par Audrey Le Meur | 27 Mai, 2024 | A la une, Actualitēs, Le Magazine
Chers lecteurs, VOICI LE DERNIER NUMERO DE CONTACT ENTREPRISES….
Découvrez le vite en le téléchargeant ICI :
👉https://lnkd.in/edbNg-3w
L’échéance de Paris 2024 est toute proche…, avec, comme un avant-goût, le passage de la flamme qui embrasera le Val d’Oise le 19 juillet, en traversant 18 villes.
En lumière, dans ce numéro, un coup de projecteur sera tout naturellement donné sur l’est du département où tout commence et tout finit ! Roissy sera la porte d’entrée sur le monde, avec une logistique et une organisation dimensionnée au regard de l’événement.
A lire aussi dans ce numéro plusieurs portraits : Automatic Systems (leader dans la sécurisation des accès), Mathieu Barthelemy (Formaguard, la Guinguette de Pontoise, le DYR Festival) et celui du sénateur Daniel Fargeot.
Nous vous souhaitons une très bonne lecture et « Ouvrons grand les Jeux » ! Ciltius, altius, fortius » (plus vite, plus haut, plus fort), des valeurs qui rapprochent sportifs et chefs d’entreprise !
par Audrey Le Meur | 27 Mai, 2024 | A la une, Actualitēs, Investissements
ATTILA, entreprise spécialisée dans la réparation et l’entretien de toitures, ouvre une agence à Cergy-Pontoise. Avec déjà 120 agences en France, le groupe ATTILA poursuit son déploiement national avec l’ouverture d’une agence à Cergy-Pontoise.
La nouvelle agence cergy-pontaine ATTILA est localisée au 9 chaussée Jules César à Osny et a ouvert ses portes fin avril. Son dirigeant, Sébastien Fourcade, couvrira toute l’agglomération, accompagné de son équipe rassemblant une dizaine de collaborateurs : commerciaux et techniciens, promettant de couvrir l’ensemble de l’agglomération. L’agence offre une gamme complète de services, allant du bilan de toiture à l’élaboration de contrats d’entretien. Elle prendra en charge tous les types de toitures (industrielles, traditionnelles, en terrasse ou amiantées) grâce à ses cinq métiers : urgence, diagnostic, réparation, entretien et amélioration. « Avec l’ouverture de l’agence de Cergy-Pontoise, nous voulons proposer aux habitants et aux entreprises un service d’entretien de toiture sur-mesure et adapté à tout type de toits, qu’ils soient industriels, traditionnels, en terrasse ou amiantés. »
La création d’ATTILA émanait d’un constat de son fondateur, Benoît Lahaye : il est plus durable d’entretenir sa toiture pendant 20 ans que d’effectuer sa réfection complète. Il est donc important de prévenir tous types de menaces, via un suivi régulier. Entre autres, le temps et le climat ont des conséquences néfastes sur les toitures. La détection anticipée de ces problématiques permet de limiter les dégâts et de préserver la bonne santé de son toit. En imaginant et en proposant un service d’entretien et de réparation régulier, la recette ATTILA était née ! L’entreprise se positionne ainsi comme un véritable « défenseur du Capital-toit » mettant en œuvre toutes les solutions techniques nécessaires pour assurer la protection et la longévité des toits de ses clients (professionnels comme particuliers). 🌱Cette vision est particulièrement en phase avec les attentes environnementales et économiques actuelles, en s’inscrivant dans un principe de durabilité, de préservation des ressources, d’économie d’énergie et de matériaux. Et la demande connaît une forte croissance, aussi bien sur le secteur BtoB que BtoC.
Pour répondre aux besoins du marché, ATTILA vise l’ouverture de 80 nouvelles agences en France d’ici 2027.
par Audrey Le Meur | 27 Mai, 2024 | A la une, Actualitēs
Madame & Foodie est la nouvelle épicerie fine à Pontoise dédiée à l’art de l’apéritif et au meilleur des produits régionaux. Cette ouverture (bientôt complétée par la boutique en ligne) marque l’aboutissement d’une reconversion professionnelle pour sa créatrice, Alexandra Ruliere, avec la volonté de partager sa passion pour la gastronomie et promouvoir les savoir-faire français.
« Chez Madame & Foodie, nous croyons que l’apéritif est bien plus qu’un simple préambule au repas. C’est un moment d’échanges, entre amis bien sûr, mais sur la table aussi avec des produits et saveurs qui se partagent. Notre mission est de créer une expérience apéritive exceptionnelle en offrant une belle sélection de produits riches en histoire et en authenticité, explique la créatrice. Madame & Foodie propose une large gamme de produits salés et sucrés, sélectionnés avec le plus grand soin. Parce que nous les aimons, parce qu’ils sont bien faits, nous les conseillons. Notre sélection en épicerie salée et sucrée, c’est un travail de sourcing permanent pour proposer à nos clients les classiques qui ont fait leurs preuves, les nouvelles tendances de la gastronomie, les pépites de nos régions qui gagnent à être connues, les marques références de l’épicerie qui rassurent. Tous nos produits ont en commun des étiquettes lisibles, le souci du bien fait et comme priorité le goût. »
A noter que certaines spécialités régionales (exemples : le pâté aux pommes de terre du Limousin ou le Pastis landais) sont disponibles sur commande. Enfin, L’espace cave de Madame & Foodie est le rendez-vous des amateurs exigeants qui cherchent un vin ou une bière pour une véritable expérience gustative.
« Avec 13 années d’expérience dans le secteur du luxe, j’ai eu le privilège d’explorer et d’apprécier le raffinement sous toutes ses formes. Chaque journée a été une leçon d’élégance, de qualité et d’attention aux détails. Le raffinement ne se mesure pas seulement en termes de luxe, mais aussi à travers la délicatesse des saveurs et la richesse des expériences culinaires. Ma passion pour la gastronomie est profonde et personnelle. Elle découle du désir de partager les délices cachés des terroirs, de soutenir les artisans passionnés, et de créer une expérience où chaque bouchée est une aventure. Pourquoi Madame & Foodie ? Madame & Foodie n’est pas simplement une épicerie fine. C’est l’aboutissement de ma passion et de mon amour pour la gastronomie. C’est un espace où chaque produit a été choisi avec soin, où chaque détail est une déclaration d’amour pour le goût et l’authenticité. »
Alexandra Ruliere : 06 59 44 48 16 – contact@madameetfoodie.fr Adresse : 37 rue de l’hôtel de ville – 95 300 Pontoise
par Audrey Le Meur | 27 Mai, 2024 | A la une, Actualitēs, Evenement
L’entreprise organise une matinée Portes Ouvertes de 9h00 à 13h30 le vendredi 31 mai dans ses locaux. Plusieurs ateliers seront mis à votre disposition pour découvrir les formations du centre et essayer les différentes machines. En parallèle, elle s’implique activement aux côtés des pompiers dans la cadre de la CONVIVIALE ». Cet événement, qui se tiendra le mardi 18 juin 2024 est une journée golfique dont tous les bénéfices sont reversés à l’ODP (Œuvre des Pupilles), qui apporte un soutien financier et moral aux enfants de sapeurs-pompiers décédés.
L’entreprise organise une matinée Portes Ouvertes de 9h00 à 13h30 le vendredi 31 mai. Plusieurs ateliers seront mis à votre disposition pour découvrir les formations du centre et essayer les différentes machines. Le petit déjeuner sera également au rendez-vous et pleins d’autres surprises… entre 9h et 13h30. Inscrivez-vous rapidement en cliquant sur l’invitation ci-dessous.
Procarist s’engage aux côtés des pompiers. Depuis 1926, l’ODP (Œuvre des Pupilles), une association à but non lucratif, apporte un soutien financier et moral aux enfants de sapeurs-pompiers décédés, qu’ils soient en service ou non. Depuis 10 ans, les sapeurs-pompiers du Val d’Oise « SDIS 95 » organisent « La CONVIVIALE ». Cet événement, qui se tiendra le mardi 18 juin 2024 est une journée sous le signe du golf dont tous les bénéfices sont reversés à l’ODP, pour aider les enfants du Val d’Oise.
La société Procarist s’implique activement dans cette cause et invite son réseau à prendre part à cet événement. Btissam Tati, sa dirigeante, invite les entreprises à se joindre à elle en contribuant par des dons. La participation peut prendre plusieurs formes : jouer au golf, découvrir le sport, ou simplement venir déjeuner au magnifique golf de Domont le mardi 18 juin 2024. Chaque inscription contribue directement à cette belle initiative. Ou tout simplement partager cette information avec son réseau pour multiplier l’impact.
Inscription : sectiongolfsp95@gmail.com Journée complète : 77€ /Initiation : 55€ / Déjeuner seul : 45€
Contact : Btissam TATI – Site S.O.A. : 01 30 37 02 52 – Site Taverny : 01 86 23 03 90
www.procarist.com
par Audrey Le Meur | 16 Avr, 2024 | A la une, Actualitēs, Institutionnels
Après consultation de leurs instances, le MEDEF et la CPME ne participeront pas à une négociation ayant pour objet la mise en place d’un CETU obligatoire pour toutes les entreprises. La négociation interprofessionnelle au titre de l’article L1 du code du travail sur « l’emploi des séniors, les transitions et reconversions professionnelles, la prévention de l’usure professionnelle et le Compte épargne temps universel (CETU) » n’a pas abouti. Dans un communiqué commun, les deux organisation patronales expliquent leurs sujets de désaccord.
« Au cours des 3 mois et demi de discussions entre partenaires sociaux, tous les sujets ont pu être abordés et travaillés. Le MEDEF et la CPME regrettent qu’aucun compromis n’ait pu être trouvé malgré les nombreuses propositions et avancées sociales intégrées dans l’ultime proposition d’accord proposé par les 3 organisations professionnelles (MEDEF, CPME et U2P) aux organisations syndicales dans la nuit de mardi à mercredi dernier, au terme d’une séance marathon de 48 heures.
Ce texte avait pour objectif principal d’augmenter le taux d’emploi des actifs et de créer les conditions optimales d’un allongement de la vie professionnelle, en veillant à la qualité de la construction des parcours et à la prise en compte des situations particulières conduisant à des phénomènes d’usure professionnelle : CDI spécifique pour les demandeurs d’emploi séniors, négociations dans les branches et les entreprises de plus de 300 salariés sur l’emploi des séniors, aménagement facilité du temps de travail en fin de carrière, ouverture du contrat de professionnalisation à l’ensemble des salariés, amélioration des dispositifs de transitions – reconversions notamment dans les entreprises de moins de 300 salariés, etc.
Ces propositions n’ont, semble-t-il, pas convaincu les organisations syndicales, pour lesquelles l’enjeu était avant tout de faire de cette négociation l’acte II de la réforme des retraites. C’est un échec collectif et un mauvais coup porté au dialogue social interprofessionnel auquel nous restons fondamentalement attachés.
Force Ouvrière a pris officiellement position et ne signera pas la proposition patronale d’accord national interprofessionnel. Les autres organisations syndicales devraient se positionner cette semaine.
De fait, la négociation est donc terminée. Dès lors, il est inconcevable que les discussions se poursuivent sur l’ensemble des sujets déjà traités y compris sur les reconversions professionnelles : cette initiative de l’U2P, qui a pourtant validé la dernière version du texte transmise aux organisations syndicales, ne peut qu’être qualifiée de déloyale, notamment au regard de l’ANI paritarisme du 14 avril 2022.
S’agissant de la mise en place d’un CET universel, le MEDEF et la CPME ont affirmé dès le départ, et sans aucune ambiguïté, leur opposition à la volonté du gouvernement de mettre en place un CETU « obligatoire, opposable et portable », applicable à toutes les entreprises. Son application poserait de trop grandes difficultés notamment aux plus petites entreprises.
Alors que l’U2P, de manière pour le moins surprenante au regard des difficultés que cela pourrait poser aux artisans et aux TPE, considère désormais « que ce dispositif contribuera à accroitre l’attractivité des TPE auprès des salariés », le MEDEF et la CPME réitèrent leur opposition à la mise en place d’un CETU obligatoire et généralisé, nouvelle contrainte pour les entreprises, y compris les plus petites d’entre elles.
A nos yeux, et au-delà du fait que nous considérons que le rôle d’une organisation patronale n’est pas de prôner de nouvelles obligations pour les entreprises, les obstacles qui rendent inapplicables un tel dispositif sont en effet nombreux :
- pense-t-on vraiment qu’une entreprise embauchera un salarié avec 35 ans d’expérience sans possibilité de savoir ce qu’il a placé sur son CETU, prenant ainsi le risque de le voir s’absenter plusieurs mois sans avoir la capacité de s’y opposer ? Alors que le sujet de la négociation était l’emploi des séniors et que l’objectif commun était d’augmenter le taux d’activité, le CETU aurait l’effet contraire, en désincitant à l’embauche des séniors, potentiellement porteurs de CETU chargés à bloc.
- comment valoriser, par exemple en 2054, une heure à 15€ placée sur son CETU trente ans plus tôt, en 2024, et ce alors même qu’un salarié aura pu évoluer, changer de statut et de rémunération ? Une simple revalorisation ne suffira pas pour compenser et maintenir intégralement le dernier salaire. Le dernier employeur devra-t-il abonder financièrement ? Cela risque de dégrader la compétitivité des entreprises : à minima, la gestion du CETU engendrera nécessairement des coûts supplémentaires pour l’employeur en termes de frais de gestion, que celle-ci soit internalisée ou externalisée
- comment remplacera-t-on un salarié d’une TPE/PME souhaitant activer son CETU et s’absenter plusieurs semaines voire plusieurs mois de son entreprise ? Imagine-t-on vraiment trouver, sur le pouce, par exemple, un cuisinier ou un chef de rang remplaçant dans un restaurant ? Et si l’employeur parvient à trouver un remplaçant, qu’adviendra-t-il de lui par la suite ?
- en termes de trésorerie, un modèle de gestion mutualisé du CETU, tel que préconisé, implique un versement de la part de l’entreprise et donc, à chaque fois que le salarié épargne un jour, une sortie de trésorerie. Ce sujet est particulièrement sensible, notamment pour les TPE-PME.
Plusieurs organisations syndicales ont-elles-mêmes reconnu les risques de ce dispositif : il est d’ailleurs à souligner que le CETU ne faisait pas partie des 10 revendications communes portées par les organisations syndicales dans le cadre de la négociation.
Nous restons fidèles à la ligne pragmatique qui a été la nôtre tout au long de la négociation, avec pour seuls objectifs la compétitivité des entreprises et l’emploi. Nous n’entendons pas participer à une discussion visant explicitement à instaurer une nouvelle obligation pesant sur les entreprises. Chaque entrepreneur doit rester libre d’instaurer ou non un CETU.
Pour toutes ces raisons, le MEDEF et la CPME n’entendent pas participer à cette « négociation ». »