Les entreprises seront en “effervescence” à Saint-Ouen l’Aumône le 17 mars

Les entreprises seront en “effervescence” à Saint-Ouen l’Aumône le 17 mars

Journée d’échanges business, le salon Effervescence se tiendra cette année le jeudi 17 mars à Saint-Ouen l’Aumône. L’ADPAVAB (association des industriels d’Argenteuil – Bezons) s’est rapprochée de deux autres associations d’entrepreneurs, l’AIBT (Beauchamp Taverny) et le club ACE, pour organiser la quatrième édition de ce salon professionnel, consacré aux métiers de l’industrie et aux services à l’industrie.

Ce « petit Midest », comme l’ont surnommé l’an dernier certains dirigeants, regroupera une centaine d’exposants et s’inscrira dans le cadre de la semaine nationale de l’industrie, du 14 au 20 mars 2016. Déjà une dizaine de grands comptes ont répondu favorablement. Les organisateurs espèrent faire le plein de participants grâce au soutien de partenaires tels que le MEVO, la CGPME 95, le CEEVO, FFB (fédération du bâtiment) et la CCI.

Le salon débutera vers 13h avec un premier temps d’échanges entre exposants. L’ouverture des portes aux visiteurs se déroulera à partir de 14h30. La journée se clôturera par un cocktail vers 17h30. Plusieurs mini-conférences ponctueront la journée avec en thème central « l’industrie innovante » et la mise en place d’une de exposition de véhicules nouvelles générations (type véhicules électriques ou autonomes).

Pour exposer : 190 euros pour les adhérents (comprenant kakémonos, chaises, tables, clé USB, mise en avant sur le site), 290 euros pour les entreprises non-adhérentes aux associations.

Adresse : Salle de la Bouverie, Saint-Ouen-l’Aumône, 95310

Inscription : http://www.saloneffervescence.fr/index.htm

 

 

 

 

Oscaro choisit Cergy pour renforcer son outil logistique

Oscaro choisit Cergy pour renforcer son outil logistique

Oscaro double sa surface de stockage avec ce nouvel entrepôt basé à Cergy-Saint-Christophe. Le distributeur de pièces détachées par internet, trop à l’étroit au sein de sa plate-forme de Gennevilliers de 10 000 m², vient de prendre en location un entrepôt de 22 000 m² dans l’agglomération, entièrement réaménagé et répondant aux nouvelles normes, situé à côté du site de Louis Vuitton. Cette nouvelle implantation créera au moins 250 emplois.

Le spécialiste de la vente de pièces de rechange en ligne a signé un bail de six ans ferme pour la location de ce bâtiment auprès du gestionnaire d’immobilier logistique Logicor. Oscaro.com a été fondée en janvier 2001 pour commercialiser des accessoires et pièces automobiles d’origine et de qualité supérieure via Internet. La société se fournit directement auprès des plus gros équipementiers ou des principaux grossistes en pièces détachées (Bendix, Bosch, Champion, Ferodo, Hella, Knecht, Lucas, Magneti Marelli, Monroe, NGK, Sachs, Valeo,…) et traite plusieurs milliers de commandes par mois, disposant d’un stock sans équivalent en France.

Afin de poursuivre son développement et d’accompagner sa croissance, le groupe s’est fixé pour ambition de se développer à l’international, en s’attaquant à de nouveaux marchés au nord de l’Europe (Allemagne, Autriche et Benelux). Avec sa base logistique de Gennevilliers, l’opérateur ne couvrait jusqu’ici que la France, l’Espagne et le Portugal. Oscaro entend ainsi atteindre le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires d’ici à quatre ans, contre 300 millions d’euros en 2014.

La mairie de Cergy se réjouit de cette arrivée génératrice d’emplois locaux, avec des recrutements pour des postes de manutentionnaires, magasiniers et caristes à pourvoir.

Nouvelle adresse : 2, boulevard du Moulin-à-Vent, dans le quartier de Cergy-le-Haut

 

 

Deux start-ups valdoisiennes lèvent plus d’un million d’euros

Deux start-ups valdoisiennes lèvent plus d’un million d’euros

Deux startups de la Technopole implantées sur le site de La Pépinière à Montmagny ont finalisé très récemment deux très belles levées de fonds auprès d’investisseurs et sous la forme de crowdfunding. Il s’agit de Studapart et de Prêt à Pousser. Partant du constat de la difficulté pour un étudiant de gérer son logement durant sa scolarité (enseignement, stage, départ à l’étranger) trois jeunes entrepreneurs, Alexandre Ducoeur, Timothée Malardet Amaury Roland, ont mis au point une solution souple, efficace et adaptée : Studapart était née. Grâce à cette plateforme mise à la disposition des établissements « les étudiants peuvent trouver un logement seul ou en colocation, renseigner leur profil, déposer directement leur dossier, ou encore s’échanger leurs bons plans de logements », précisent les cofondateurs. De nombreuses écoles et universités françaises ont déjà adopté Studapart (Skema, Audencia, groupe Ionis, Neoma, Inseec, l’Université de Cergy-Pontoise…) ainsi que des promoteurs de logements étudiants pour la France et l’étranger. Ces succès ont permis à cette jeune startup valdoisienne de réaliser une levée de fonds de 700 000€ auprès des fonds ISAI et Notus Technologies complétée par des investisseurs dont Pierre Kosciusko-Morizet, Pierre Krings, Justin Ziegler (cofondateur de PriceMinister), Cyril Vermeulen (cofondateur d’aufeminin.com). Cette levée de fonds va permettre à Studapart de structurer son équipe (déjà 10 personnes) et de prendre une nouvelle dimension commerciale notamment à l’international mais aussi développer une offre pour les propriétaires. http://studapart.fr Autre concept, celui de Prêt à pousser. Créée en 2013 par Jérôme Devouge et Romain Behagel, l’aventure Prêt à Pousser commence en 2013 par le lancement des Kits à champignons, pour cultiver chez soi des délicieuses pleurotes, grises, roses ou encore jaunes ! Un concept original qui a su séduire de nombreuses papilles. Après ce premier succès couronné en 2014 au SIAL par le Grand prix de l’Innovation, Prêt à Pousser va encore plus loin dans l’expérience gustative que la jeune start-up propose à ses clients. Depuis la fin de l’année 2015, Prêt à Pousser propose LILO, un kit pour faire pousser des herbes aromatiques toute l’année dans votre cuisine. Après une période réussie de pré-commandes, LILO est actuellement disponible depuis la rentrée. Le lancement de ce nouveau produit, s’est accompagné d’une première campagne de financement participatif sur Kickstarter qui a permis à Prêt à pousser de récolter 171 000 € sur les 50 000 € fixés comme objectif, autant dire une belle réussite ! La start-up a également bénéficié d’un soutien de la part de BPI France et du Conseil Départemental du Val d’Oise pour financer le développement de son produit. Ces premiers soutiens ont été complétés par une levée de fonds de 420 000€ auprès de Takara Capital et d’un groupe de Business Angels afin de financer la consolidation de la start-up en France, son lancement au Royaume-Uni et en Allemagne dès cet hiver et la commercialisation de LILO. https://pretapousser.fr
Scania met à disposition du GARAC deux poids lourds dédiés à la formation

Scania met à disposition du GARAC deux poids lourds dédiés à la formation

Le 12 janvier dernier, le GARAC, Ecole Nationale des Professions de l’Automobile (Argenteuil), et SCANIA France fêtaient la mise à disposition d’un SCANIA R 450 et un R 420 pour la formation des sections de Maintenance et Après-Vente Véhicules industriels du GARAC.

Raymond Vié, président, et Laurent Roux, Directeur général du GARAC, ont reçu les clés d’un SCANIA R 450 des mains de Mats Gunnarsson, Président Directeur Général de SCANIA France. Dans quelques semaines un second véhicule sera livré : un R 420.

La mise à disposition de ces véhicules a pour objectif de contribuer à une formation toujours en phase avec la technologie d’aujourd’hui des apprentis des sections de véhicules industriels du GARAC qui se forment en BAC Pro Maintenance des Véhicules de Transports Routiers, en BTS Après-Vente Option Véhicules industriels et en Formation d’Ingénieur en Mécatronique Parcours Ingénierie Assistance de Véhicules. De plus, en septembre 2016, le GARAC ouvrira une section de CQP Technicien Expert Après-Vente Véhicules utilitaires et Industriels.

Pour le GARAC, ce nouveau partenariat défini dans le cadre de sa politique de relations avec les entreprises, revêt une importance particulière. Pour Laurent Roux, Directeur général, « s’il est un milieu où le partenariat Ecole-Entreprise est indispensable, c’est bien celui du Véhicule industriel. Un centre de formation ne peut prétendre refléter seul la réalité de cet univers de véhicules de haute technologie et marqué par la relation B to B. Ce nouveau partenariat dans le Véhicule industriel est une opportunité supplémentaire. En plus du matériel, les jeunes qui voudront se former puis faire carrière dans la marque, se verront encore mieux accueillis grâce aux connaissances et savoir-faire acquis ».

Le Garac, grâce à son Lycée des Métiers et son CFA, centrés sur la Vente, la Gestion et l’Après-vente Auto, Moto et Véhicule Industriel accueille chaque année 1 100 jeunes lycéens et apprentis en formation dans trois filières (auto, moto et véhicule industriel ; trois domaines de métiers (mécanique-électronique, carrosserie réparation-peinture et carrosserie construction, vente-Gestion) ; et pour 19 diplômes d’État et de la Profession (DIMA, CAP, BAC Pro, CQP ; BTS, Ingénieur). Sa filière Véhicule industriel forme plus de 120 apprentis en BAC Pro, BTS et même en formation d’ingénieur.

Sylvie Lanciani reprend l’atelier d’abat-jour CVB

Sylvie Lanciani reprend l’atelier d’abat-jour CVB

La voici prête à assurer la succession. Sylvie Lanciani, encadreur de tableaux à Sannois depuis 25 ans, diversifie aujourd’hui son activité en reprenant l’atelier de création d’abat-jour CVB, créé par Claire Van Pollaert Bouilly quinze ans plus tôt à Beauchamp.

Les deux femmes, qui se sont rencontrées lors d’un stage, ont exposé ensemble à plusieurs reprises et se sont liées d’amitié. Cette transmission, officialisée la semaine dernière lors d’un pot de départ, s’inscrit dans la continuité. Sylvie Lanciani, en plus de son activité d’encadrement d’art, offre désormais ses services pour toute réfection, restauration ainsi que création de modèles d’abat-jour en polyphane ou couture. Ancienne responsable comptabilité fournisseur pour un grand compte, Claire Van Pollaert Bouilly a quant à elle choisi de suivre une nouvelle voie suite à un licenciement en 1998. « Avec le soutien de mon mari, je me suis remise au dessin et à la retouche photo. Lorsque ma petite fille est née, j’ai créé mon premier abat-jour sur-mesure. Je me suis formée aux différentes techniques et j’ai décidé quelque temps plus tard de monter mon atelier. Chaque pièce est personnalisée, comme en haute couture, il faut traduire ce que souhaitent les clients, avec parfois une semaine de travail pour un seul abat-jour. » La créatrice, qui aime travailler le ruban, compte près de 700 réalisations à son actif et a même déposé un brevet pour un abat-jour destiné aux enfants asthmatiques. « Je transmets ce que j’ai monté, je ne voulais pas que cela s’éteigne. »