L’aménagement de la ZAC Sud à Roissy validé

L’aménagement de la ZAC Sud à Roissy validé

Le programme d’aménagement de la ZAC SUD ROISSY est acté entre la communauté d’agglomération Roissy Pays de France et la SEMAVO. Ce parc d’activités est situé à l’entrée sud de la commune de Roissy-en-France, dans la continuité des aménagements, pour le tourisme d’affaires (zones hôtelières, golf…). Plus de 200 millions d’euros d’investissement seront consacrés au développement de ce projet. Au moins 1 500 emplois (directs et indirects) seront à termes créés dans le périmètre de la ZAC (partie nord et partie Sud).

Le développement de la partie sud sera dédié au secteur hôtellier. Près de 39 000 m2 de surface de plancher seront développées par le groupe Edouard Denis avec l’enseigne Marriott pour 900 chambres. Le permis sera déposé le 31 mars 2020. Un programme complémentaire de 16 500 m2 de surface de plancher sera lancé pour environ 500 à 600 chambres.

La partie nord sera tourné vers le secteur et les showrooms automobiles Premium avec le développement à terme de 5 concessions automobiles Premium (emprise globale d’environ 23 000 m2) porté par ABVV concession Premium (2 connues VOLVO ; JAGUAR /LAND ROVER). Le 1er permis sera déposé au 2e trimestre 2020.
D’autres concessions Premium en cours de désignation feront l’objet de dépôts de permis de construire à partir de 2021.

Le reste de la partie Nord est dédié à l’accueil d’équipements hôteliers. Deux permis de construire ont d’ores et déjà été obtenus : Hôtel résidentiel STAY-CITY 4* de 265 chambres, et un hôtel EKLO de 152 chambres. D’autres projets hôteliers sont à l’étude et devraient faire l’objet de dépôt de demande de permis de construire en 2020 : deux résidences Hôtelières 3* de 160 chambres chacune et de 2 hôtels 3* de 80 chambres chacune.

Le démarrage des travaux est prévu dans le courant de mars 2020.

Bab El Raid : 7 équipages du GARAC au départ

Bab El Raid : 7 équipages du GARAC au départ

Deux couples fils-pères, un responsable et un enseignant, six camarades de promo associés et le parrain du Bab El Raid Gerry Blyenberg (et sa co-équipière Marie Blin), soit sept équipages GARAC, ont pris le départ du BAB EL RAID 2020 le 9 février après un pré-départ animé dans la cour de l’Ecole pour clôturer la Semaine des Services de l’Automobile et de la Mobilité.

 Pour la 3e participation du GARAC au BAB EL RAID, 7 équipages GARAC se sont inscrits au fameux raid franco-marocain. La marque d’amortisseurs KONI partenaire officiel du rallye et le parrain du Bab el Raid 2020 Gerry Blyenberg, l’animateur automobile américano-belge, et sa co-équipière Marie Blin, la pilote moto, ont fait confiance à deux professeurs et leurs élèves pour préparer une 205 GARAC. Tout au long de l’avancée des travaux, Gerry Blyenberg a rencontré les élèves pour s’assurer de la qualité des travaux et prendre en main la 205. Challengés, Remy Jallet, un responsable du GARAC, et William Jeudy, un des enseignants, préparaient en toute dernière minute une Porsche tandis que cinq autres équipages GARAC dont deux couples père-fils s’alignaient au départ.

Dans l’effervescence du dernier jour de la Semaine des Services de l’Automobile et de la Mobilité, le pré-départ était donné vendredi depuis Argenteuil, la cour centrale du Campus national des Professions de l’Automobile envahie par les élèves et apprentis au son des klaxons. Les contrôles techniques et administratifs ont été passés haut la main à La Rochelle le samedi 8 février pour tous les équipages qui ont franchi la ligne de départ dimanche 9 février au milieu des 120 voitures. Ils arriveront mercredi à Tarifa pour prendre le bateau qui les emmènera au Maroc pour débuter l’aventure Bab el Raid dès jeudi. 8 jours de rallye, de défis pour terminer à l’école HEEC de Marrakech pour une soirée de clôture et remise des prix.

Les amortisseurs KONI Sport ont déjà à leurs actifs une édition. Ils ont été révisés par KONI avec les élèves et ont repris du service. Cette gamme d’amortisseurs sport est spécialement conçue pour ce type d’aventure alliant conduite sportive et tenue de route. En tout, 4 voitures du GARAC vivent cette 5e édition du Bab el raid en amortisseurs KONI et participent au Challenge KONI mis en place par l’agence Maienga pour renforcer le partenariat.

 

 

3M et l’ESSEC lancent le programme de bourse “Women in Data Sciences”

3M et l’ESSEC lancent le programme de bourse “Women in Data Sciences”

3M et l’ESSEC Business School s’engagent pour féminiser les métiers scientifiques. L’objectif est d’attirer des profils féminins dans des carrières professionnelles liées à la gestion et à l’utilisation des données. Pendant 4 ans, une bourse annuelle sera accordée à une étudiante du Master in Data Sciences & Business Analytics ESSEC & CentraleSupélec dune valeur de 10 000 €.

A l’occasion de la Journée Internationale des femmes et des filles de science, 3M et l’ESSEC lancent le programme de bourses “Women in Data Sciences”. Ce programme a pour vocation d’inspirer et d’encourager des étudiantes qui désirent s’orienter vers une carrière scientifique. Chaque année, cette nouvelle initiative soutiendra une étudiante dans sa poursuite d’études afin d’intégrer des secteurs tels que la finance, la gestion ou l’analyse de données. En France comme dans tous les pays industrialisés, les femmes sont, sans raisons objectives, minoritaires dans les métiers scientifiques bien que leurs compétences soient reconnues.

Le lancement du programme de bourses “Women in Data Sciences” est une nouvelle initiative qui accordera une aide financière, en déduction des frais de scolarité, à des étudiantes désireuses de s’orienter vers une carrière dans la gestion et l’utilisation de données. 

En améliorant les conditions d’accès au Master in Data Sciences & Business Analytics ESSEC & CentraleSupélec, cette bourse permettra d’attirer les étudiantes les plus compétentes et motivées dans un secteur en manque de recrutements féminins et où pourtant les possibilités de carrières de haut niveau ne manquent pas.

3M s’engage ainsi à financer durant 4 ans une bourse annuelle de 10 000 €, attribuée à une candidate déclarée admise au Master in Data Sciences & Business Analytics ESSEC & CentraleSupélec. En ce mois de février durant lequel se déroulent les procédures d’admission au Master, l’ESSEC sélectionnera parmi les candidates admises de la prochaine cohorte, trois profils qui auront la possibilité de passer un entretien avec le jury de 3M. En fin de sélection, l’une d’entre elles se verra attribuer la bourse « Women in Data Sciences ».

« Les métiers d’analyse et de gestion des données sont très ouverts aux jeunes femmes engagées, talentueuses et créatives, qui réussissent après leur formation dans le Master Data Sciences et Business Analytics ESSEC-CentraleSupélec des carrières remarquables dans les entreprises. Le master a accueilli 45% de femmes cette année, de nationalités très variées. Le programme « Women in DataSciences » du partenariat ESSEC-3M contribuera à encourager les femmes à s’engager dans cette voie et à faciliter leur accès à l’une des toutes meilleures formations du domaine », explique Laurent Alfandari, professeur et co-responsable académique du Master in Data Sciences & Business Analytics ESSEC & CentraleSupélec.

« Depuis de nombreuses années, 3M s’implique dans le monde entier pour augmenter le rayonnement de la Science dans la société et pour éduquer à la Science les jeunes et particulièrement les filles. Ce nouveau programme de bourses s’inscrit ainsi parfaitement dans la politique RSE de 3M, alliant collaboration avec l’environnement local et soutien à des projets innovants, le domaine de la Data ouvrant de multiples perspectives », commente Véronique Delpla-Dabon, Directeur Développement Durable et RSE, 3M France.

Visions for leaders, à la découverte de l’équi-coaching

Visions for leaders, à la découverte de l’équi-coaching

Il est temps de vous parler de notre expérience passée avec Eric Winckert, qui nous a fait découvrir son quotidien avec Visions for Leaders. Après avoir travaillé dans une grande entreprise du CAC 40 pendant 20 ans et managé des équipes sur plusieurs niveaux de direction, ce passionné de chevaux a eu envie d’un retour aux sources. Il plaque tout pour aller se former au horse-coaching en Arizona, puis pose ses valises à Cormeilles en Vexin, où il entame un changement de vie radical, au contact des chevaux, véritables miroirs de nos émotions. Depuis 2008, il pratique le développement personnel assisté par le cheval (l’équicoaching) et a créé sa structure en 2012, au service des entreprises. Nous avons testé pour mieux vous en parler.

 Dans le cadre de team buidings, Eric encadre des équipes de collaborateurs prêts à se découvrir, grâce à “l’extraordinaire capacité des chevaux à ramener l’humain dans le moment présent, à l’aider à dépasser ses blocages, ses difficultés, à révéler son potentiel, trouver des solutions et à être créatif.” Sa démarche s’appuie sur la communication non verbale, l’exercice de l’autorité bienveillante et la dynamique des équipes.Comme il l’explique, “l’équicoachingest au service desmanagerset des collaborateurs qui veulent réussir autrement, atteindre de nouvelles performances dans la bienveillance et les maintenir au plus haut niveau. Le cheval est un révélateur de potentiel dans l’univers professionnel.”

 Après la théorie, place à la pratique !

Sur le papier, le défi donne envie, surtout lorsqu’on aime le contact avec les chevaux. Le challenge semble accessible, mais dans la pratique, la tâche s’avère plus corsée qu’elle n’en a l’air ! Après nous avoir dispensé toutes les règles de sécurité et les consignes à respecter, Eric nous a mis en situation et demandé de faire venir le cheval au centre du manège, sans le toucher, simplement par la parole et la gestuelle. Les participants ne montent jamais les chevaux, tout se fait au sol, ce qui permet à chacun de prendre part à l’expérience. Peu enclin à s’exécuter et à bouger, tête tournée, regard fuyant, notre compagnon du jour a fait sa tête de mule ! Ou peut-être, avait-il des difficultés à déchiffrer nos intentions ? Il a fallu redoubler d’imagination pour attirer l’attention de ce partenaire récalcitrant et réadapter notre mode de communication pour qu’il nous suive enfin, grâce aux conseils avisés du coach.

Eric nous a permis de tester d’autres exercices en faisant trotter et galoper le cheval, dans un sens, puis dans l’autre. Cette fois, nous nous sommes aidés d’une chambrière, réel prolongement du bras qui permet à la fois de conserver une distance de sécurité avec le cheval, de lui insuffler l’énergie nécessaire à chaque allure et de le diriger. Les directives et les messages se doivent d’être clairs et fermes pour l’inciter à s’exécuter. Encore une fois, l’expérience est très intéressante. On se découvre un peu plus, on décrypte les points de blocage qui peuvent exister grâce aux réactions du cheval, révélateur de comportement. Et celles-ci ne trompent pas !

Une expérience enrichissante

Eric respecte profondément ses chevaux (ils sont sept sur le site), qui vivent librement sur le domaine en compagnie d’une jeune biche. Celle-ci a élu domicile avec le troupeau, mais préfère rester à distance des hommes. On aimerait pourtant l’approcher mais elle reste très craintive. En amont des ateliers d’équi-coaching, Eric valide toujours que les chevaux soient “disponibles” pour se prêter aux exercices qui leur seront demandés. Ce rapport à l’animal, cette simplicité et cette bienveillance permettent de déconnecter complètement, pour revenir aux fondamentaux, dans un cadre reposant et très agréable, tout en renforçant la confiance collective. A noter qu’Eric forme également d’autres futurs équi-coachs en trois modules successifs. La prochaine session démarrera en Juillet 2020 pour s’achever en octobre. Une belle reconversion pour les amoureux des équidés souhaitant construire une nouvelle vie professionelle à leurs côtés.

https://www.visionsforleaders.com

 

 

Dupliprint (Domont) reprend l’imprimerie Jouve

Dupliprint (Domont) reprend l’imprimerie Jouve

Jouve, groupe historique de la Mayenne fondée en 1903, dirigé par Thibault Lanxade, écrit une nouvelle page de son histoire. Le groupe a cédé officiellement le 3 février 2020 son activité d’impression à Dupli-print, imprimerie située à Domont, dont le dirigeant est Frédéric Fabi. Créée en 1993, Dupli-print, spécialisée de l’impression numérique, emploie 100 personnes et réalise environ 17 millions d’euros de chiffre d’affaires. Equipée en offset et numérique, l’imprimerie Jouve compte 172 employés et réalise 20 millions d’euros de chiffre d’affaires, dont la moitié dans l’édition littéraire, juridique et professionnelle, avec de belles références comme le guide du Routard. Tous les postes devraient être conservés. Des changements sont programmés jusqu’en 2025 pour relancer l’entreprise.

« Il s’agit là d’une opportunité historique pour l’activité d’impression basée à Mayenne, qui voit ainsi avec Dupliprint des perspectives de redressement et de pérennité solides, explique le groupe Jouve dans un communiqué. Ce rapprochement va permettre de nombreuses synergies, la société Dupli-print offrant une très bonne vision stratégique du marché de l’imprimé à l’ère du numérique, avec un modèle original qui intègre des métiers de la communication, des industries graphiques et des technologies de l’information. »

En mai dernier, la direction du groupe Jouve (2000 personnes, dont la moitié en France pour 125 millions d’euros de chiffre d’affaires), avait annoncé « un plan de redynamisation » sur plusieurs années de l’activité d’impression. C’est donc la fin d’une époque pour les 162 salariés mayennais qui restent sur leur site mais changent de direction. Pour l’imprimerie Jouve, ce rachat est comme une renaissance. Des changements sont annoncés par Frédéric Fabi avec son plan 2020-2025. Il veut un « imprimeur 4.0 », « qui sera à la fois industriel de l’imprimerie, à la fois logisticien, routeur, et d’une entreprise numérique« , envisage le patron de Dupliprint.

www.dupliprint.fr