par Audrey Le Meur | 8 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Innovations
Soucieux d’apporter qualité et sécurité à leurs clients en cette période de crise sanitaire, le groupe AGP, spécialisé dans la sécurité incendie (Osny et Saint-Ouen l’Aumône, 95), et le groupe SGIV, spécialisé dans les enseignes et les signalétiques (Méry-sur-Oise, 95) se sont rapprochés pour proposer des solutions de protection innovantes et efficaces #madein95. Leurs efforts ont porté sur la conception – fabrication de vitres de protection COVID-19 en Plexi, standard ou sur-mesure, baptisées PROTECTIOME, destinés aux collaborateurs en contact avec le public.
La cloison de protection COVID-19 permet aux personnes travaillant derrière une borne d’accueil ou une zone d’encaissement, de continuer à exercer leur activité professionnelles dans des conditions de travail optimales. Aussi efficace en extérieur qu’en intérieur, le matériau qui compose la vitre de protection COVID-19 protège les collaborateurs, tout en respectant toutes les préconisations de distanciation sociales et sanitaires.
Réalisés en polycarbonate compact incolore, d’une épaisseur de 5 mm, matériau haut de gamme d’une grande résistance, ces produits disposent d’une longévité ayant fait ses preuves dans le monde du bâtiment depuis plus de 30 ans. Ils s’inscrivent dans une démarche de long terme, pour une utilisation durable, en réponse aux changements organisationnels imposés par la crise sanitaire. Les cloisons répondent à des besoins spécifiques, prenant en compte l’agencement du site, avec une conception sur-mesure si besoin.
Un partenariat gagnant
Le groupe AGP et SGIV se sont associés pour proposer cette prestation à leurs clients. Les cloisons sont conçues et fabriquées en France, dans le Val d’Oise, par la société SGIV. MADICOB, entité du groupe AGP, assure leur commercialisation, fort d’un réseau de distribution bien établi dans le monde de la sécurité incendie ; SPEM et POLLET (groupe AGP) réalisent la pose, l’installation et la mise en œuvre de ces parois spécifiques, lumineuses ou non, sur des programmes complexes : hôpitaux, zones aéroportuaires, centres commerciaux, banques, administrations de jour comme de nuit, plateaux en open spaces, dans des environnements fortement contraints, en toute sécurité. SPEM propose un package incluant la fourniture du produit, sa livraison et sa pose.
Deux solutions adaptables à la configuration des locaux sont possibles :
PROTECT’ Mobile, avec pieds à poser.Cette solution standard, simple et rapide à mettre en œuvre, est prête à poser sur un comptoir, sans installation particulière.
PROTECT’ Fixesans pied à suspendre.Cette version sur-mesure, avec un design et une découpe correspondant à la configuration de l’espace à aménager, est recommandée lorsque la pose sur un support n’est pas possible. La vitre aérienne se fixe au plafond. Sa hauteur est ajustable en fonction des câbles qui la soutiennent.
A propos du groupe AGP :
Le groupe rassemble plusieurs entités complémentaires : MADICOB (fabricant d’équipements techniques, exutoires, ouvrants, dispositifs de commande pour le désenfumage naturel et l’aération), COMTRA France (spécialiste des commandes à distance d’ouvrants), POLET (installation et maintenance de systèmes de désenfumage naturel), SPEM (installation et maintenance de matériel de sécurité incendie), ou encore PRODEXO (assemblage de produits) et ACSI (formation). Equiper, sécuriser et former ses clients sont les principales volontés du groupe qui s’appuie sur son savoir-faire historique pour se développer tout en allant chercher des expertises nouvelles pour enrichir ses gammes.
A propos du groupe SGIV
Spécialisé, dans la conception et la fabrication d’enseignes et de signalétique, SGIV intervient depuis 2004 dans des déploiements complexes d’identification visuelle pour des réseaux franchisés, succursalistes en France ou à l’étranger.Pour réaliser les projets de ses clients, SGIV dispose de nombreux outils de production en interne et d’un parc machine numérique de pointe qui lui permettent de maitriser l’ensemble de la chaine de fabrication (tôlerie, plasturgie, peinture, électricité, menuiserie, travail sur le verre, et décors…).
par Audrey Le Meur | 8 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Conjoncture
Dans le contexte de crise liée à la pandémie de Covid-19, Orange accompagne ses clients pros et entreprises en leur offrant 10 Go d’internet mobile supplémentaires. A partir du 9 avril et jusqu’au 30 avril inclus, Orange poursuit ses mesures de solidarité en offrant 10 Go d’internet mobile supplémentaires aux clients pros et entreprises ayant consommé l’intégralité de leur enveloppe data. Cette offre sera valable une seule fois et utilisable jusqu’au 30 avril afin de faciliter le quotidien deplus de 600 000 clients pros et entreprises.
Cette recharge de 10 Go offerts sera automatiquement proposée aux utilisateurs par sms lorsque leur consommation atteindra 80% de l’enveloppe d’internet mobile disponible. Ils seront ainsi invités à se rendre sur leur espace client Orange ou leur application mobile pour en bénéficier.
En cas de besoin complémentaire, après l’usage des 10Go offerts, les clients pourront continuer à bénéficier des recharges data à prix préférentiel proposées par Orange depuis le 17 mars et jusqu’au 30 avril.
Ces mesures viennent renforcer le dispositif d’accompagnement mis en place par Orange pour permettre aux clients professionnels de poursuivre leur activité dans les meilleures conditions possibles. En effet, depuis le 3 avril et jusqu’au 31 mai, ces clients ont la possibilité, sur simple appel auprès du SAV, de bénéficier d’une augmentation de la data disponible dans le cadre de leur option Airbox Confort Pro permettant de garantir la continuité de leur service internet fixe en cas de panne ou en attendant l’installation de leur accès internet.
Enfin pour accompagner ses clients professionnels, Orange a mis en ligne les informations utiles pour la continuité de leur activité professionnelle : https://pro.orange.fr/informations-covid-19/maintenir-votre-activite-avec-orange.html
Précisions :
L’offre est valable avec tous forfaits “fair use” (en débit réduit), et sous réserve d’avoir reçu le SMS d’activation. Hors Clients Entreprise et Pros détenteurs d’un forfait mobile sans data ou d’un forfait initial bloqué.
Les 10Go d’internet mobile supplémentaires peuvent être souscrits 1 seule fois par ligne, entre le 9 et le 30 avril 2020. Quelle que soit la date de souscription de la recharge (entre le 9 et le 30 avril 2020), les 10 Go ne seront plus disponibles au-delà du 30 avril 2020.
par Audrey Le Meur | 7 Avr, 2020 | A la une, Accompagnement, Actualitēs, Conjoncture
Un mouvement solidaire s’est créé sur les réseaux sociaux à la suite d’un appel d’urgence de l’hôpital de Pontoise et du centre d’urgence COVID-19 de Taverny, qui ont besoin d’équipements de protection et notamment de blouses jetables en tissu non tissé. Ce collectif, né de l’initiative de PME valdoisiennes qui découpent les toiles et qui réalisent de la couture, réunit de nombreux bénévoles, des couturières bénévoles, plusieurs PME, des membres du CJD (Centre des jeunes dirigeants) et des FCE (Femmes Chef d’Entreprises). Parmi eux, la société MB&A, l’une des premières à avoir répondu présente à l’appel, spécialisée en sellerie aéronautique (Sarcelles). La dirigeante, Nadège Cassé, a mis son outil de fabrication et ses contacts au service de cette belle cause, avec le soutien et la mobilisation pleine et entière de ses salariées, fières d’oeuvrer pour les soignants.
MB&A : entreprise impliquée
Comme l’explique Nadège Cassé, dès le lancement du collectif initié par Estelle REUMAUX fin mars (lire génèse du projet plus bas), « tout le réseau s’est mis en mouvement en acceptant d’y consacrer du temps. Nous avons récupéré un prototype, puis trouvé la matière première auprès de mes différents fournisseurs. Clément De souza, qui dirige Acces-sit, entreprise de Saint-Ouen l’Aumône spécialisée dans la fabrication et la distribution de mobilier de restaurant, a proposé d’assurer la découpe des blouses. Son entreprise dispose de machines de découpe industrielle, ce qui nous a grandement aidé. Dès le lendemain, je démarrais la confection. D’autres gèrent le transport des blouses afin de les acheminer aux hôpitaux. Nous avons à ce jour produit 350 pièces chez MB&A, mais nous passons progressivement la main à des couturières bénévoles qui nous secondent, car les demandes ne cessent d’augmenter. Nous avons d’ailleurs mis en ligne des tutos pour la conception des blouses et masques. Nous ne pouvons malheureusement pas dédier notre activité uniquement aux fabrication de blouses. Des commandes nouvelles vont, dans les jours prochains, nous obliger à nous recentrer sur notre activité. Nous devons avant tout assurer la pérennité de l’entreprise. Le groupe Air France, dont les avions sont pour le moment parqués au sol, s’est rapproché de MB&A pour des protections destinées aux trains d’atterrissage, et nous sommes aussi sollicités pour fabriquer des masques. Nous allons néanmoins continuer à participer dans la mesure de nos possibilités, en faisant jouer nos contacts fournisseurs, car cette expérience est une très belle aventure. Toutes mes couturières ont été volontaires pour participer, heureuses d’aider, de donner du sens à leur travail. Elles ont hâte d’en refaire. Cela a resserré les liens au sein de l’équipe. »
Retour sur l’histoire de ce beau projet
Estelle REUMAUX est à l’origine d’une belle initiative. Suite à un poste FB de l’hôpital de Pontoise, elle a l’idée de mobiliser le CJD95 (présidé par son mari Matthieu) et de solliciter le club de couture de Marines (95), dont Nathalie, la présidente travaille chez Qualivrac (l’entreprise de Matthieu). La boucle est bouclée ! Le 28 mars le contact est pris avec l’hôpital de Pontoise, et un appel est lancé sur les deux réseaux CJD du 95: le réseau cjd95 et celui des anciens.
Lundi 29 mars, Arnaud Brusson offrait le stock de blouse de Stérigène. Clément De souza, qui dirige Acces-sit, entreprise de Saint-Ouen l’Aumône spécialisée dans la fabrication et la distribution de mobilier de restaurant, a tout de suite répondu présent, et Laurence Patry de l’entreprise Patry a fait suivre cet appel à son réseau FCE 95. Nadège Cassé, qui dirige MB&A, spécialisée en sellerie aéronautique à Sarcelles, s’est spontanément manifestée. Avec Clément et Nadège, une première production est programmée le 30 mars.
Le bouche à oreille des couturières bénévoles fonctionne à merveille. Samedi 4 avril, plus de 20 couturières bénévoles cousaient déjà des blouses à travers tout le Vexin. Plusieurs milliers de blouses seront offertes à l’hôpital la semaine prochaine. “Ce qu’il faut retenir de tout ça, souligne Matthieu REUMAUX, c’est qu’il n’a fallu donner qu’une petite impulsion. Il y a un élan de solidarité incroyable en cette période bizarre. Il suffit d’amorcer, et les choses se font. Chacun se sent concerné par la situation et le terme de vie en société prend tout son sens. Quand il n’y a plus l’économie, il n’y a plus non plus l’Economie au service de l’Homme, mais il reste l’Homme au service de la vie.”
Comment ça marche ?
Tous se mobilisent depuis plusieurs jours dans un seul but : répondre aux besoins d’équipements de protection, des blouses jetables, pour l’hôpital de Pontoise et le centre d’urgence Covid-19 de Taverny à l’origine, avant que la demande n’évolue sur tout le territoire du Val d’Oise. Aujourd’hui, les demandes affluent de tous les établissements de santé. A aujourd’hui 300 couturières ont répondu à l’appel…. et plus de 15 000 € de dons ont été collectés. Les entreprises qui le souhaitent peuvent rejoindre ce collectif, faire un don pour l’achat de la matière première via l’association Lisa Forever (www.lisaforever.com) qui collecte les fonds pour l’opération “Blouses”. Si après cette action, il reste des fonds, ils seront utilisés pour co-financer des projets de recherche contre le cancer chez l’enfant. Chaque don est éligible à la déduction fiscale et un reçu fiscal est émis automatiquement par mail au paiement du don. Il est aussi possible de rejoindre le collectif en participant à la confection des blouses ou obtenir plus d’informations sur le site : https://blousespourlhopital.com ou la Page Facebook: https://www.fb.me/blousespourlhopital (pour suivre l’évolution quotidienne).
APPEL À LIVREUR, vous voulez participer à cette belle action solidaire,
mais vous n’avez pas de talent de couturière. Vous avez un véhicule et votre permis de conduire,
blousespourlhopital/les-livreurs à besoin de vous !
par Audrey Le Meur | 7 Avr, 2020 | A la une, Accompagnement, Actualitēs
Sauvegarder le commerce de proximité face au COVID 19, c’est la priorité du dispositif « mes commerces à domicile déployé dans le Val d’Oise. Face à la crise sanitaire et économique que nous traversons, la Chambre de commerce et d’industrie du Val-d’Oise apporte son soutien aux commerçants fortement impactés mais engagés dans la poursuite leur activité. Depuis la mi-mars, ce dispositif « CCI Urgence Entreprise » a été mis en place afin de répondre à toutes les questions pratiques et réglementaires concernant les mesures gouvernementales (un numéro vert 01 55 65 44 44, une adresse mail urgence.entreprise@cci-paris-idf.fr). Aujourd’hui, la CCI Val-d’Oise va plus loin et déploie dans le département, à l’instar d’autres CCI d’Ile-de-France, le dispositif “Mes commerces à domicile”. Il s’agit d’un outil de communication simple et gratuit pour aider les mairies à référencer les commerçants de leur commune qui sont en mesure de livrer et d’assurer un service de vente à emporter.
L’enjeu est de mettre en avant le commerce local qui malgré le confinement continue à répondre aux besoins des clients. La CCI Val-d’Oise remettra aux communes participantes un kit communication (bannières, affiches) pour les accompagner dans leur communication sur leurs sites et réseaux sociaux et prendra également contact avec les commerçants pour les inviter à s’inscrire sur le site de leur ville. Les communes qui souhaitent rejoindre le dispositif peuvent s’adresser à Laëtitia Bizeul-Delalande, conseillère commerce à la CCI Val-d’Oise (tel 06 76 18 10 24 / lbizeuldelalande@cci-paris-idf.fr). Déjà une vingtaine de communes ou agglomérations du département se sont rapprochées de la CCI pour rejoindre ce dispositif.
Autre action : une plateforme dédiée www.soutien-commercants-artisans.fr a été lancée en ce début de semaine
Autre initiative complémentaire afin d’accompagner les commerçants et artisans indépendants de proximité qui sont de plein fouet impactés par la crise et le confinement : le Conseil du Commerce de France et Petitscommerces se mobilisent pour promouvoir une démarche permettant aux commerçants et artisans qui ne disposent pas d’outils de visibilité numérique de poursuivre en partie une activité durant la crise. Cette action s’inscrit dans la lignée des engagements d’ores et déjà pris par le CdCF pour valoriser le rôle du numérique au service du commerce de proximité, et notamment la publication d’un guide dédié en 2019.
Cette plateforme dédiée permet aux artisans et commerçants indépendants, qui sont encore trop souvent éloignés du numérique et qui ne disposent d’aucun moyen d’encaisser du chiffre d’affaires via un outil ecommerce, de s’inscrire gratuitement pour permettre à leur clientèle d’acheter leurs produits ou services sous forme de bons d’achat en ligne, à utiliser physiquement après la crise. Ce dispositif leur permet ainsi d’obtenir de la trésorerie immédiatement.
En 5 jours, le site développé par Petitscommerces a d’ores et déjà comptabilisé plus de 300 inscriptions de commerçants de 50 villes en France, petites villes comme grandes métropoles, qui cumulent plus de 6000 euros de commande en bons d’achat. Concrètement, comment fonctionne www.soutien-commercants-artisans.fr ? L’inscription du commerçant est gratuite, et le consommateur peut consulter le site librement également. L’inscription est réalisée en quelques clics. Chaque commerçant dispose d’une page dédiée sur la plateforme où il peut proposer des bons d’achat de 20, 50 ou 100 euros.
Le site envoie chaque semaine aux commerçants le montant des bons d’achat commandés minorés des frais de la plateforme et bancaires (4%) sans aucune commission de gestion sur ce service.
Les clients peuvent alors acheter en quelques clics leurs bons d’achat, à utiliser chez leur artisan ou leur commerçant après la crise, ou pendant celle-ci, si leur commerçant a mis en place un service de livraison à domicile, par exemple.
Si l’objectif est de faire connaître ce dispositif rapidement auprès des commerçants, il est aussi et surtout de le faire connaître auprès des consommateurs, afin que ces derniers se mobilisent pour accompagner leurs commerçants pendant cette période, et achètent des bons d’achat en ligne.
« Nous recevons de nouvelles inscriptions toutes les heures, et les commandes affluent de toute la France, l’élan de solidarité envers les petits commerçants est impressionnant. Aujourd’hui, nous voulons dire aux consommateurs : les commerçants indépendants de votre quartier ont toujours été là pour vous. Vous pouvez les aider maintenant et simplement en commandant un bon d’achat utilisable toute l’année ! », explique Jonathan Chelet, le cofondateur de Petitscommerces. Les consommateurs sont également incités à inviter leur commerce favori à s’inscrire sur la plateforme, via un dispositif lancé sur les réseaux sociaux et incitant à un très large partage citoyen de l’initiative.
www.soutien-commercants-artisans.fr
par Audrey Le Meur | 2 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Le Magazine
Chers lecteurs, nous tenions, malgré la situation, à publier en version numérique allégée (pas de version papier exceptionnellement pour ce numéro) le dossier et les portraits rédigés avant le confinement pour Contact Entreprises. Jessica Monti est notre femme du mois, à la tête d’une belle entreprise familiale de bâtiment, qui, comme ses confrères, doit faire face à une mise à l’arrêt de nombreux chantiers. Quart de Lait, notre entreprise du mois, est également dirigée par une femme, Karine Didier. Cette laiterie argenteuillaise bio subit, elle aussi, une grosse baisse d’activité liée à la crise. Nous espérons que toutes deux parviendront à passer ce cap difficile et leur souhaitons beaucoup de courage pour les semaines à venir.
Dans notre dossier ce mois-ci, il est question… de la médecine libérale, sujet retenu plusieurs semaines avant le crise du Coronavirus, signe avant-coureur sans doute. Nous avions déjà fait le choix de parler de la médecine de ville, en souffrance autant que peut l’être le milieu hospitalier, et de la façon dont ce secteur cherche aujourd’hui à se réinventer. Des tensions palpables sont dans l’air depuis un certain temps et des changements tendent à s’opérer dans le domaine médical pour améliorer la prise en charge.
En ces temps compliqués, nos colonnes restent bien sûr ouvertes à toutes les entreprises qui souhaitent valoriser un projet ou une intitiative. Bonne lecture et courage à tous ! https://www.contact-entreprises.net/wp-content/uploads/2020/04/contact164.pdf
