Jonathan Mihy à la tête de Diampack

Jonathan Mihy à la tête de Diampack

Le créateur de MR Cartonnage Numérique, société spécialisée dans la réalisation de maquettes et dans l’impression numérique de petites, moyennes et grandes séries de packaging secondaire, intégrée au groupe DIAM depuis septembre 2017, vient de prendre la responsabilité globale de Diampack (la « branche » packaging du groupe Diam). L’objectif Diampack est de devenir l’un des acteurs majeurs du packaging secondaire premium.

Principalement dédié aux acteurs de la beauté et aux alcooliers ce pôle packaging s’organise autour de  :

pastedGraphic.png MR et ses trois business units complémentaires : MR Artworks, studio d’exécution graphique intégré, MR Mock-Up Lab, spécialiste des maquettes industrielles et micro-séries, et MR Factory, l’unité production haute-qualité en mode agile pour les plus grandes séries. 

pastedGraphic.png Norline Atelier, le spécialiste des coffrets complexes et haut de gamme made in France, de la mallette de démo du commercial (les marmottes), aux coffrets vente, en passant par les packs formation. 

pastedGraphic.png Diam Asia Thailand, l’entité qui concentre les savoir-faire intégrés, et les centres de fabrication. Diam Asia Thailand est spécialiste des coffrets complexes de luxe en grandes séries, notamment ceux qui nécessitent un important travail manuel, des mélanges de matières (métal, bois, marqueterie, cuir…).

Comme l’explique Emballages Magazine, un changement hiérarchique qui s’opère aujourd’hui. Cette nomination promet un plus grand rapprochement entre les trois entités de la division pour davantage de possibilités de projets. Ce mix de savoir-faire lui va permettre d’aborder facilement le multi-matériau et la complexité. Aussi, les activités de trading sont mises de côté afin de favoriser les savoir-faire propres à MR, Norline et Diam Asia Thailand. Si les spiritueux et la beauté restent les domaines phare de DiamPack, un travail particulier est mené sur les coffrets spéciaux réalisés pour les influenceurs. Dans sa croissance, DiamPack s’appuiera également sur la présence internationale du groupe Diam, qui possède notamment des bureaux à New York (États-Unis), Singapour, Dubaï (Émirats arabes unis) ou Milan (Italie).

Les entreprises du Val d’Oise ouvriront leurs portes le 24 septembre

Les entreprises du Val d’Oise ouvriront leurs portes le 24 septembre

Rendez-vous fin septembre avec #95OuvremoiTaBoite, une opération qui permet aux Valdoisiens de découvrir les entreprises inspirantes et engagées du département, leurs valeurs et les opportunités qu’elles peuvent offrir, à travers des visites et des portes ouvertes.

Dans ce contexte particulier, la Préfecture du Val d’Oise et la DIRECCTE organiseront la 3e édition de #95OuvremoiTaBoite, journée de valorisation du patrimoine économique et du capital humain des entreprises du Val d’Oise, le 24 septembre 2020. Une journée exceptionnelle, créatrice de richesses pour le territoire, de valeurs pour les entreprises, de liens et d’opportunités.

Lors des deux premières éditions en 2018 et 2019, une centaine d’entreprises de toutes tailles et tous secteurs d’activités avaient accueilli plus d’un millier de visiteurs. Pour cette 3e édition, les dirigeants attendent de nombreux visiteurs pour leur faire découvrir leur activité, échanger avec les salariés, découvrir la richesse des savoir-faire, élargir son réseau de contacts ou encore se créer des opportunités. 

Christelle Kissane, nouvelle directrice générale de la Caf du Val d’Oise 

Christelle Kissane, nouvelle directrice générale de la Caf du Val d’Oise 

Sur proposition de Vincent Mazauric, Directeur général de la Cnaf, le Conseil d’administration de la Caf du Val d’Oise a validé à l’unanimité, la désignation de Madame Christelle Kissane en qualité de Directrice générale, à compter du 1er juillet 2020. Christelle Kissane succède aujourd’hui à Pascal Delaplace et à l’intérim de Sylvie Vallée-Lacouture. 

Christelle Kissane exerçait auparavant la fonction de directrice générale de la Caf de l’Allier. L’équipe de direction de la Caf du Val d’Oise est également composée de Sylvie Vallée- Lacouture, directrice adjointe en charge de l’action sociale, Samir Kadi, directeur des prestations familiales, Nicolas Navarro, directeur comptable et financier, Éric Chauvet, secrétaire général et Agathe Schmitt, sous-directrice logistique. 

La Caf du Val d’Oise compte au 31 décembre 2019, 245 112 allocataires et couvre 698 594 personnes (conjoint, enfant, personne à charge). Elle a versé en 2019, 1,5 milliard d’euros de prestations légales et 138,3 millions d’euros de prestations et subventions d’action sociale. Elle a déployé durant la crise sanitaire des aides exceptionnelles pour les familles les plus démunies, mais aussi à destination des structures pour maintenir leur activité ou encore l’aide aux vacances exceptionnelle « premières lignes ».

Christelle Kissane poursuivra la mise en œuvre du projet d’évolution de l’organisme qui a pour ambition de confirmer la place de la Caf comme un acteur de référence du Val d’Oise en matière d’investissement social, connu et reconnu par ses publics externes et internes. 

L’objectif prioritaire de la Caf du Val d’Oise est de développer des offres adaptées aux besoins des familles allocataires du département afin de leur garantir l’accès aux droits et services et de les servir avec la réactivité et la qualité qu’elles sont en droit d’attendre. 

Christelle Kissane et ses équipes s’appuieront également sur le réseau partenarial val d’oisien (collectivités, associations…) riche et dynamique, que la Caf accompagne dans la déclinaison des politiques publiques relatives à l’enfance, la petite enfance, la jeunesse, le handicap, le logement. Les conventions territoriales globales, en cours de déploiement, constituent un outil qui permet de rapprocher les nombreux projets de développement aux besoins exprimés sur les territoires. 

Contact Entreprises : le télétravail s’immisce dans notre quotidien

Contact Entreprises : le télétravail s’immisce dans notre quotidien

Dans le contexte actuel, Contact Entreprises s’est intéressé aux changements profonds et sans doute durables liés à l’organisation du travail. Le télétravail s’est largement répandu en France, mais toutes les entreprises ne l’adoptent pas avec la même facilité et tout n’est pas si rose dans la vie du collaborateur nomade. Indéniablement, nos manières de travailler vont évoluer. Une possible alternance entre télétravail et présence en entreprise pourrait se généraliser, avec certaines conséquences en bout de chaine : la sécurisation des données ne doit pas être négligée, le travail à la maison doit être encadré (mis en place des bons outils informatiques, connexion rapide, postes de travail ergonomiques…). L’organisation des bureaux sera-t-elle reconsidérée, les entreprises délaisseront-elles les grands ensembles de bureaux ? Autant d’interrogations que tente de démêler notre dossier. Pour le télécharger, cliquez ce lien : Contact-Entreprises n° 165

 

Crise sanitaire : ne pas faire l’impasse sur la mise à jour des documents de prévention des risques

Crise sanitaire : ne pas faire l’impasse sur la mise à jour des documents de prévention des risques

COVID 19, les bons réflexes de gestion de crise : s’outiller d’un Plan de Continuité d’Activité (PCA), actualiser régulièrement le Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels (DUERP) et le Plan de sécurité et de protection de la santé (PPSPS). En cas de crise majeure (sanitaire, climatique,…), ou d’événements perturbateurs, le Plan de Continuité d’activités, le Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels et le Plan de sécurité et de protection de la santé permettent à l’entreprise maintenir les activités essentielles et de veiller à la santé de ses salariés. Souvent complémentaires, s’ils s’opposent, la sécurité des salariés l’emporte toujours sur les autres considérations.

Le Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels est obligatoire (amende de 1500 € en cas de manquement). L’entreprise liste et classe l’ensemble des risques encourus dans l’exercice de l’activité et les propositions d’actions à mettre en place « pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et morale des travailleurs » (article L. 4121-1 du code du travail). Il est consultable par les salariés, les instances représentatives du personnel (CSE) ; qui peuvent être associées en amont ; les services de santé au travail et l’inspection du travail.

Le Plan de continuité d’activité n’est pas obligatoire. C’est un document stratégique et de planification qui identifie les procédures à mettre en œuvre pour maintenir l’activité en période de crise.

Qui est concerné ? Toutes les entreprises, associations et organisations privées ou publiques.

Comment procéder ? Le DUERP doit être actualisé une fois par an SAUF changement de situation ou circonstances particulières, telles que la pandémie de COVID 19. Il peut prendre alors la forme d’une note, jointe à la DUERP, identifiant les situations professionnelles avec risque de transmission du virus et les mesures de prévention et de protection pour éviter sa propagation et les mesures disciplinaires en cas de manquement.

A savoir à minima :

– Respecter impérativement les règles de distanciation et les gestes barrière

– Limiter au strict nécessaire les réunions. La plupart peuvent être organisées à distance. Les autres doivent être organisées dans le respect des règles de distanciation

– Limiter les regroupements de salariés dans des espaces réduits

– Annuler ou reporter  les déplacements non indispensables

– Adapter au maximum l’organisation du travail par exemple mettre en place la rotation des équipes.

Le PCA, est élaboré en 3 étapes principales : identification des activités essentielles et des objectifs de sécurité, cartographie des risques, définition de la stratégie de continuité de l’activité. Il peut se décliner par services ou par métiers. Il est régulièrement actualisé. Il fait l’objet d’une norme ISO 22301.

Le plan particulier de sécurité et de protection de la santé (PPSPS) est un outil de prévention des risques obligatoire. Il est régi par les articles R4532-56 à R4532-74 du code du travail. Le PPSPS est un document qui permet d’évaluer les risques professionnels pour les entreprises travaillant sur un chantier.

Cet outil précise les mesures prises par l’entreprise pour assurer la sécurité, l’hygiène et les mesures de secours et d’évacuation sur le chantier. Chaque entreprise est responsable de la sécurité de son propre personnel et de ses propres matériels,le PPSPS permet d’identifier les risques liés aux travaux et de définir la manière dont ils seront exécutés afin de protéger les collaborateurs d’entreprise.

Les chefs d’équipe et les chefs de chantier s’en servent pour communiquer sur la sécurité auprès de leurs opérateurs. Comme le PPSPS s’adresse à tous, il est tenu à disposition sur le chantier pour que tous les intervenants puissent y trouver les informations dont ils ont besoin.

Qui est concerné ? Les entreprises qui interviennent en coactivité avec plusieurs entreprises sur des chantiers (BTP notamment)

Comment procéder ? Le PPSPS est établi par l’entreprise de travaux et doit être adressé sousun délai de 30 jours après la signature du contrat par le maître d’ouvrage au coordonnateur de travaux (coordinateur SPS) et au maître d’ouvrage. (Le délais est ramené à 8 jours pour les travaux de second œuvre).

Le PPSPS est nécessaire et obligatoire dans deux cas. 1er cas : les chantiers où interviennent plusieurs entreprises en même temps (Co-activité de différents corps de métier) lorsque le chantier fait l’objet d’une déclaration préalable car il dure plus de 30 jours et nécessite plus de 20 personnes ou bien avec plus de 500 hommes-jour (effectif/jour cumulé sur la durée du chantier) ou que le chantier nécessite des travaux avec des risques particuliers (liste exhaustive détaillée par l’arrêté du 25 février 2003). 2e cas : Chantiers réalisés par une seule entreprise dont la durée est supérieure à 1 an avec un effectif supérieur à 50 hommes pendant plus de 10 jours consécutifs.

 

Pour aller plus loin :

  • Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels (DUERP) :

https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/coronavirus-covid-19/proteger-les-travailleurs/article/fiches-conseils-metiers-et-guides-pour-les-salaries-et-les-employeurs

https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/coronavirus-covid-19/

https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/protocole-national-de-deconfinement.pdf

http://www.val-doise.gouv.fr/Actualites/COVID-19-Mesures-et-declarations-officielles#

  • Plan de continuité d’activité (PCA) :

https://www.economie.gouv.fr/files/hfds-guide-pca-plan-continuite-activite-_sgdsn.pdf

https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/directions_services/politique-et-enjeux/entrepreneuriat/Guide-PCA-en-cas-de-crise-majeure.pdf

  • Plan de sécurité et de protection de la santé (PPSPS) :

https://www.preventionbtp.fr/Documentation/Explorer-par-produit/Information/Dossiers-prevention/Le-plan-particulier-de-securite-et-de-protection-de-la-sante-PPSPS

https://www.capeb.fr/actualites/ppsps-dans-quel-cas-les-entreprises-doivent-elles-le-fournir

  • Votre accompagnement RH :

www.plateformeappuirh.com

 

Lire le témoignage de la société ASTC

ASTC : solide malgré la crise