Flying Eye s’allie avec Aeromapper pour optimiser le secteur de la cartographie

Flying Eye s’allie avec Aeromapper pour optimiser le secteur de la cartographie

Flying Eye, leader en France dans la construction de drones civils homologués, a conclu un accord de partenariat avec le valdoisien Aeromapper (installé à Montmagny), constructeur de drones longue portée. Cette collaboration a pour objectif de mutualiser leurs expertises et mieux répondre aux besoins du marché.

Au travers de son parc de 650 drones dans le monde et son réseau de 350 opérateurs dans l’hexagone, Flying Eye (CA de 1,8M d’euros), labellisé Bpifrance Excellence, construit et opère des drones civils à voilure tournante. Cette société française qui développe, fabrique et commercialise des solutions innovantes de drones civils, intervient sur 3 secteurs d’activités : constructeur de drones, opérateur de travail aérien, formateur au télépilotage et à l’acquisition de données.

De son côté, Aeromapper, avec son drone AVEM, figure parmi les trois constructeurs de drones certifiés par la DGAC (Direction générale de l’aviation civile). Ce drone à voilure fixe offre ainsi la meilleure qualité d’imagerie, principalement sur les applications cartographiques.

L’exploitation du drone AVEM va permettre à Flying Eye de pénétrer de nouveaux segments de marché, notamment celui de la cartographie à grande échelle et de la surveillance des réseaux de transport et d’énergie. Aeromapper confiera également à Flying Eye la formation de télépilotes ainsi qu’un mandat de distribution du modèle AVEM.

« Ce nouveau partenariat illustre notre volonté de mettre en place un groupement fort avec une vision commune, afin de relever les défis techniques et commerciaux de demain. Ce large éventail de compétences permettra à nos deux sociétés de se placer sur de nouveaux segments de marché, en y apportant nos expertises croisées de constructeur et d’opérateur, » précise Alexandre GAHIDE, président et cofondateur d’Aeromapper.

Pour Grégoire Thomas, président et cofondateur de Flying Eye, « Les performances du drone d’Aeromapper et leur agilité en termes d’ingénierie les détachent nettement de leurs concurrents sur le marché. Ce partenariat vient renforcer le potentiel de croissance de nos deux structures sur un marché à la demande forte, en France comme à l’export. »

Fort de cette collaboration, Flying Eye et Aeromapper mettent aujourd’hui en commun leurs ressources de recherche et de développement pour offrir des solutions de drones spécifiques, destinées à des usages industriels à fort potentiel.

www.aeromapper.com/fr/

 

Changement réussi et récompensé pour le cabinet Guery Bollé

Changement réussi et récompensé pour le cabinet Guery Bollé

Le 5ème Salon Social & RH, organisé à Paris par le syndicat IFEC de la profession comptable a remis au cabinet Guery Bollé le premier prix dans la catégorie « Changement réussi au sein du cabinet ». Une démarche sociale reconnue nationalement par la profession. Pour cette 5e édition, qui s’est déroulée le 27 mai dernier, une centaine d’acteurs de la profession comptable s’est réunie autour des thèmes liés au management. Les différentes bonnes pratiques managériales du cabinet cergyssois Guery Bollé ont été mises en lumière.

Nicolas et Justine Bollé, entrepreneurs dynamiques, ont dévoilé leur recette pour amener leurs collaborateurs à évoluer en abordant la transition numérique et le management positif. L’apport d’outils technologiques a radicalement modifié le mode de travail au sein du cabinet, au profit de l’efficacité et de la sérénité. Un logiciel de récolte des données des clients a notamment été mis en place ainsi que la possibilité de faire du télé-travail. L’écoute des attentes de chacun est la seconde clé du succès. Nicolas Bollé, expert-Comptable et chef d’entreprise, dédie une journée par semaine pour échanger individuellement avec ses collaborateurs sur leurs problématiques. Un rendez-vous d’équipe mensuel lui permet ensuite de partager les informations en groupe et de se réunir autour des projets d’entreprise.

L’adoption d’une nouvelle image est venue renforcer la communication interne et externe tout en fédérant l’équipe autour d’une identité commune. Nicolas et Justine Bollé s’appuient avant tout sur l’humain : cette pratique managériale est transposable à toute petite entreprise car nul besoin d’investissement financier mais seulement d’envie ! « Nous avons ressenti de la fierté car ce trophée représente d’une part le résultat de l’investissement de l’ensemble de l’équipe du cabinet, d’autre part la reconnaissance de nos confrères. Cela permet de démontrer que le changement d’un cabinet de petite taille est possible et bénéfique, compte tenu du contexte économique actuel. Nous invitons les petites entreprises, comme nous, à participer à ce type de concours afin de fédérer leurs équipes autour d’un projet commun ! »

www.guerybolle.com

 

L’Ina et l’ENSEA s’associent autour d’une nouvelle filière en Ingénierie Audiovisuelle

L’Ina et l’ENSEA s’associent autour d’une nouvelle filière en Ingénierie Audiovisuelle

Ce partenariat allie l’expertise numérique et audiovisuelle de l’Ina, fort de ses 16 diplômes existants, à une formation d’excellence dispensée par l’une des dix meilleures écoles d’ingénieurs françaises spécialisée en électronique. La nouvelle filière par apprentissage sera ouverte dès la rentrée 2016 aux élèves du cycle « Ingénieur des Techniques de l’Industrie » (I.T.I). L’objectif est de former des ingénieurs maîtrisant toutes les compétences utiles en électronique et technologie de l’information appliquées aux besoins spécifiques des acteurs de l’audiovisuel et des médias.

Cette formation préparera, entre autres, aux métiers d’ingénieur TV numérique, chef de projet d’ingénierie audiovisuelle numérique, ou encore concepteur d’équipements audiovisuels – codeurs, multiplexeurs, analyseurs. Les cours, répartis sur les 3 années du cursus, seront dispensés à la fois sur les sites de l’Ina et de l’ENSEA afin de faire bénéficier les futurs diplômés des meilleurs équipements disponibles.

Ina SUP, école d’enseignement supérieur de l’Ina, propose des formations du BTS au Master dans les métiers de l’image, du son et du patrimoine audiovisuel et numérique. Chaqueannée, elle accueille plus de 250 étudiants qui évoluent au cœur de l’Ina, entreprise publique audiovisuelle et numérique.

De son côté, l’ENSEA est une grande école d’ingénieurs généraliste publique dont les domaines d’excellence sont l’électronique, l’informatique, les télécommunications et les systèmes embarqués. Sa mission est de former des ingénieurs polyvalents, ouverts sur le monde, experts dans leur domaine, passionnés et conscients des responsabilités environnementales et sociétales. Depuis 1952, elle a formé plus de 7 000 ingénieurs. L’ENSEA héberge également deux laboratoires de recherche de renommée internationale.

 

Nouvelle aventure pour Olivier Carrière avec Les Broches du Vexin

Nouvelle aventure pour Olivier Carrière avec Les Broches du Vexin

Un nouveau restaurant, Les Broches du Vexin, a ouvert ses portes début mai à Montgeroult dans le Vexin (anciennement l’Auberge de la gare). Olivier Carrière, dirigeant de l’établissement, propose un concept original : une cuisine autour de la rôtisserie. Issu d’une famille de restaurateurs dont il représente la troisième génération, Olivier Carrière souhaite offrir à ses clients un moment convivial ainsi que des plats de qualité. Diplômé des écoles Ferrandi et Léon Labroche, il a été manager d’équipe pendant 20 ans au sein de l’établissement Maître Kanter puis du Relais d’Alsace à Port Cergy, avant d’ouvrir son propre restaurant.

« Cela faisait déjà longtemps que j’avais en tête ce concept d’une rôtisserie spectacle, précise le maître des lieux. J’ai visité pas mal d’affaires et je suis tombé sous le charme de cet endroit, qui répondait à mes attentes, avec une grande terrasse de 40 couverts, bien exposée. En salle, nous avons fait des travaux de décoration et de peinture. La cheminée a été cassée pour installer la rôtissoire et le restaurant a pu ouvrir début mai. »

Des rôtis du terroir, provenant principalement du Vexin, d’Auvergne et de Picardie sont servis, du mardi au dimanche midi (excepté le samedi midi) de 12h à 14h30 et de 19h à 22h. L’établissement offre la possibilité de commander toutes pièces de viande rôties 48h à l’avance et de les déguster sur place ou à emporter.

Olivier Carrière et son équipe, Jean-Claude, maître d’hôtel, avec qui le dirigeant travaille depuis 25 ans, Philippe, chef de cuisine, 30 ans d’expérience, mitonnent de nombreuses viandes  (pintade, bœuf, poulet, canard, porcelet rôti au menu du dimanche midi et bien d’autres encore), rôties sous les yeux des clients. Des assiettes que chacun peut accommoder à sa façon, avec des légumes de saison en fonction du marché et diverses sauces afin de convenir à tous les goûts.

Côté champagne, un partenariat avec un propriétaire récoltant champenois de la vallée de l’Aube, provenant d’une maison âgée de 120 ans, a été conclu et permet au restaurant d’en être l’unique dépositaire dans la partie nord de la région parisienne.

Les Broches du Vexin, 1 chemin du moulin, 95650 MontgeroultTél. : 01 85 15 28 59 – www.lesbrochesduvexin.fr

 

 

Les crues impactent l’activité économique du département

Les crues impactent l’activité économique du département

Les crues de la semaine dernière, moins importantes dans le Val-d’Oise qu’en Essonne, ont impacté lourdement l’activité fluviale et portuaire de la région et du département. Le tourisme, la logistique, le BTP ont été affectés par la montée des eaux qui a empêché toute activité économique sur la Seine pendant plusieurs jours. Il est nécessaire d’attendre la décrue du fleuve mais également le nettoyage des berges afin que l’ensemble de ces activités ne puissent reprendre du service.

Dans le Parisis, à Argenteuil ou encore à Bezons, l’eau est montée sur les berges et a entraîné la fermeture de plusieurs routes, dont la D311 reliant Argenteuil à Bezons ou encore le rond-point de Baillet-En-France donnant accès à la Francilienne. Ces inondations ont causé des dégâts dont la valeur ne peut pas être estimée avant la décrue complète du fleuve.

Les équipes de Ports de Paris se sont mobilisées pour faciliter la reprise générale de l’activité. La priorité est bien évidemment le nettoyage des quais (notamment au regard des boues déposées mais également des déchets plus encombrants échoués) avec des équipes renforcées sur le terrain. Une première séquence d’examen de l’état des quais, des réseaux (notamment électriques) et des arbres  ainsi que  de nettoyage général des ports dans le bief de Paris  va prendre environ 10 jours.

Au rythme actuellement constaté de la décrue, le nettoyage a débuté le 8 juin pour les quais les plus hauts et se poursuivra y compris le week-end. Un planning de réouverture, en fonction de la hauteur du quai est donc établi avec une priorité donnée aux ports recevant le plus de public. L’objectif étant de permettre aux entreprises une reprise rapide et sécurisée de leurs activités,  et de redonner au public  un accès aux activités de loisirs et aux continuités piétonnes le long des berges.

Des conséquences économiques en cours d’évaluation

L’interruption de l’activité pendant la crue, et les dégâts matériels sur les installations flottantes ou fixes ont des conséquences économiques en cours d’évaluation pour chaque filière par les organisations professionnelles. Elles concernent surtout le bief de Paris, les plates-formes multimodales de Gennevillers (92) , Bonneuil-sur-Marne (94) et Limay (78) ont été bien moins impactées.

Dans le secteur du tourisme fluvial, ce sont 60 compagnies qui  exploitent 130 bateaux et transportent chaque année 8 millions de voyageurs qui sont impactées. Dans le secteur du BTP, 70 sites  (centrales à béton, magasins de matériaux, stocks de granulats nécessaires au fonctionnement des chantiers …) sont actuellement à l’arrêt.

La crue impacte également la multimodalité : à elle seule l’interruption de l’activité de logistique urbaine fluviale sur le port de la Bourdonnais génère la circulation de 40 camions supplémentaires par jour dans Paris.