants :
La marque employeur, au même titre que la gouvernance, les produits, les services, l’éthique pour ne citer qu’eux, est devenu un marqueur de réputation à part entière, qu’il convient de suivre à la loupe dans la mesure où les médias web, les flux et l’instantanéité des transmissions impactent l’echo des prises de parole de ses parties prenantes internes et externes.
Il convient donc de mettre en place les bonnes pratiques pour la maitriser au mieux et la développer favorablement.
Les bonnes pratiques :
Une communication maitrisée :
- Vérifier et adapter régulièrement les contenus des pages dédiées
- Ajouter photos, vidéos, actualités, gaming, offrir régulièrement de nouveaux services
- S’assurer que le contenu reste fidèle aux pratiques réelles
- Nommer des collaborateurs « ambassadeurs » qui assureront l’interface avec le public lors de leur communication sur la culture, les valeurs et les usages de l’entreprise en respectant la charte de communication prévue au préalable
- Multiplier les réseaux et support web, personnaliser les messages et les contenus en fonction des cibles recherchées et des spécificités des supports
Une veille active pour mesurer sa e-réputation et réajuster ses messages :
- Vérifier sur les moteurs de recherches classiques, sur les sites, forums, et blogs, ce qui se dit à propos de l’entreprise
- S’assurer du bon référencement de l’organisation sur les moteurs de recherche
- Sur les réseaux sociaux, surveiller certains indicateurs tels que le nombre le likes, de partages, de visionnages, d’abonnés, de commentaires et messages
- Ouvrir un compte/page viadeo, facebook, twitter, linkedin, … et en suivre l’activité et les nouvelles fonctionnalités
- Soumettre régulièrement des questionnaires à remplir de façon anonyme aux salariés, clients, partenaires, prestataires
- Suivre l’activité sur le site internet de l’entreprise : nombre de visiteurs, pages visitées,…
- Suivre les notations et commentaires à propos des entreprises sur les sites spécialisés (Glassdoor, Viadeo, Indeed…) ou sur les espaces du web qui le proposentTout comme pour l’élaboration de la marque employeur, solliciter l’aide d’un cabinet conseil spécialisé ou d’un bon community manager (à temps plein ou à temps partagé) peut être pertinent.
A lire également l’interview de CAP ENFANTS
Des valeurs humaines fortes, la marque de fabrique de CAP ENFANTS
par Audrey Le Meur | 11 Déc, 2018 | A la une, Actualitēs, Emploi
La première crèche CAP ENFANTS a ouvert ses portes en novembre 2006 à Gennevilliers. Depuis, la société, créée par Claudia Kespy Yahi, a dupliqué son modèle, notamment à Cergy, et emploie 120 personnes. Le concept traduit la volonté de créer un accueil collectif qui privilégie le bien-être et l’épanouissement des tout-petits. Cap Enfants s’appuie sur La Bulle Musicale, une demi-sphère de 9 m² et 2 m de hauteur, brevetée au niveau international depuis 2008, dans laquelle les enfants peuvent en toute autonomie écouter des sonorités et visionner des images associées. Claudia Kespy Yahi nous en dit plus sur sa manière de conduire l’entreprise : en privilégiant l’innovation sociale, elle s’appuie sur des « collaborateurs heureux » et des « professionnels valorisés ».
Comment parvenez-vous à fidéliser vos nouveaux collaborateurs ?
L’entreprise est en constant recrutement. Nous sommes très attentifs à l’accueil qui leur est réservé, et d’autant plus aujourd’hui, car les candidats ont le choix. La première impression est très importante. Pour bien les accueillir, nous avons mis en place quelques gestes simples : un livret d’accueil ainsi qu’une tasse à café, un stylo leur sont offerts, la charte de l’entreprise et le règlement interne leur sont remis. Chaque nouveau collaborateur est accompagné par un autre professionnel pour faire ses premiers pas dans l’entreprise. Le tutorat est important pour rassurer et guider, faire en sorte que le nouvel arrivant se sente bien intégré, perçoive l’état d’esprit qui règne dans la société et s’intègre plus rapidement. Nous sommes très vigilants sur un point en particulier : que les discours tenus au moment du recrutement correspondent bien à la réalité.
Les candidats sont-ils plus volatiles ?
Les gens sont plus exigeants et surtout, ils recherchent du sens à ce qu’ils font, une finalité. Chez Cap Enfants, nous leur proposons de rejoindre une entreprise aux valeurs fortes. Notre bulle musicale participe de façon ludique à l’éveil des sens des petits, à l’acquisition du langage, à la socialisation des enfants (comprendre, parler…) afin d’offrir à tous les mêmes chances. Les gens prennent part à un projet pédagogique utile, en perpétuelle évolution et nourrissent un sentiment d’accomplissement. Nous travaillons beaucoup sur la formation continue (VAE) : cela oblige tous les membres de l’équipe à grandir et à évoluer. Cet ensemble renvoie une belle image : les gens sont fiers d’y prendre part, cela les motive. Nous clients le perçoivent également puisque nous avons 100% de taux de fidélité depuis 13 ans.
Quels profils recherchez-vous ?
Pour travailler auprès des enfants, il faut des gens qui ont en eux cette vocation. Avoir les bons gestes techniques ne suffit pas : ils doivent être capable de gérer la relation avec de jeunes enfants, au niveau émotionnel, relationnel, psychologique, faire preuve de stabilité. Les besoins ne sont pas minorés en fonction de la taille et tout commence dans la petite enfance. Parfois, nous avons en face de nous des personnes qui manquent de codes, de repères, mais qui, si on leur en donne l’opportunité, se révèlent dans ce qu’elles font. L’entreprise a un rôle social à jouer et cela est très valorisant. Nous avons embauché et formé chez Cap Enfants des gens « cassés » par la vie, qui se sont « réparés » chez nous, s’épanouissent dans leur métier et sont toujours à nos côtés.
Qu’avez-vous de plus que les autres à offrir aux candidats ?
Nous leur offrons, s’ils adhèrent à la philosophie de l’entreprise, une carrière et des perspectives. Autre facteur d’attractivité : la cohésion et l’ambiance. Chez Cap Enfants, les professionnels sont respectés, le cadre est juste. Il n’y a pas de favoritisme et nous ne pratiquons pas l’autoritarisme géré par la peur. Les managers sont impliqués. Je veille à ce qu’il n’y ait pas d’incompréhension, qu’entre la parole et les actes, les choses soient cohérentes pour ne pas susciter de déceptions. La management et la communication sont très importants : dès lors que les gens ont confiance, ils adhèrent et nous soutiennent. A côté de cela, nous leur proposons de petits avantages que chacun apprécie : comité d’entreprise, restaurant interentreprises, congés supplémentaires, mode de garde, distribution de bonbons, de pommes et de clémentines… Lorsque nous remportons un contrat, l’équipe profite d’une récompense collective et marquante en allant diner dans un restaurant étoilé Michelin. Les salariés ne pourraient pas forcément s’offrir ce type de sortie individuellement. C’est un moment convivial que nous partageons tous ensemble.
En quoi l’entreprise est-elle gagnante ?
Le salaire n’est pas la première source de motivation en entreprise. Etre heureux dans son travail, partager des valeurs positives, avoir un sentiment d’appartenance répond à une véritable attente. Si les gens sont motivés et se sentent bien, l’effet est vertueux, l’entreprise y gagne à tous les niveaux.
https://www.capenfants.com

Pour aller plus loin :
Memo : Marque employeur et e-réputation : les bonnes pratiques
par Audrey Le Meur | 3 Déc, 2018 | A la une, Le Magazine
Les investissements dans l’immobilier d’entreprise se portent bien. Ce mercredi, s’ouvre le SIMI, vitrine du marché français de l’immobilier d’entreprise, lieu d’échanges et de débats. Ce grand rendez-vous d’affaires entre professionnels permet aux collectivités d’exposer leurs opportunités en matière de projets immobiliers. Le département y sera représenté avec la présence du CEEVO et de nombreuses communautés d’agglomérations. Rendez-vous est donné les 5, 6 et 7 décembre au Palais des Congrès, Porte maillot. Pour coller à l’actualité, la rédaction a fait le point sur les grands projets en cours dans le département. A lire également : le portrait d’Hervé Deniau, nouveau directeur des Trois Fontaines, des pages spéciales sur la folie des Escape Games et un sujet sur quelques artisans valdosiens, à quelques semaines de Noël. Bonne lecture à tous ! Pour le découvrir cliquez sur ce lien : contact156
par Audrey Le Meur | 3 Déc, 2018 | A la une, Actualitēs, Mécénat
L’association Axe majeur de Cergy-Pontoise a tenu son assemblée générale le 30 octobre. Sa vocation est de faire connaître cette œuvre monumentale emblématique conçue par l’artiste Dani Karavan, d’agir auprès des autorités locales pour en assurer la conservation et d’aider au montage de nouvelles opérations de mécénat. Déjà deux opérations de mécénat auprès des entreprises de Cergy-Pontoise ont permis l’installation des Douze colonnes, devenues l’un des symboles de la ville, et la plantation d’arbres dans la descente vers l’Oise. Les membres de l’association se mobilisent pour continuer à être créatif dans ce domaine.
L’Association Axe majeur accompagne la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et Dani Karavan dans la poursuite et l’animation de cet espace exceptionnel, véritable « signature de Cergy-Pontoise. Elle est le reflet de la diversité et de l’énergie créatrice du territoire, elle réunit et fédère les partenaires, les acteurs et les personnalités qui, dans leur domaine, apportent leur soutien au projet : les institutionnels, les élus, le Département, la Région, l’Etat, le monde culturel, l’Université, la Scène nationale, la fondation Royaumont, l’Ecole national d’art, la base de loisirs de Cergy-Pontoise, les professionnels de l’architecture et de l’urbanisme, les acteurs économiques dont les 50 entreprises mécènes qui depuis plus de vingt temps ont directement contribué à sa réalisation.
L’Association Axe majeur a pour vocation de faire vivre et faire connaître ce lieu emblématique où se déroulent de grands événements : feux d’artifice, concerts, manifestation « 100 Contests », foire d’art contemporain, journées du Patrimoine, animations scolaires… Elle imagine et anime les opérations de mécénat destinées à financer des étapes du projet.
En un mot, l’Association s’investit pour que l’Axe majeur continue à évoluer et soit un lieu de vie et d’expression créative, ouvert à tous. Le site internet de l’association (www.axe-majeur.info) a été entièrement refondé début 2017. La visibilité qu’il donne au lieu et à son ouverture sur le paysage du bassin de Paris a attiré de nombreux tournages de films d’entreprise, musicaux et culturels. L’Axe majeur, ainsi déjà entré dans le patrimoine de l’agglomération, n’attend plus que sa reconnaissance par les labels officiels comme lieu remarquable d’invention artistique et paysagère de notre temps.
Une exposition consacrée à l’œuvre de Dani Karavan, dont l’Axe majeur est une des pièces principales a lieu actuellement à Paris, et jusqu’au 19 janvier 2019, dans la Galerie Bucher-Jaeger du Marais. L’association est actuellement présidée par Michel Jaouën, l’un des architectes fondateurs de ce projet.
par Audrey Le Meur | 3 Déc, 2018 | A la une, Actualitēs, Evenement
‘Recyclez’ vos jouets et offrez-leur une seconde vie ! Les Restos du Cœur et la STIVO lancent un appel aux dons de jouets du lundi 3 au dimanche 9 décembre 2018. La collecte de jouets Noël pour Tous est une action solidaire lancée par la STIVO afin de récolter des jouets et des jeux en bon état pour les enfants par le relai de l’association Les Restos du Cœur.
Pour cette 16e édition, les Restos du Cœur et la STIVO font appel à la générosité de tous pour récupérer des jouets neufs ou en bon état au profit de familles en difficulté : Jeux de société, puzzles, peluches, jeux vidéo, figurines, jeux de construction, poupées, voitures… en bon état !
Un dispositif de collecte est mis en place pour récolter les jouets du lundi 3 décembre au dimanche 9 décembre :