Le Festival d’Auvers-sur-Oise orchestre sa 36e édition

Le Festival d’Auvers-sur-Oise orchestre sa 36e édition

Le 36e Opus du Festival d’Auvers-sur-Oise, un des festivals de musique les plus prestigieux d’Europe, se déroulera du 11 juin au 8 juillet 2016. Fondé en 1979, cet événement musical international a d’ores et déjà rassemblé 15 000 artistes et 320 000 spectateurs depuis sa création. Il a pour vocation de faire connaître des artistes internationaux célèbres mais aussi des artistes en devenir, qui, grâce au rayonnement de ces spectacles, accroitront leur notoriété. En proposant ce festival, Didier Hamon (président) et Pascal Escande (directeur et fondateur) souhaitent amener à la découverte d’artistes et de créateurs, créer des rencontres entre les publics et proposer des productions innovantes.

Aujourd’hui, plus de 250 000 disques ont été produits par le label mission DiscAuvers et de nombreux jeunes artistes ont été révélés au grand public. Ce 36e opus, divisé en 13 prestations musicales variées de solistes, duos ou groupes, aura lieu principalement dans l’église Notre-Dame d’Auvers-sur-Oise.

L’édition 2016 proposera différents types de spectacles comme des voix, des récitals, des musiques de chambre, des prestations de piano, d’orgue et de violoncelle. Le 11 juin sera marqué par le concert d’ouverture, “Rosso, italian baroque arias” interprété par Patricia Petibon, soprano, et Venice Baroque Orchestra alors que le 8 juillet, le festival se clôturera par une prestation “Les lois du cœur et de l’âme” de Philippe Jaroussky et l’Ensemble Artaserse. Un rendez-vous musical, parmi les plus renommés de France, à ne pas manquer.

 

RAJA poursuit ses stratégies de diversification et d’internationalisation

RAJA poursuit ses stratégies de diversification et d’internationalisation

Leader européen sur le marché de la distribution d’emballages, de fournitures et d’équipements pour l’entreprise, RAJA, société implantée à Roissy-En-France, continue son ascension européenne avec une croissance de 8% en 2015 et un chiffre d’affaires de 475M€. Ces chiffres sont le résultat d’une stratégie de diversification et d’internationalisation rondement menées que le groupe a l’intention de poursuivre en 2016.

« En 2015, RAJA a confirmé sa dynamique de croissance et sa bonne santé financière. Grâce aux investissements effectués pour renforcer nos capacités logistiques et l’acquisition de Morplan, le Groupe va pouvoir accélérer son internationalisation en 2016 », a précisé Danièle Kapel-Marcovici, Présidente-Directrice Générale de RAJA. L’an passé, le rachat de Morplan spécialisé dans la vente à distance de fournitures et équipements pour les magasins, permet à RAJA de proposer de nouveaux produits et de cibler une clientèle plus large. Créée en 1954, cette entreprise possède 18 entités dans 15 pays européens, regroupant 1 600 collaborateurs et souhaite continuer sur sa lancée. « L’ouverture de nouvelles filiales en Slovaquie et au Portugal, la poursuite de notre plan de diversification, l’accélération de notre stratégie commerciale grands comptes et le lancement de RAJAMarket nous permettront de servir encore plus de clients et de leur offrir un choix de fournitures et d’équipements toujours plus large », a ajouté la présidente.

Après avoir testé pendant plusieurs mois le catalogue RAJAPRO en France et en Allemagne, celui-ci va être étendu à sept pays européens. Le groupe va également déployer une gamme de produits inédite comprenant des équipements de stockage, de manutention et d’atelier mais aussi intensifier sa gamme de fournitures et équipements d’entretien et d’hygiène en proposant 4000 nouvelles références, un nouveau catalogue, un site web et un centre de distribution en région parisienne. En lançant dès le second semestre 2016, le catalogue et le site web européen RAJABOUTIQUE, le groupe intensifie son offre de produits déjà composée de 10 000 références entreposées dans un espace de stockage de 170 000 m2. Une stratégie payante.

 

L’OGB 95 met à l’honneur les constructions valdoisiennes

L’OGB 95 met à l’honneur les constructions valdoisiennes

Quatre réalisations ont répondu aux exigences, en matière de qualité et de respect de l’environnement, requises pour l’obtention du prix de la construction et du développement durable en Val-d’Oise, remis par l’OGB 95. Le 20 mai dernier, l’Office Générale du Bâtiment 95, qui regroupe la Fédération Française du Bâtiment, l’Union Nationale des Syndicats Français d’Architectes, en partenariat avec le Conseil en Architecture, Urbanisme et Environnement, a organisé la 10e édition de cette remise de prix valdoisienne.

De nombreuses constructions publiques et privées réalisées depuis moins de trois ans ont été évaluées par un jury composé de professionnels de la FFB 95, d’architectes, de membres extérieurs dont le CEEVO et du CAUE 95. Parmi les critères retenus afin de départager les candidatures : la qualité architecturale et environnementale, tout comme la satisfaction des usagers suite à ces réalisations.

Quatre prix ont été remis en clôture de l’Université des Maires du Val-d’Oise. Cette année, l’évolution des constructions primées a pu être observée grâce à un espace photo présent pour la première fois et permettant de visualiser la progression de chaque établissement.

Les architectures lauréates de l’édition 2016 :

-16 logements collectifs à Bezons, réalisation de Gemaille RECHAK. Une construction livrée en 2016 de 1250 m2 pour un budget de 2,38M€ HT (pour la catégorie logement collectif).

– Le groupe scolaire Jean Louis Etienne à Herblay, bâtiment de 4923m2, réalisé par l’atelier d’architecture Remon et agence Nicolas en 2014 pour un budget de 10 400 000€ HT (pour la catégorie équipement scolaire).

-L’I.M.E d’Ennery réalisé par Archival. Cet établissement de 1894m2, ouvert en 2015, a nécessité un investissement de 2 780 000€ HT (pour la catégorie équipement éducatif).

– L’hôtel de ville de Bezons, construction de 5300m 2 livrée en 2015 pour un budget de 15M€ HT, a été réalisé par ECDM Architectes (pour la catégorie équipement culturel et administratif).

 

Le Conseil départemental s’investit pour l’éducation et le transport dans le Val-d’Oise

Le Conseil départemental s’investit pour l’éducation et le transport dans le Val-d’Oise

Le projet de la ligne 17 Nord du Grand Paris Express et le soutien de la collectivité à deux projets de l’ESSEC, voici les points à l’ordre du jour lors de la dernière assemblée du Conseil départemental du Val-d’Oise, qui s’est tenu le 27 mai.

La ligne 17 du Grand Paris Express prévu pour 2024, dont l’enquête publique a lieu du 25 avril au 31 mai, est essentielle pour le Val-d’Oise. L’objectif de la collectivité est d’insérer la gare du triangle de Gonesse et celle de Pleyel à cette future ligne de transport. Une interconnexion entre Pleyel et la ligne H, desservant plusieurs villes valdoisiennes, permettrait d’accéder plus facilement à des zones d’investissements et d’emplois. Un apport compris entre 250M€ et 300M€ serait requis pour sa réalisation. Une nécessité selon Luc Strehaiano, Vice-Président délégué et Président délégué du SDIS car « aujourd’hui 80% de nos actifs travaillent hors de nos communes ». Michel Aumas, Conseiller départemental délégué aux Affaires Internationales et Européennes exprime « la volonté d’inclure la gare du triangle de Gonesse dans ce projet afin que le TCSP Barreau de Gonesse y accède aussi ».

Depuis 30 ans, le Conseil départemental a investi plus de 130M€ pour le pôle d’enseignement supérieur valdoisien, ce qui a permis l’implantation de 10 écoles supérieures et d’une université. Lors de l’Assemblée départementale du 27 mai, les élus ont décidé d’allouer à l’unanimité à l’ESSEC une subvention de 300 000€ pour deux de ses projets. « Un Knowledge Lab de 900 m2 a ouvert ses portes au cœur de l’ESSEC et propose, notamment, deux studios d’enregistrement en libre-service ou encore une salle équipée afin de réaliser des CV sous la forme de vidéos », explique Guy Kauffmann, Directeur général des services du Conseil départemental. Cet espace, qui propose aussi un lieu dédié à l’immersion 3D, a nécessité un investissement de plus de 3M€ et permet à l’ensemble de la communauté de l’école de développer, modéliser et visualiser des nouvelles idées. 260 000 €, versé par le Département, aideront à l’acquisition d’équipements pour le Knowledge Lab.

Par ailleurs, 40 000 € serviront à la réalisation et à la diffusion d’un parcours pédagogique en ligne et ouvert sur le thème « se préparer au lycée quand on est au collège ». Ce projet pour l’accès des collégiens au lycée est soutenu par des entreprises comme l’Oréal ou Samsung. L’ESSEC a lancé avec succès cette nouvelle génération de programme d’égalité des chances, avec neuf lycées du Val d’Oise pour permettre aux jeunes de se préparer à la poursuite des études supérieures en s’appuyant sur le potentiel de numérique. Deux collèges à Cergy et à Goussainville travaillent sur la conception des contenus numériques.

Feel by smell crée votre signature olfactive

Feel by smell crée votre signature olfactive

Pauline Dumail développe une activité très novatrice en accompagnant les entreprises ou les institutionnels dans le domaine du marketing et de la communication multisensorielle. « J’aide mes clients à créer une signature olfactive, qui sera diffusée dans des lieux emblématiques (locaux, boutiques, lieux publics…). Nous pouvons aussi imprégner ces odeurs sur des pierres reconstituées pour les faire voyager. » Les enseignes cherchent désormais à solliciter tous les sens, à créer des émotions pour stimuler l’achat. Le media olfactif, devenu un véritable outil marketing, séduit de plus en plus d’entreprises désireuses de se démarquer et de diversifier leurs outils de communication. Installée à Champagne-sur-Oise, Feel by smell les accompagne dans cette démarche.

Après avoir occupé différentes fonctions dans des grands groupes (ventes, gestion, marketing), Pauline Dumail, passionnée d’aromathérapie, lance, il y a quelques années, un site d’e-commerce, qu’elle a aujourd’hui revendu pour se consacrer à un nouveau projet.

Sa nouvelle entité, Feel by smell conçoit des signatures olfactives qui contribuent à l’identité de marque, une pratique en pleine explosion, dans tous les domaines : Singapore Airlines est l’une des premières compagnies aériennes à avoir créé sa propre signature olfactive. Depuis les années 1990, la compagnie diffuse lors de ses vols un parfum spécialement créé pour elle. Il n’est pas simplement vaporisé en cabine : le personnel de bord porte ce parfum, qui imprègne aussi les serviettes chaudes.

En réalité, les entreprises qui décident de franchir le pas et de développer cet axe marketing sensoriel ne font que reproduire le syndrome de la madeleine de Proust. La mémoire olfactive, sens primitif de l’homme, est beaucoup plus tenace que la mémoire visuelle. Lorsque nous sommes habitués à une odeur, même de manière fortuite, des émotions et des sensations sont connectées à celle-ci et remontent à la surface, ce même après plusieurs années.

« Les odeurs ont 2 langages, précise Pauline Dumail. Il y a d’abord l’histoire olfactive qui fait référence à ce que chacun a vécu et ensuite, le langage universel, qui apporte une tonalité émotionnelle, comme une couleur ou un son. Une signature olfactive permet de créer une identité à part entière, au même titre qu’un logo. » On comprend mieux dès lors, les enjeux de la diffusion d’odeurs dans les stratégies de fidélisation, phénomène qui gagnent même les hôtels, les sièges sociaux des entreprises ou les sites publics.

www.feelbysmell.com