Jean-Eric Vergne, le pontoisien s’impose en Formule E

Jean-Eric Vergne, le pontoisien s’impose en Formule E

Jean-Eric Vergne, dont les parents gèrent le RKC à Cormeilles, est devenu le quatrième champion du monde de Formule E. Il succède à Nelson Piquet Jr, Sébastien Buemi et Luca di Grassi, dernier champion en date. Le pilote français s’est offert, le jour de la Fête Nationale, ce titre convoité. Régulier sur l’ensemble de la saison, en finissant dans le top 5 tous les E-Prix entre Hong Kong et Berlin, il s’est également imposé à trois reprises cette saison : au Chili, en Uruguay et en France, à Paris.

La Formule E, compétition internationale de monoplaces électriques, prend une place de plus en plus importante dans le monde des sports mécaniques. Elle se court en ville avec un niveau de performances toujours plus relevé. A partir de la saison prochaine (la cinquième), les constructeurs seront de plus en plus nombreux à l’investir, à l’image de Porsche, Mercedes, BMW ou Nissan qui vont ainsi rejoindre Audi, Jaguar ou DS (Renault laissant sa place à Nissan).

Ce succès croissant est marqué cette année par la réussite du pilote français Jean-Eric Vergne, pilote de l’écurie franco-chinoise Techeetah, qui a remporté le titre de champion de Formule E à l’issue de la première des deux courses courues à New York. Une forme de consécration pour cet ancien de la Formule 1, qui a côtoyé la catégorie reine du sport automobile entre 2012 et 2014 avec Toro Rosso. Engagé très tôt en FE, il poursuit l’aventure au sein de la même écurie l’an prochain (Techeetah). Jean-Eric Vergne a donc  décroché le titre en Formule E, le Championnat de monoplaces électriques, samedi dernier à l’issue du premier des deux ePrix de New York, avant-dernière course de la saison.

Parti en 18e et avant-dernière position après avoir vu son temps en qualifications invalidé par les commissaires pour avoir utilisé trop d’énergie, il est remonté jusqu’à la 5e place sur la ligne d’arrivée, quand son dernier rival, le Britannique Sam Bird (DS Virgin Racing), n’a pu faire mieux que 9e.

Le champion est un enfant du cru et du volant : né à Pontoise en 1990, il commence le karting à 4 ans, sur le circuit de son père qui gère le RKC de Cormeilles en Vexin. C’est bien sûr dans le complexe valdoisien que JEV, suivi dès l’âge de 5 ans par le pilote automobile Jean Alési et ex pilote F1 chez Toro Rosso (58 GP), a débuté en karting.

Lucy Bistro : petit restaurant mais grande cuisine

Lucy Bistro : petit restaurant mais grande cuisine

Le restaurant situé juste en face de la grande entrée du jardin de la ville et à 1 min à pied du centre historique de Pontoise fait désormais partie des incontournables de la la ville. Après avoir longtemps travailler sur Paris en tant que cuisinier dans des grands restaurant comme l’hôtel du Nord dans le 10ème  arrondissement de la capitale, Cyril Vanderheggen et sa compagne ont décidé de réaliser un rêve de longue date en ouvrant leur propre restaurant. ils ont jeté leur dévolu sur un établissement situé rue de Gisors à Pontoise. Bienvenue chez Lucy Bistro. 

Le chef Cyril propose à sa clientèle une cuisine française traditionnelle et gourmande 100% faite maison ! Egalement propriétaire d’un potager à l’arrière du restaurant, la clientèle profite de cette production, complétée par d’autres produits achetés sur les marchés locaux. « Nous avons fait le choix d’une petite carte avec cinq entrées, six plats et cinq desserts. Toutes les trois semaines, nous la renouvelons en changeant deux menus ». A la carte, des plats tels que le Risotto Crémeux aux Petits Pois et Asperges, Roquette et copeaux de Parmesan ;  Tataki de Thon au sésame mi-cuit, salade de légumes croquants, sauce Shirogoma ou LuCy Burger maison, frites maison et condiments.

L’établissement sort du lot : il est désormais l’un des mieux noté de la ville, apprécié pour son accueil, sa convivialité, sa déco façon bistrot, ses produits de qualité et ses belles assiettes gourmandes. « Victime » de son succès, le lieu affiche très régulièrement complet (réservation vivement recommandée). Comptez 16 euros pour un menu entrée – plat ou plat – dessert et 20 euros pour un menu (entrée – plat – dessert) le midi.

http://www.lucybistro.fr – Tél . : 01 30 75 07 74

La Région Île-de-France et Bpifrance lancent « L’accélérateur PME industrielles »à destination des ETI

La Région Île-de-France et Bpifrance lancent « L’accélérateur PME industrielles »à destination des ETI

Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance et Pierre-Oliver Brial, Président du club des ETI ont lancé en juin « L’accélérateur PME industrielles ». Ce programme de soutien à des PME industrielles qui produisent en Île-de-France s’inscrit dans le cadre de la stratégie Smart Industrie, votée en juillet 2017 et dotée d’un budget de 300 millions d’euros sur la durée de la mandature. Cet accélérateur doit notamment permettre à 500 PME et ETI franciliennes de se convertir au numérique et de se former aux besoins de demain. Trois entreprises valdoisiennes ont té retenues : Protec à Saint Brice sous Forêt, Dupliprint à Domont et Hexagone Manufacture à Argenteuil.

Valérie Pécresse a dévoilé les 21 entreprises (PME) industrielles lauréates du programme d’accélération pour l’année 2018. En moyenne, ces entreprises réalisent un chiffre d’affaires de 16 millions d’euros et ont une trajectoire de croissance de 13% entre 2015 et 2017. Toutes ces entreprises sont en phase de recrutement pour l’année à venir et comptent en moyenne 77 collaborateurs.

La Région Île-de-France finance le tiers du coût du programme qui s’élève à 6 millions d’euros sur 4 ans pour 90 entreprises visées, soit 1 955 000 euros. Bpifrance finance, pour sa part, 900 000 euros. Le solde, soit la moitié du budget, est pris en charge par les entreprises participantes.

Les candidatures pour l’année 2019 sont d’ores-et-déjà ouvertes, jusqu’au 28 septembre 2018, sur le site :  https://www.sphinxonline.com/SurveyServer/s/ACCELERATEUR1/AccPMI2_IDF_Reponsedudirigeant/questionnaire.htm

Peuvent candidater les PME qui produisent en Île-de-France et souhaitent franchir une étape dans leur développement, et dont le chiffre d’affaires est compris entre 5 et 50 millions d’euros. Les PME industrielles seront sélectionnées pour leur potentiel de croissance. Elles seront accompagnées sur une durée de 24 mois, afin de tendre vers le statut ETI (200 actuellement en Ile-de-France). En effet, les ETI sont fortement créatrices d’emplois et de valeur à long terme, leur développement est essentiel pour faire de l’Ile de France le berceau de la renaissance industrielle française.

Le programme Accélérateur PME industrielles propose :

– Un accompagnement stratégique et opérationnel réalisé par des consultants sur les leviers de compétitivité (export, innovation, croissance externe, transformation digitale, industrie 4.0…) de chacune des entreprises accélérées.

– 8 séminaires de formation délivrés par Centrale Supelec pour donner des clés de réflexions aux dirigeants sur leurs orientations stratégiques.

Il concernera 90 entreprises sur 4 ans (3 promotions seront lancées successivement de 2018 à 2020) avec l’objectif d’accroitre de 10 % le nombre d’ETI industrielles en Ile-de-France dans les 3 à 5 ans à venir. Au-delà du seuil (passage PME/ETI), les entreprises accélérées devraient voir leurs effectifs et leur chiffre d’affaires croître de 20 % en 3 ans.

Le coût de ce programme s’élève à 6 millions d’euros sur les 4 ans :

– La subvention régionale s’élève à 1 955 000 euros (1/3) pour l’ensemble du programme,

– La participation de Bpifrance s’élève à 900 000 euros,

– La participation Entreprise s’élève à 3 180 000 euros, soit 35 000 euros TTC euros par entreprise.

Pour en savoir plus sur le dispositif : https://www.iledefrance.fr/economie-agriculture/un-accelerateur-de-croissance-pme-industrielles-2018

Le Val d’Oise sous les projecteurs dans le dernier numéro de Contact entreprises

Le Val d’Oise sous les projecteurs dans le dernier numéro de Contact entreprises

Pour ce dernier numéro estival, la rédaction a choisi un sujet pour nous faire rêver un peu : le cinéma. Avec pas moins de 1200 films tournés dans le Val d’Oise,  la mise en place d’une vraie politique de marketing territorial, le grand écran valorise le département, contribue à son rayonnement et à son développement économique. La liste des étoiles passées par le Val d’Oise ces cinq dernières décennies pourrait presque concurrencer Hollywood Boulevard… Jean Marais, De Funès, Jacques Brel, Coluche, Bruel, Cotillard, Depardieu, Marielle… et bien d’autres. Ce numéro vous fait découvrir l’envers du décor. A lire également le portrait de Michel Lefèvre et de Cyril Baraban, président et directeur d’initiative 95, qui évoquent leur démarche en faveur de la création d’entreprise, et toutes les dernières actualités éco, un zoom sur le Rallye Meule bleues, les restos de l’été….

Bonne lecture, bonnes vacances à tous et rendez-vous à la rentrée !
Contact Entreprises n° 154

Spirit Entreprises construit un bâtiment à Louvres pour la société Haudecoeur

Spirit Entreprises construit un bâtiment à Louvres pour la société Haudecoeur

La société Haudecoeur a choisi Spirit Entreprises pour la construction de son futur bâtiment au sein de la ZAC de la Butte aux Bergers à Louvres (95). Ce Clé-en-main de 9490 m2 de surface de plancher sur un terrain de 22 423 m2 comprendra une partie entrepôt et une partie bureau qui accueillera 80 salariés. D’une architecture résolument moderne et visant une labellisation BiodiverCity, le bâtiment est dessiné par les Studios d’Architecture Ory & Associés. Fondée en 1932, la société familiale Haudecoeur a su s’imposer sur le marché de l’importation et de la distribution alimentaire en créant six marques dont « Riz du monde » ou « Samia ».

Elle distribue également des marques partenaires telles que « Maggi », « Ferrero » ou encore «Saupiquet ». La société est aujourd’hui un intervenant majeur sur le marché du riz, des légumes secs, des fruits secs, des épices, des céréales et des produits orientaux. C’est avant tout une histoire familiale qui a débuté à La Courneuve. Dès les années 1950, elle développe son offre en riz, légumes secs, fruits secs, épices et céréales et devient rapidement un acteur incontournable du marché de l’épicerie. Ce développement va ensuite s’illustrer par la création de 6 marques spécialisées dans les produits du monde  et notamment la marque leader sur les produits orientaux : Samia. A la fin des années 1990, Haudecoeur devient le premier industriel à proposer à la grande distribution des produits à destination des populations d’origine maghrébine, africaine, asiatique et antillaise. La société Haudecoeur parcourt le monde pour sélectionner ses produits à la source et les importer en France où ils sont industrialisés et conditionnés.