Gopark : tous les vendredis, c’est gratuit !

Gopark : tous les vendredis, c’est gratuit !

Free Friday ! Jusqu’au 26 février, Gopark, le complexe de paintball, foot en salle, foot en bulle et multi-activités de Pontoise propose des séances libres de paintball en intérieur chaque vendredi ! Cette offre permet un accès illimité à la salle de paintball de 18h à 23h, l’équipement complet est fourni (lanceur, masque combinaison, gants, plastron pour les filles et enfants), les parties scénarisées sont encadrées en présence d’animateurs et d’arbitres.

Il ne reste plus aux participants qu’à payer leurs munitions : billes de peintures à 6 euros les 100. Un conseil : il est préférable de bloquer les places le jour J dès 10h00 par simple appel téléphonique : 01 34 42 68 68.

A noter que depuis novembre 2015, Gopark propose des cessions spéciales enfants à partir de 8 ans avec des billes de calibre 50 « qui font moins mal » et peuvent être utilisées également pour les adultes.

Cet été, le parc indoor a aussi lancé une activité « foot en bulle. Le principe est le même qu’au Foot : marquer des buts
Mais chaque joueur évolue dans une bulle géante et transparente, protégé de la tête au genoux. La bulle « gonflée à bloc »  permet de projeter vos adversaires à plusieurs mètres, chocs, roulades, tout est permis.

www.gopark.fr

 

 

15 000 euros pour sauver la brebis du lycée d’Osny

15 000 euros pour sauver la brebis du lycée d’Osny

Il y a 20 ans, alors qu’était inauguré le Lycée Paul Emile Victor à Osny, l’artiste Jean-François FOURTOU a spécifiquement créé une brebis en résine, devenue mascotte de l’établissement. Aujourd’hui, l’œuvre, qui trône dans les espaces extérieurs de l’établissement, s’est beaucoup détériorée. Le lycée a décidé de lancer un appel aux entreprises et aux mécènes pour sauver la brebis du lycée : 15 000 € seront nécessaires (dont la moitié sera prise en charge par le Conseil Régional).

Alors que le symbole de l’école se dégrade, le lycée Paul Emile Victor cherche activement des mécènes pour combler la somme de 7 500 € qui n’est pas prise en charge par la région. La restauration de cette création devient une priorité : les fissures, détériorations de la couche et mousse envahissent progressivement l’animal. Imposante, la brebis mesure 2m76 de haut pour 3m58 de long et pèse près de 500kg. L’artiste contemporain et sculpteur, J-F FOURTOU a réalisé la brebis en résine ignifugée avec une armature en métal et recouverte d’un tissu « anti-UV », sérigraphié de caractères papier journal et protégé par un vernis résistant.

Cependant le temps et les années ont eu raison de cette œuvre vieille de 20 ans. L’équipe du Lycée Paul Emile Victor compte sur le soutien des entreprises afin de ne pas perdre la « mascotte » de l’établissement qui pourront bénéficier d’un crédit d’impôt au titre du mécénat. Alors pourquoi cet animal ? Elle serait un symbole de l’adolescence. « J’aimerais qu’en elle, les jeune se reconnaissent » : voilà comment s’explique le choix de la brebis pour un lycée plein d’adolescents, selon le créateur. « La brebis représente le gigantisme et paradoxalement le contraire de la force. La fragilité des adolescents s’y reflète », selon Catherine Mathieu Van-Daele, la proviseur du lycée.

Class’croute s’installe à Bezons

Class’croute s’installe à Bezons

Class’croute, restaurant et restauration livrée en entreprise, s’est implantée à Bezons. Cette ouverture est née d’une volonté commune de l’enseigne et du franchisé, Cyril Baudouin, de proposer une offre de restauration rapide, mais de qualité, aux salariés des entreprises voisines, ainsi qu’un service de livraison et une offre traiteur.

Le restaurant accueille la clientèle du lundi au vendredi du petit-déjeuner au déjeuner (8h00 à 15h00), dans un décor moderne et chaleureux de 170m². Il dispose de 80 places assises et d’une belle terrasse avec vue sur la seine pour les pauses déjeuner estivales.

L’enseigne propose un service de livraison sur le lieu de travail, un service de vente à emporter ou la possibilité de déjeuner sur place. Class’croute offre à ses clients une carte originale composée de plus de 100 recettes à déguster au bureau comme au restaurant.

Une gamme « pause déjeuner » est disponible avec un large choix de sandwichs, salades, plats chauds, soupes, wraps, desserts… aux recettes originales, ainsi qu’une offre « coffrets-repas » pour les déjeuners d’affaires (à commander à l’avance, ou le jour même).

A savoir que Class’croute peut également assurer des prestations spécifiques dans le cadre d’événements entreprises avec une gamme de cocktails et buffets sur-mesure et clé en main.

Class’croute Bezons
219, rue Michel Carré – 95870 BEZONS
@: bezons@classcroute.com – tél. 01 85 11 04 74

Koezio : J – 67 avant le début de l’aventure

Koezio : J – 67 avant le début de l’aventure

Le chantier de Koezio sur la Plaine des Linandes avance à grands pas. Après Sénart, Lille et Bruxelles, c’est à Cergy que le groupe fait construire un nouveau parc de loisir urbain indoor. Par équipe de deux à cinq personnes, les joueurs doivent traverser cinq mondes, réussir des épreuves collectives d’action et de réflexion afin de récolter un maximum d’indices et résoudre une énigme finale. A Cergy, le parc n’est pas encore tout à fait finalisé, mais les réservations sont déjà ouvertes aux entreprises qui voudraient être parmi les premières à vivre cette expérience ludique, destinée à renforcer l’esprit d’équipe. Rendez-vous début avril.

Le bâtiment de 6000 m2 est sorti de terre aux Linandes, derrière le magasin Décathlon, tout proche de la future Aren’Ice. Les aménagements et le montage des structures tubulaires, toboggans et du parcours aérien sont actuellement en cours d’installation et phases de test. L’équipe met tout en œuvre pour accueillir les premiers agents secrets dès le début du mois d’avril en s’appuyant sur un concept déjà bien éprouvé, né dans le nord de la France.

C’est en 2006 que Koezio, à l’initiative de Bertrand Delagrange, voit le jour à Villeneuve d’Ascq, soutenu par le fonds familial d’investissement Geophyle créée par Michel Leclercq, fondateur du groupe Oxylane/Décathlon. Chaque site Koezio attire aujourd’hui plus de 110 000 visiteurs par an (grand public et professionnels dans le cadre team buildings notamment qui représente plus d’un tiers de la clientèle) et emploie une trentaine de personnes. Une belle “succès story” avec une dizaine de nouveaux parcs en projets en Europe d’ici 2017.

Celui de Cergy promet lui aussi une belle aventure, sur-mesure et évolutive. Chacun va pouvoir exploiter ses points forts au sein de l’équipe, pour élaborer une stratégie commune à travers un jeu d’aventure valorisant, solidaire et riche en émotions. Le bâtiment cergyssois comprendra également des espaces de séminaires équipés, mais aussi des bars et espaces de restauration.

Au-delà du concept, Koezio va être pourvoyeur d’emplois localement, puisqu’une trentaine de recrutements, à temps partiel, sont prévus dans les semaines à venir, notamment auprès des étudiants de l’université de Cergy-Pontoise. Le groupe entend s’appuyer sur des équipes jeunes et dynamiques, formées à la culture de l’entreprise, dans l’optique de faire monter, à terme, ces jeunes diplômés, vers des postes d’encadrement et de management.

www.koezio.co/landing/nouveau-parc-cergy

Pot de l’amitié au MEVO

Pot de l’amitié au MEVO

Le MEVO (Mouvement des entreprises du Val d’Oise), à l’invitation du président Michel Jonquères, organisait au Cercle à Argenteuil son pot de l’amitié (terme préféré à celui de vœux) ce jeudi 28 janvier, pour rassembler les adhérents, sympathisants, institutionnels, et leur adresser réussite en 2016. Le président a notamment encouragé les entrepreneurs à «transmettre l’envie de faire et d’être heureux de faire de bonnes choses dans l’intérêt de tous, à tous les jeunes de quelque origine qu’ils soient. »

Le président a également souhaité aux chefs d’entreprises de parvenir à développer en équipe, dans leurs entreprises et institutions, une intelligence des situations pour assurer un développement durable et ainsi créer et donner des emplois à plus de personnes, quelques soient leur diversité. »

Michel Jonquères s’est amusé à décortiquer le mot vœu pour en faire un acronyme qui signifierait « volonté d’optimisation entrepreneuriale d’Utopie », rappelant qu’ « entreprendre, c’est prendre en main une situation pour la faire évoluer vers un objectif le plus idéal possible. « Quant au x qui termine les vœux, a-t-il ajouté, il représente les inconnus qui jalonneront notre chemin entrepreneurial et institutionnel tout au long de 2016 et que les compétences individuelles et en groupe vont permettre de découvrir. » Une allocution appréciée et positive suivie d’un cocktail convivial au cours duquel chacun a pu échanger.