La Poste de Saint-Ouen l’Aumône invite les entreprises à découvrir ses services

La Poste de Saint-Ouen l’Aumône invite les entreprises à découvrir ses services

La Poste de Saint-Ouen l’Aumône, dont la direction est assurée par Marc Charnay, organise, en partenariat, avec l’équipe gestionnaire du parc de Saint-Ouen l’Aumône, un moment d’échanges avec les entreprises, le 24 juin prochain, de 11h à 15h, sur son site, avenue des Gros Chevaux. L’objectif : permettre aux entreprises de découvrir et de tester les solutions La Poste pour développer leur activité, gagner du temps (courrier de gestion…), engager une démarche RSE (éco-conduite, recyclage…) ou encore proposer des services à valeur ajoutée à leurs employés (conciergerie, facteur connecté..), témoignages à l’appui.

La Poste a radicalement changé de visage ces dernières années et s’est réinventée pour devenir un grand groupe international multi-services et multi-métiers. Toujours opérateur courrier, le groupe s’est néanmoins diversifié vers d’autres marchés et propose aujourd’hui à ses clients des solutions très en amont et très en aval des métiers pratiqués, de plus en plus axées sur le service : banque, mobile, réseau de bureaux de Poste, colis, e-logistique, marketing digital… Sans oublier la récente création d’une branche numérique, qui vient ajouter une couche digitale à toutes ces activités.

Pour la Poste de Saint-Ouen l’Aumône, l’objectif du 24 juin est donc d’être identifié par les entreprises des parcs comme un partenaire performant, sur une offre complète de services (souvent méconnus). Plusieurs grandes entreprises de l’agglomération sont déjà clientes comme Telma et Cerba. Cette rencontre, autour d’un buffet déjeunatoire, d’ateliers pratiques et de « stands démo », animés par des postiers du site, se veut avant tout concrète, étayée de témoignages clients, parmi lesquels U Express.

Maxime WATTINNE, directeur de U EXPRESS à Mériel, fera part de son expérience. Son magasin développe actuellement un service de livraison « coffre à coffre » pour les salariés, en partenariat avec la Poste de Saint-Ouen l’Aumône. « A partir du 1er septembre, précise le directeur, en passant commande avant 10h sur le site www.coursesu.com/meriel, nos clients pourront se faire livrer leurs courses, sur leur lieu de travail, entre 16 et 19h. En attendant que ce service internet soit opérationnel, les clients peuvent commander par téléphone (01 34 48 21 43). Au delà de 50 euros d’achat, ce service de livraison sera gratuit. La Poste prendra en charge le transport et va équiper ses véhicules de glacières pour assurer la conservation des produits frais (fruits, légumes, charcuterie, crèmerie…) qui font notre marque de fabrique. La zone géographique ciblée couvrira Cergy-Pontoise, Saint-Ouen l’Aumône, Méry, Mériel… »

Contact : danielle.dormegnie@laposte.fr ou 06 86 20 74 83

 

Anjac Health & Beauty accélère son développement à Argenteuil

Anjac Health & Beauty accélère son développement à Argenteuil

En reprenant au Groupe L’Oréal le site de la société Décléor Productions à Argenteuil (effectif : 80 personnes), Anjac Health&Beauty continue à se renforcer dans le domaine du « Skincare Premium » (soins visage haut de gamme). Cette acquisition devrait permettre à l’entreprise spécialisée dans la formulation, la fabrication et le conditionnement de cosmétiques, de dispositifs médicaux et de médicaments de poursuivre sa croissance en bénéficiant d’un outil de production supplémentaire à la pointe de la technologie.

« Nous disposons désormais d’un pôle de luxe référence en Europe à côté de nos centres plus axés dermo-cosmétique et médicaments. Chaque site profite de l’expérience, du portefeuille clients et des standards des autres  », précise Aurélien Chaufour, Directeur Général d’Anjac.

Chaque année, le groupe crée 500 formulations, fabrique et conditionne plus de 1 000 produits. Ce nouveau site d’Argenteuil va ainsi renforcer sa capacité à offrir une solution back-up pour ses clients. Créé en 2008, le groupe Anjac Health&Beauty enregistre un chiffre d’affaires de 150 millions d’euros et emploie 720 personnes. Le groupe axe sa stratégie autour de la R&D, avec une équipe de 40 personnes dédiées à l’innovation et à la production et une stratégie d’investissements offensive. En moyenne, 70% des résultats dégagés sont ainsi réinvestis dans l’outil industriel et les installations de production.

« Le site d’Argenteuil possède une solide valeur ajoutée sur le secteur avec notamment le travail des huiles essentielles et des petits conditionnements. Sa situation géographique, à proximité de Paris, va nous permettre d’être encore plus réactifs aux demandes de nos clients grandes marques. L’intégration de cette équipe experte est un véritable atout », indique le DG.

Gagnant gagnant

De son côté, la vente de ce site va permettre à l’Oréal d’assurer l’externalisation de la production des produits aromathérapiques de Decléor et des soins de luxe Carita, distribués dans les spas et les instituts, deux marques rachetées en 2014 à Shiseido. Le site était en situation de sous-capacité. La production pour Decléor et Carita, dont le chiffre d’affaires est estimé à plus de 100 millions d’euros, était faible au vu des possibilités du site. Et son savoir-faire spécifique, avec le travail d’huiles essentielles et les multiples petits conditionnements, impossible à transférer vers les autres usines françaises du groupe, pas adaptées à cette fabrication. L’Oréal s’est engagé à maintenir des commandes sur Decléor et Carita durant cinq ans.

 

Flying Eye s’allie avec Aeromapper pour optimiser le secteur de la cartographie

Flying Eye s’allie avec Aeromapper pour optimiser le secteur de la cartographie

Flying Eye, leader en France dans la construction de drones civils homologués, a conclu un accord de partenariat avec le valdoisien Aeromapper (installé à Montmagny), constructeur de drones longue portée. Cette collaboration a pour objectif de mutualiser leurs expertises et mieux répondre aux besoins du marché.

Au travers de son parc de 650 drones dans le monde et son réseau de 350 opérateurs dans l’hexagone, Flying Eye (CA de 1,8M d’euros), labellisé Bpifrance Excellence, construit et opère des drones civils à voilure tournante. Cette société française qui développe, fabrique et commercialise des solutions innovantes de drones civils, intervient sur 3 secteurs d’activités : constructeur de drones, opérateur de travail aérien, formateur au télépilotage et à l’acquisition de données.

De son côté, Aeromapper, avec son drone AVEM, figure parmi les trois constructeurs de drones certifiés par la DGAC (Direction générale de l’aviation civile). Ce drone à voilure fixe offre ainsi la meilleure qualité d’imagerie, principalement sur les applications cartographiques.

L’exploitation du drone AVEM va permettre à Flying Eye de pénétrer de nouveaux segments de marché, notamment celui de la cartographie à grande échelle et de la surveillance des réseaux de transport et d’énergie. Aeromapper confiera également à Flying Eye la formation de télépilotes ainsi qu’un mandat de distribution du modèle AVEM.

« Ce nouveau partenariat illustre notre volonté de mettre en place un groupement fort avec une vision commune, afin de relever les défis techniques et commerciaux de demain. Ce large éventail de compétences permettra à nos deux sociétés de se placer sur de nouveaux segments de marché, en y apportant nos expertises croisées de constructeur et d’opérateur, » précise Alexandre GAHIDE, président et cofondateur d’Aeromapper.

Pour Grégoire Thomas, président et cofondateur de Flying Eye, « Les performances du drone d’Aeromapper et leur agilité en termes d’ingénierie les détachent nettement de leurs concurrents sur le marché. Ce partenariat vient renforcer le potentiel de croissance de nos deux structures sur un marché à la demande forte, en France comme à l’export. »

Fort de cette collaboration, Flying Eye et Aeromapper mettent aujourd’hui en commun leurs ressources de recherche et de développement pour offrir des solutions de drones spécifiques, destinées à des usages industriels à fort potentiel.

www.aeromapper.com/fr/

 

Changement réussi et récompensé pour le cabinet Guery Bollé

Changement réussi et récompensé pour le cabinet Guery Bollé

Le 5ème Salon Social & RH, organisé à Paris par le syndicat IFEC de la profession comptable a remis au cabinet Guery Bollé le premier prix dans la catégorie « Changement réussi au sein du cabinet ». Une démarche sociale reconnue nationalement par la profession. Pour cette 5e édition, qui s’est déroulée le 27 mai dernier, une centaine d’acteurs de la profession comptable s’est réunie autour des thèmes liés au management. Les différentes bonnes pratiques managériales du cabinet cergyssois Guery Bollé ont été mises en lumière.

Nicolas et Justine Bollé, entrepreneurs dynamiques, ont dévoilé leur recette pour amener leurs collaborateurs à évoluer en abordant la transition numérique et le management positif. L’apport d’outils technologiques a radicalement modifié le mode de travail au sein du cabinet, au profit de l’efficacité et de la sérénité. Un logiciel de récolte des données des clients a notamment été mis en place ainsi que la possibilité de faire du télé-travail. L’écoute des attentes de chacun est la seconde clé du succès. Nicolas Bollé, expert-Comptable et chef d’entreprise, dédie une journée par semaine pour échanger individuellement avec ses collaborateurs sur leurs problématiques. Un rendez-vous d’équipe mensuel lui permet ensuite de partager les informations en groupe et de se réunir autour des projets d’entreprise.

L’adoption d’une nouvelle image est venue renforcer la communication interne et externe tout en fédérant l’équipe autour d’une identité commune. Nicolas et Justine Bollé s’appuient avant tout sur l’humain : cette pratique managériale est transposable à toute petite entreprise car nul besoin d’investissement financier mais seulement d’envie ! « Nous avons ressenti de la fierté car ce trophée représente d’une part le résultat de l’investissement de l’ensemble de l’équipe du cabinet, d’autre part la reconnaissance de nos confrères. Cela permet de démontrer que le changement d’un cabinet de petite taille est possible et bénéfique, compte tenu du contexte économique actuel. Nous invitons les petites entreprises, comme nous, à participer à ce type de concours afin de fédérer leurs équipes autour d’un projet commun ! »

www.guerybolle.com

 

L’Ina et l’ENSEA s’associent autour d’une nouvelle filière en Ingénierie Audiovisuelle

L’Ina et l’ENSEA s’associent autour d’une nouvelle filière en Ingénierie Audiovisuelle

Ce partenariat allie l’expertise numérique et audiovisuelle de l’Ina, fort de ses 16 diplômes existants, à une formation d’excellence dispensée par l’une des dix meilleures écoles d’ingénieurs françaises spécialisée en électronique. La nouvelle filière par apprentissage sera ouverte dès la rentrée 2016 aux élèves du cycle « Ingénieur des Techniques de l’Industrie » (I.T.I). L’objectif est de former des ingénieurs maîtrisant toutes les compétences utiles en électronique et technologie de l’information appliquées aux besoins spécifiques des acteurs de l’audiovisuel et des médias.

Cette formation préparera, entre autres, aux métiers d’ingénieur TV numérique, chef de projet d’ingénierie audiovisuelle numérique, ou encore concepteur d’équipements audiovisuels – codeurs, multiplexeurs, analyseurs. Les cours, répartis sur les 3 années du cursus, seront dispensés à la fois sur les sites de l’Ina et de l’ENSEA afin de faire bénéficier les futurs diplômés des meilleurs équipements disponibles.

Ina SUP, école d’enseignement supérieur de l’Ina, propose des formations du BTS au Master dans les métiers de l’image, du son et du patrimoine audiovisuel et numérique. Chaqueannée, elle accueille plus de 250 étudiants qui évoluent au cœur de l’Ina, entreprise publique audiovisuelle et numérique.

De son côté, l’ENSEA est une grande école d’ingénieurs généraliste publique dont les domaines d’excellence sont l’électronique, l’informatique, les télécommunications et les systèmes embarqués. Sa mission est de former des ingénieurs polyvalents, ouverts sur le monde, experts dans leur domaine, passionnés et conscients des responsabilités environnementales et sociétales. Depuis 1952, elle a formé plus de 7 000 ingénieurs. L’ENSEA héberge également deux laboratoires de recherche de renommée internationale.