GARAC : opération sensibilisation deux roues

GARAC : opération sensibilisation deux roues

Le 18 mai se sont déroulés au GARAC, l’Ecole nationale des Professions de l’Automobile,  deux crash tests de voiture heurtant un scooter devant plus de 800 jeunes venus du Val d’Oise. Organisées par la préfecture du Val-d’Oise à destination des élèves de 3ème, 2nde et 1ère réalisées dans le cadre de « la Quinzaine Régionale des Usagers Vulnérables », ces démonstrations ont été réalisées par des pilotes professionnels avec le concours du SMUR et des Pompiers du VAL D’OISE, de la sécurité routière en présence du Préfet du département et du Maire de la Ville d’Argenteuil.

Plus de 800 jeunes du GARAC, de lycées et collèges des environs ainsi que des représentants de l’INCM ont bénéficié de cette action de prévention.

Objectif : prendre conscience que le pilote de 2 roues est un usager de la route vulnérable et qu’il doit anticiper les réactions des automobilistes. Et pour les élèves du GARAC, adopter une démarche citoyenne quand ils seront dans la vie professionnelle en sensibilisant les jeunes qu’ils rencontreront, aux dangers potentiels.

Dans un 1er temps, des démonstrations d’estimation de distance de freinage ont montré que tout le monde… se trompait ! Dans un deuxième temps, l’histoire vraie d’un jeune en scooter tué il y a deux ans dans le Sud de la France par un automobiliste roulant à vitesse et avec son portable a été racontée et démontrée : un heurt à 50 km/h simplement, un jeune sans protection avec un casque posé sur la tête, une projection sur le pare brise, une chute plusieurs mètres plus loin, le bruit du choc, les secours Pompiers et Smur qui ne peuvent plus rien, une famille qu’il faut prévenir…

Une démo électrochoc pour mieux prendre conscience des dangers auxquels peuvent être exposés les deux roues, et qui n’a pas laissé insensibles les participants.

http://www.garac.com

Jean-Michel Blanquer quitte l’Essec pour le Ministère de l’éducation

Jean-Michel Blanquer quitte l’Essec pour le Ministère de l’éducation

A 52 ans, il devient le nouveau ministre de l’Education nationale. Pour la communauté éducative, Jean-Michel Blanquer est un personnage connu, mais pas seulement parce qu’il dirige depuis quatre ans l’Essec, l’une des plus prestigieuses écoles de management françaises basée à Cergy-Pontoise. Expert et fin technicien, tout au long de sa carrière, ce diplômé de philosophie, agrégé de droit, a occupé de hautes fonctions d’administrateur au sein de l’éducation nationale. Il a aussi joué le jeu du territoire, en lien avec l’Université de Cergy-Pontoise et les grandes écoles de l’agglomération, avec lesquelles il a porté, dans le cadre de la Comue, le projet de futur campus international. 

Nommé recteur de Guyane à 40 ans, l’année suivante, en 2005, il est pressenti comme ministre de l’éducation nationale dans le gouvernement de Dominique de Villepin, mais il sera finalement directeur adjoint du cabinet de Gilles de Robien.

Il prend, en 2007, la direction de l’académie de Créteil, l’une des plus vastes et des plus difficiles de France métropolitaine. Il s’y forge la réputation d’un recteur bouillonnant, donnant, comme l’explique le Monde « son feu vert à tous types d’expérimentations ».

L’atout majeur de cette personnalité de la société civile est sa connaissance très fine des rouages du ministère de l’Education nationale, des syndicats et sa parfaite maîtrise des dossiers.

Opérationnel dès sa prise de fonctions, il va prendre cet été les premières mesures sur lesquelles s’est engagé Emmanuel Macron, à commencer par le dédoublement des classes de CP des écoles les plus défavorisées, celles des réseaux d’éducation prioritaire renforcés.

A l’annonce de cette nomination, François Germinet, Président de l’université de Cergy-Pontoise a tenu à le féliciter pour sa nomination, ainsi que Frédérique Vidal (université de Nice Sophia-Antipolis) au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

« L’Université de Cergy-Pontoise se réjouit du bon signal que représente la création de deux ministères distincts, Enseignement supérieur, Recherche et Innovation, et Éducation nationale ainsi que la nomination à leur tête de deux nouveaux ministres, a t-il indiqué, rappelant que « le projet d’Initiative d’excellence avait pu bénéficier du soutien et de l’engagement de Jean-Michel Blanquer, directeur général de l’Essec. » 

Expo universelle : Tous pour l’accueil du Village Global du Triangle de Gonesse

Expo universelle : Tous pour l’accueil du Village Global du Triangle de Gonesse

Les entreprises sont surmotivées pour l’Expo Universelle dans le Val d’Oise : + de 9000 entreprises et 17 réseaux d’entreprises se sont mobilisés en trois semaines ! L’opération lancée fin avril par la CCI Val d’Oise « 1 000 PME pour l’Expo Universelle dans le Val d’Oise »*  pulvérise les ambitions de départ…  A quelques jours de la présentation officielle devant le jury de la candidature Val d’Oisienne, Frédéric VERNHES, président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), a remis à Arnaud BAZIN, président du Conseil départemental du Val-d’Oise, porteur du projet avec la Communauté d’Agglomération « Roissy Pays de France » et la commune de Gonesse, la clef USB comprenant l’ensemble des soutiens apportés par les entreprises du département à travers leurs réseaux. 

Cette mobilisation exceptionnelle et très rapide montre combien les entreprises sont favorables à ce grand projet pour notre territoire Val d’Oisien dont l’ambition en la matière est malheureusement trop souvent contrariée.

L’ensemble des acteurs économiques ainsi mobilisés attendent donc avec espoir la décision du Groupement d’intérêt public (GIP) de la candidature française à l’exposition universelle fin juin 2017.

 

Entrepreneuriat étudiant : un engouement grandissant

Entrepreneuriat étudiant : un engouement grandissant

Les étudiants sont de plus en plus attirés par la création d’entreprise. A l’UCP, ils sont accompagnés et peuvent bénéficier du nouveau statut d’étudiant entrepreneur. Ces derniers peuvent suivre le DU « création d’entreprise » depuis 2009 et bénéficier depuis 2015 du statut d’étudiant entrepreneur. Ce statut leur donne accès à des cours le samedi matin dans le cadre du diplôme d’étudiant entrepreneur (D2E) et les autorise à travailler sur leur projet au lieu d’effectuer un stage.

Toutes les trois semaines environ, ils sont invités à des conférences à l’Essec pour y rencontrer des professionnels qui partagent leurs expériences et des conseils sur l’art de « pitcher » son projet, sur le financement participatif ou encore sur les fonds d’amorçage… Ce statut leur ouvre également les portes d’un espace de coworking (prochainement installé à la bibliothèque des Cerclades) et d’une permanence tenue par le référent entrepreneuriat de l’université, Jérémy Thierry.

« Cet accompagnement est très utile, il m’a permis d’avoir des avis sur mon projet de création d’entreprise et de déterminer un plan d’actions. Je me rends régulièrement à la permanence de Jérémy Thierry le mercredi et le vendredi après-midi pour faire un point avec lui et je participe aux ateliers où j’ai eu la chance de rencontrer des investisseurs, des représentants de la banque publique d’investissement (BPI) et de la Chambre de commerce ». Jelhad Msaidie, étudiant de 2ème année d’économie-finance, projette de créer une entreprise qui propose aux étudiants de préparer l’examen du code de la route.

Ce statut d’étudiant entrepreneur s’obtient dans le cadre du projet national PEPITE. A l’échelle du PEPITE Vallée de Seine, auquel appartient l’UCP, ils sont 120 étudiants entrepreneurs, 25 sont scolarisés à l’UCP. « Ce chiffre nous place au deuxième rang national, précise Christophe Dagues. L’an passé, nous comptabilisions un seul étudiant entrepreneur à l’UCP et 17 à l’échelle de la COMUE, cette montée en charge manifeste le vif intérêt de nos étudiants pour la création d’entreprise ».

De 17 à 120 étudiants entrepreneurs en un an

Ce statut d’étudiant entrepreneur permet de conserver la couverture sociale et les droits attribués aux étudiants, idéal pour se lancer juste après les études et de bénéficier d’un accompagnement notamment dans le cadre des nombreuses démarches nécessaires.

L’UCP entend renforcer l’accompagnement aux étudiants entrepreneurs et atteindre le nombre de 300 étudiants entrepreneurs à l’échelle de la COMUE. L’idée est de rapprocher les étudiants des différents établissements pour constituer des équipes pluridisciplinaires. A l’image des projets Nikki ou Digital Officine qui réunissent des étudiants en marketing à l’Essec avec leurs camarades de l’ECAM-EPMI et de l’EISTI. « On ne perd pas de vue que la création d’entreprise est une source d’insertion professionnelle, glisse Christophe Dagues. Avant d’ajouter : « Nous aimerions toucher davantage les doctorants qui pourraient se tourner vers l’entrepreneuriat pour entrer sur le marché du travail ! »

Les candidatures pour obtenir le statut d’étudiant entrepreneur sont à déposer à partir du 15 mai. Le formulaire d’inscription est en ligne sur le site etudiant.gouv.fr, rubrique « votre emploi ».

Jeremy Thierry vous accueille dans les locaux de la direction de l’orientation et de l’insertion professionnelle au rez-de-chaussée de la tour des étudiants. Il est joignable au 01 34 25 63 48.

La CPME lance sa première université francilienne des entreprises

La CPME lance sa première université francilienne des entreprises

Pour cette première édition, la CPME a choisi le Val d’Oise ! Elle organise le 29 juin, à Argenteuil, « l’Université francilienne des entreprises », manifestation portée par la CPME Ile de France. Il s’agit d’une demi-journée (de 14h30 à 21h) rythmée par des ateliers débats, des séances plénières, un espace village de services et un salon des adhérents, le tout ponctué par un cocktail convivial. Cette manifestation est aussi l’occasion de fêter ensemble « l’Entreprise ».

Tous ceux qui veulent participer (adhérent ou non) peuvent s’inscrire gratuitement sur goo.gl/LCZIra

L’événement se déroulera à la salle Jean Vilar (9 Boulevard Héloïse à Argenteuil) en présence de Pierre Kuchly et de Bernard Cohen-Hadad, Présidents de la CPME Paris Ile-de-France et l’ensemble des présidents des CPME franciliennes.