par Audrey Le Meur | 31 Oct, 2014 | Actualitēs
EMC2 soigne ses salariés
Le groupe entre dans le top 25 des multinationales où il fait bon travailler en arrivant en 18e position du classement mondial
établi par Great Place to Work. C’est la première fois que l’entreprise intègre le palmarès international de cet institut, cabinet de recherche qui répertorie les meilleures entreprises au monde sur la base de cinq critères liés à la culture des entreprises et au cadre de travail : la crédibilité, le respect, l’équité, la fierté et la camaraderie. L’entreprise est récompensée pour ses opportunités d’évolution de carrière, son environnement flexible et sa culture collaborative basée sur les résultats.
EMC, dont les bureaux sont installés à Bezons (River Ouest), a été récompensé pour avoir créé un environnement de travail reposant sur la confiance, selon l’évaluation de ses salariés dans plusieurs pays. Le groupe qui, grâce à des solutions et des produits innovants, accélère le passage vers le Cloud Computing et aide les entreprises à stocker, gérer, protéger et analyser l’information, ne se veut pas seulement innovant dans son métier. L’entreprise a été particulièrement bien notée par les collaborateurs dans les domaines suivants : proposition permanente d’opportunités et développement de carrière ; promotion d’un environnement souple et convivial ; valorisation des initiatives prises par les employés selon une approche collaborative et homogène pour atteindre voire dépasser les objectifs fixés.
Afin de s’investir efficacement pour développer une culture d’entreprise basée sur l’implication et l’engagement, EMC déploie plusieurs initiatives fortes :
En France VoiceIT : La communication avec les collaborateurs de l’entreprise est essentielle pour un bon développement. Les employés sont invités régulièrement à faire part de leurs suggestions pour améliorer le quotidien au bureau. Ces suggestions sont décortiquées chaque semaine et des actions sont ensuite menées en conséquence.
Participation à POP In the City, la course Odysséa pour lutter contre le cancer
La commission Bien- Etre, composée d’une équipe de collaborateurs volontaires travaille activement avec les RH et le management sur toutes les pistes et actions qui peuvent améliorer les conditions de travail. Elle s’assure qu’elles sont en accord avec leurs attentes et bénéfiques à leur développement au sein de l’entreprise. Les employés d’EMC France peuvent faire part de leur ressenti à tout moment et, en parallèle, la Commission a mis en place plusieurs enquêtes afin de recenser tous les retours des employés.
ELLES@EMC, le groupe de collaboratrices volontaires, uvre depuis cet été à développer encore plus la mixité chez EMC, orchestrer des actions caritatives ‘telles que « La Parisienne » ou plancher sur des initiatives autour du développement personnel.
EMC Innovation Roadmap : Compétition annuelle permettant aux différentes entités (BU) et fonctions de lancer des « défis » représentant les opportunités métier les plus urgentes pour EMC. Ce concours invite chaque employé à formuler des solutions innovantes. En 2013, 28 pays ont soumis plus de 4 400 idées.
Programme EMC Gives Back : En 2014, EMC a encouragé le volontariat et mobilisé ses employés dans le cadre de deux initiatives déployées à l’échelle du groupe afin de lutter contre la faim et d’approvisionner certaines communautés en eau potable. De plus, les employés bénéficient de trois journées par an pour participer à des activités bénévoles en faveur de causes qui leur tiennent à cur ; et à chaque anniversaire annuel de leur présence au sein de la société, EMC verse désormais un don à l’organisme de bienfaisance de leur choix.
Apprentissage & Développement : L’épanouissement des employés est un moteur essentiel de l’innovation pour EMC. L’entreprise propose un parcours d’apprentissage personnalisé reposant sur plus de 8 000 cours et possibilités d’apprentissage sur mesure. En 2013, 78 % des salariés bénéficiaient d’un plan de développement individuel et un employé a suivi en moyenne plus de 50 heures de formation.
Programme Leadership in the Fast Lane : Chaque année, ce programme met en relation des femmes présentant un fort potentiel avec d’autres employées occupant déjà des postes à haute responsabilité, et leur propose un programme accéléré de développement de carrière. Les participantes bénéficient d’une évaluation personnalisée à 360° et d’un accompagnement personnel. Le programme Fast Lane répond à l’objectif d’EMC qui consiste à offrir à ses employées les plus talentueuses une passerelle vers des postes de directionafin de répondre aux besoins opérationnels actuels et futurs.
Programme You define EMC : Lancée en 2014, cette initiative internationale met en lumière la façon dont chaque employé contribue au succès de la société. Ce programme individuel et interactif réduit la distance entre les sites EMC à travers le monde et renforce le dialogue et les liens entre ses employés. Le classement d’EMC dans le palmarès mondial regroupe les résultats de 17 listes nationales établies par l’institut Great Place to Work en Allemagne, Arabie Saoudite, Autriche, Chine, Émirats Arabes Unis, Espagne, France, Inde, Irlande, Italie, Mexique, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Suède, Suisse et Turquie.
par Audrey Le Meur | 31 Oct, 2014 | Actualitēs
In&Fi Crédits Pontoise : passage de flambeau
In&Fi Crédits est le premier réseau franchisé de courtiers en crédits. Le concept a été créé en 2002 par Pascal Beuvelet, et lancé en franchise en 2004. Aujourd’hui, In&Fi Crédits compte près de 100 agences dans toute la France, spécialistes du conseil en crédits de proximité. Parmi eux, Alain Baraniak a ouvert son agence à Pontoise en 2007. Le 7 novembre prochain, après 7 ans d’activité, il passera officiellement la main à sa collaboratrice Isabelle Hedbaut, qui l’accompagne dans cette aventure depuis 2008. A 32 ans, la jeune femme, épaulée par une équipe de trois personnes, reprend les rênes de la structure, avec un positionnement multi-produits (immobilier, travaux, renégociation, mais aussi restructuration et rachats), apportant une démarche projet globale et une expertise fine.
C’est assez naturellement qu’Alain Baraniak s’est tourné vers Isabelle Hedbaut pour lui confier la reprise de son agence. Après 10 ans passés dans l’immobilier, puis un parcours dans le secteur de la logistique et du transport en Europe (déploiement et management de sites), Alain Baraniak bifurque en 2007 vers un autre métier : le conseil et courtage en crédits. Il s’adosse à un réseau reconnu et nationalement référencé, In&Fi Crédits, à travers lequel il intervient pour ses clients pour toute recherche de financement : prêts immobiliers, prêts personnels, crédit à la consommation, prêts relais, prêts travaux, rachat de parts d’indivision (soulte), expertise en matière de rachat de prêts et restructuration de dettes. A ses côtés, Isabelle Hebdaut, a fait ses armes au sein de plusieurs établissements bancaires (BNP et Caisse d’Epargne) avant de rejoindre un indépendant en courtage de crédit spécialisé en immobilier.
En 2008, elle est recrutée par Alain Baraniak au sein d’IN&FI Pontoise. Une confiance mutuelle s’établit. Femme de challenge, dynamique, dotée d’un vrai sens du contact et dynamique, elle a su nouer avec les organismes de crédit spécialisés et les banques, dont elle connaît bien le fonctionnement, des partenariats privilégiés pour apporter à ses clients les réponses les plus adaptées. Travaillant principalement par recommandation et très impliquée dans les réseaux, Isabelle Hebdaut est membre du CJD (centre des jeunes dirigeants), de BNI l’Isle Adam, de FCE (femme chefs d’entreprise) et du Club ACE.
Vendredi 7 novembre, à 12h, tous deux accueilleront leurs clients et partenaires pour partager ensemble un moment convivial et officialiser ce changement de direction.
Tél. : 01 34 24 01 00
ihedbaut@inandfi.fr
par Audrey Le Meur | 24 Oct, 2014 | Actualitēs
MEVO : une Assemblée générale
fédératrice chez River Ouest
L’assemblée générale du MEVO (la 135e) s’est tenue jeudi soir dans l’Amphithéâtre River Ouest. L’événement a mobilisé plus de 200 personnalités et chefs d’entreprise, nombreux à s’être déplacés pour assister au bilan annuel du Mouvement et à l’intervention de Louis Schweitzer, Commissaire Général à l’investissement, Président d’Initiative France, et ancien Président de Renault, venu évoquer « l
‘entrepreneur, un visionnaire et un professionnel ! ». Une manifestation fédératrice à l’appel de Michel Jonqueres, président du MEVO, qui a rappelé l’importance d’être acteur de la mise en relation et de travailler en réseau.
Avant de laisser la parole à Louis Schweitzer, Michel Lefevre, président d’Initiactive France, est intervenu en préambule pour présenter l’homme qu’il cotoie aujourd’hui dans les sphères d’Initiative, en évoquant ses liens familiaux avec son grand-oncle Albert Schweitzer, médecin, prix Nobel de la paix, ses études (ENA, Siences Po) et sa carrière (directeur de cabinet de Laurent Fabuis en 1981). En 1986, il entre chez Renault comme directeur de contrôle de gestion, directeur financier, directeur général, puis président-directeur général du groupe automobile entre 1992 et 2005. Il est ensuite président de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité de 2005 à 2010. Depuis 2011, il est président d’Initiative France, réseau d’accompagnement des créateurs d’entreprise et devient commissaire général à l’investissement en 2014. Louis Schweitzer reste très engagé sur la scène économique, notamment au MEDEF (comité exécutif), mais aussi sur la scène culturelle et sociale.
Intervention attendue
« Je vais vous parler de ma vie avec l’entreprise ». Louis Schweitzer a passé 20 ans chez Renault. « Je n’avais pas une vocation d’entrepreneur, je n’étais pas prédisposé à y rentrer après un début de carrière dans l’administration. C’est George Besse qui est venu me chercher, c’était quelqu’un que j’admirais et respectais beaucoup, qui alliait force et courage. » En 1992, Louis Schweitzer devient PDG du groupe, avec « des moments faciles et d’autres plus difficiles ». Pour illustrer ses propos, le patron est revenu sur les socles de la bonne gestion d’une entreprise : qualité, délais, réduction des coûts (qui lui a valu la fermeture de certaines usines, un mal selon lui nécessaire, bien que douloureux), les ressources humaines (évoquant ses rapports avec les salariés et les syndicats dans des moments clefs tels que la privatisation de Renault). Louis Schweitzer a également piloté une importante politique d’internationalisation et fait de multiples acquisitions (Nissan, Samsung Motors et Dacia). Autre pan de sa politique : l’innovation avec des véhicules tels que l’Espace, Scénic, la Logan, de beaux succès commerciaux. C’est en 2011 qu’il tourne la page de la grande entreprise pour s’investir au sein du réseau d’Initiative France, au sein duquel il a été rééelu président en juin 2014.
par Audrey Le Meur | 24 Oct, 2014 | Actualitēs
Désinsertion professionnelle :
le SIST VO alerte les entreprises
Le SIST VO (service interprofessionnel de la santé au travail) se joint à la Fédération Régionale des SSTI d’Ile-de-France pour organiser la première rencontre conférence sur la prévention de la désinsertion professionnelle, le lundi 27 octobre prochain, à l’Auditorium de Bred, Quai de la Râpée Paris 12e. L’objectif est de sensibiliser les entreprises à ces questions car comme l’explique Jacky Depierre, président du SIST VO, « l’entreprise constitue une société humaine où chacun vit de l’autre, un lien à ne pas rompre. Elle représente un enjeu important chez l’humain, se désinsérer, c’est retirer sa mise. Rester actif avec les autres peut constituer un rempart contre la solitude, la tristesse. »
La prévention de la désinsertion professionnelle est une nécessité à la fois sociale et économique, qui devient d’autant plus importante que les carrières ont et vont avoir tendance à s’allonger du fait de la réforme des retraites. Elle peut survenir à la suite d’un accident ou d’une maladie, professionnelle ou non, qui entraine une difficulté dans le maintien de l’emploi, ou de façon plus sournoise, à la suite d’une altération plus progressive de la santé du travailleur.
Comme l’explique Jacky Depierre, « les nouvelles formes d’organisation, de management, de technologie, l’intensification et la densification du travail renforcent les efforts de concentration, compréhension, adaptation., en augmentant les pressions sur le physique et le psychique de certains travailleurs. »
Prévenir cette désinsertion professionnelle, c’est d’abord détecter la possibilité qu’elle se produise au vu de l’examen de santé ou autres signes de défaillances au travail, puis mettre en uvre les moyens de reclassement professionnel ou d’aménagement ergonomique du poste de travail pour l’adapter au handicap de l’opérateur.
On discerne ainsi deux types de mesures de prévention de la désinsertion professionnelle : l’une à court terme dans une optique d’aménagement du poste de travail ou de réorganisation ou de reclassement lorsque des signes d’usure ou d’inadaptation professionnelle ont été identifiés ; l’autre, dans une perspective de construction des parcours professionnels et de promotion de la santé au travail tout au long des carrières, afin que le travailleur reste en bon état physique et mental et adapté à son poste de travail. « L’absentéisme, la longue maladie ne doivent pas déboucher sur l’autolicenciement, c’est à dire la rupture du contrat de travail par acte du salarié. Se réinsérer dans l’entreprise après une longue période d’absence, c’est sortir d’un état second pour revenir dans son état normal; rester actif permet de conserver l’harmonie de son âge chronologique, biologique et sociétal. »
par Audrey Le Meur | 24 Oct, 2014 | Actualitēs
La société SPEM est un acteur majeur sur le marché de la sécurité incendie. A l’occasion de ses 30 ans, l’entreprise investira le Musée de l’air et de l’espace du Bourget le 4 novembre à partir de 17h30. L’entreprise, filiale du groupe AGP, dont le siège est basé rue du Petit Albi à Osny, a été créée en 1984 par Bernard Polet. Aujourd’hui dirigée par Frédéric Anfray, elle est spécialisée dans la mise en place de contrats de vérification et de maintenance des systèmes de désemfumage, de détection et alarme incendie, extincteurs et colonnes sèches. Pour marquer cette date symbolique, la société a souhaité proposer à ses clients un événement majeur au Musée de l’Air, avec, au programme la visite de Concorde et du Hall Espace ainsi qu’une rencontre et une conférence avec le spationaute Patrick BAUDRY.
Le groupe AGP (100% français et totalement indépendant) est composé de 95 personnes, réparties entre AGP (6 personnes), SPEM (24 personnes), ACSI (1 personne), POLET (8 personnes), PRODEXO (9 personnes), et MADICOB (47 personnes). Une cinquantaine d’emplois sont induits en sous-traitance.
C’est en 2013 que les sociétés SPEM, POLET, AGP et PRODEXO se regroupent sur un seul site à Osny de 3800 m2, tandis que MADICOB acquiert un an plus tôt à Saint-Ouen l’Aumône un local de 4500 m2.
Afin de répondre à chaque situation de risques incendie, la SPEM propose une gamme étendue de produits de contrôle, de déclenchement, de détection, d’intervention et de signalisation incendie. Répondant aux dernières normes de sécurité, ces produits sont à la pointe de la technologie incendie. La SPEM assure par ailleurs leur maintenance.
En 2014, l’entreprise a créé un nouveau partenariat avec la société ACSI spécialisée dans la formation incendie. Dans le même temps, elle a développé l’activité et matériel sur les portes coupe feu et systèmes d’incendie et a livré en juillet dernier le premier véhicule spécialisée dans le contrôle des colonnes sèches.
La SPEM travaille pour diverses catégories de clients : la grande distribution (Casino, Darty), les collectivités locales, musées et lycées, les habitations collectives, mais aussi l’industrie (Spie IDF, Cofely, Aéroport de Beauvais, Givenchy, Chanel, NRJ…).
www.spem.fr