par Audrey Le Meur | 29 Avr, 2020 | A la une, Accompagnement, Actualitēs
Dans cette période complexe, le service de santé au travail du Val d’Oise, SIST VO, continue d’accompagner l’entrepreneur dans sa responsabilité en termes de sécurité et de santé au travers de son Plan de Continuité d’Activité (PCA) ou sa reprise d’activité, afin de permettre aux dirigeants d’amorcer la reprise et de réussir la sortie du confinement. Durant ces dernières semaines, le SIST VO a été en première ligne pour relayer les messages de prévention des autorités, y compris les recommandations de la DIRECCTE, et accentué sa communication pour informer le plus de salariés et d’entreprises possibles.
Comment, en cas de crise sanitaire, assurer la continuité de l’activité de l’entreprise et préserver les conditions de travail des travailleurs ? C’est le rôle du Plan de continuité de l’activité (PCA). Il permet d’anticiper les perturbations possibles et les mesures correctives à mettre en place pour y faire face. Un travail de collaboration étroite avec la direction, les Services de Santé au Travail (SST) et les représentants du personnel doit permettre de coordonner les mesures de prévention et de protection, de déterminer quels devront être les équipements de protection à utiliser et de préparer une information efficace du personnel.
La raison d’être d’un Plan de continuité d’activité (PCA) est de prendre les ajustements qui s’imposent en matière d’organisation de la production et de protection des salariés : télétravail, changements des horaires, des affectations, organisation de la polyvalence, identification des mesures d’hygiène, santé, sécurité (mesures de protection et équipement) et de prévention des risques… Le PCA nécessite de prendre les mesures permettant à chacun de mettre en œuvre les gestes barrières au travail qu’il s’agisse de dispositions : matérielles (achat, stockage, mise à disposition des produits d’hygiène) ou organisationnelles (micro-pauses permettant de se laver fréquemment les mains, poursuite de la mise en œuvre des mesures d’hygiène des locaux et des surfaces de travail utilisées, information du personnel…).
Comme le souligne Pascale Grandmougin, directrice du Service Interentreprises de Santé au Travail du Val d’Oise (SIST VO), « nous nous sommes engagés auprès de tous nos adhérents à être présents à leurs côtés, à ne laisser aucune question sans réponse et à être réactifs. Parmi eux beaucoup sont de petites entreprises, dont nous avons régulièrement des demandes liées à la construction de leur PCA pour lesquels nous fournissons des modèles. Nous avons également beaucoup de questions concernant la gestion de la crise et les mesures de prévention à mettre en place. Nous mettons tout en œuvre pour être le plus réactif et flexible possible, avec une mobilisation maximale de nos équipes, afin d’accompagner nos adhérents et leurs salariés. »
Le SIST VO a lui-même déployé en interne son propre Plan de Continuité d’Activité (PCA) afin de poursuivre son activité dans les centres fixes et en entreprises. « Dès le début de la période de confinement la plupart de nos médecins ont tenu à rester disponibles en centre. Les capacités d’accueil des salariés ont été recentrés à Argenteuil et Roissy. Nous avons maintenu les visites urgentes telles que les visites de pré-reprise, reprise et d’embauche des secteurs indispensables à la vie de la Nation qui concernent les salariés des entreprises des secteurs du transport, de l’énergie, de la distribution alimentaire, de la logistique, de la production agricole (tels que les conducteurs de chariots automoteurs), de la coopération agricole (élevages, cultures) ainsi que l’ensemble des professionnels de santé. Nous réalisons en temps normal autour de 4 000 visites par mois en présentiel et sommes passés à 200 visites sur les premières semaines de confinement. Nous avons également proposé une modalité de prise en charge à distance grâce à la téléconsultation. Enfin, nous maintenons des permanences dans deux hôpitaux. Deux médecins du travail sont présents sur site en lien étroit avec les DRH. »
Deux centres médicaux restent ouverts et sont en capacité de répondre aux questions et demandes: Centre de Roissy – Tél : 01 41 84 02 20 – permanence.roissy@sistvo.fr / Centre d’Argenteuil – Tél : 01 39 96 83 00 – permanence.argenteuil@sistvo.fr
par Audrey Le Meur | 28 Avr, 2020 | A la une, Accompagnement, Actualitēs
Le Gouvernement mobilise 2,1 millions d’euros pour l’aide alimentaire et les besoins de première nécessité des personnes vulnérables dans le Val d’Oise. La crise sanitaire produit des impacts sociaux très importants dans le département compte tenu de ses fragilités, avec un taux de pauvreté de près de 17% et 207 000 personnes résidant en quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV). C’est pourquoi le Val d’Oise fait partie des territoires ciblés par les aides aux familles en difficulté annoncés par le ministre chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, et la secrétaire d’État auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, Christelle Dubos, le 23 avril dernier.
La première urgence a été la mise à l’abri et le soutien aux sans-domiciles fixes et familles hébergées. Les services de l’État, avec l’appui des collectivités et des acteurs associatifs, ont assuré des mises à l’abri et des hébergements systématiques pour tous les publics à la rue ou qui appellent le 115. Depuis le 17 mars, 620 places supplémentaires ont été ouvertes dans des hôtels et près de 11 000 personnes sont mises à l’abri chaque soir dans le Val-d’Oise.
Dans le secteur de l’hébergement et des campements, l’aide alimentaire est apportée par le ministère chargé de la Ville et du Logement à travers des tickets service destinés aux ménages prise en charge dans le dispositif de l’hébergement d’urgence (11 000 personnes) et aux publics vivant dans les campements et bidonvilles (environ 1000 personnes dont un tiers d’enfants). Ces tickets service, d’une valeur de 3 euros cinquante par personne et par jour, permettent d’acheter des produits alimentaires ou de première nécessité. Depuis le début du confinement, la dotation pour le Val d’Oise, deuxième d’Île-de-France par son montant, s’élève ainsi à 1 151 490 €. Le département bénéficie du doublement des tickets service distribués aux personnes les plus fragiles décidés par le ministre pour l’Île-de-France. Le gouvernement met en place un plan d’urgence pour l’aide alimentaire en faveur des familles modestes.
Le plan annoncé par les ministres le 23 avril dernier, pour 39 millions d’euros d’engagements financiers de l’État, comprend un soutien aux associations de l’aide alimentaire pour 25 millions et un soutien renforcé à certains territoires vulnérables pour 14 millions d’euros. A ce titre, le département du Val d’Oise, à l’instar des Outre-mer et de cinq autres départements de métropoles, bénéficie d’une aide exceptionnelle de 945 000 € en tickets service pour l’achat de produits alimentaires et de première nécessité, pour 9000 personnes sur les 30 prochains jours. Cette aide sera répartie auprès des antennes du service social départemental du Conseil départemental et des 26 centres communaux d’action sociale des villes comprenant des QPV. Ces villes sont en effet celles affichant le taux de pauvreté le plus important au niveau du Val d’Oise. L’ensemble de ces tickets service vient en complémentarité de la collecte et de la distribution des produits alimentaires par les épiceries sociales, les associations caritatives et les partenaires de la “Banque alimentaire”. La fédération régionale de la Banque alimentaire confirme le fonctionnement dans le Val d’Oise d’une vingtaine d’antennes et associations correctement provisionnées. Dans ce cadre, et afin de consolider cette collecte, la préfecture de la région Île-de-France a mobilisé le secteur de la grande distribution pour voir dans quelle mesure les enseignes et leurs fournisseurs peuvent venir en aide aux associations. Cette filière s’est organisée autour d’une plateforme dématérialisée où peuvent être déposés les besoins. D’autre part, les ménages bénéficiaires du RSA, de l’ASS ou des APL bénéficieront des aides exceptionnelles versées par la CAF, conformément aux engagements du président de la République en faveur des ménages modestes. Cette aide sera versée le 15 mai et s’élèvera à 150 euros par foyer bénéficiaire du RSA et de l’ASS, et sera complétée de 100 euros par enfant pour les foyers bénéficiaires du RSA, de l’ASS, ainsi que pour les foyers bénéficiaires des APL.
Amaury de Saint-Quentin, préfet du Val-d’Oise, remercie et salue l’engagement des bénévoles et des associations, des communes et du conseil départemental, qui se mobilisent aux côtés de l’État pour apporter une aide alimentaire aux personnes dans le besoin dans cette période de confinement.
par Audrey Le Meur | 28 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Formation
C’est le moment de développer ses compétences et renforcer son employabilité ! Pourquoi ne pas profiter de ce temps d’activité plus réduit pour se former ? Le FNE-Formation se mobilise pour les salariés en activité partielle dans le cadre de la crise du Covid-19. En cas de sous-activité prolongée, voire d’arrêt total de l’activité, les entreprises peuvent demander à bénéficier du FNE-Formation en plus de l’activité partielle afin d’investir dans les compétences des salariés. La société Lena Conseil, dirigée par Laurent Pillard (Cergy) dispense de nombreuses formations en informatique qui sont éligibles dans le cadre de ce dispositif. Sabine Dechaumont, dirigeante de la société Formobilis (Cergy), accompagne les entreprises dans la mise en oeuvre de leur plan de formation. Interlocutrice privilégiée des dirigeants, elle les aide à mieux appréhender ces outils complexes, pouvant amener une vraie valeur ajoutée à l’entreprise et lui permettre de mieux repartir post-confinement.
Tout salarié en activité partielle peut désormais bénéficier d’une formation gratuite, prise en charge dans son intégralité par l’État, dans le cadre du plan de développement des compétences. Pour rappel, jusqu’ici le FNE-formation avait pour objectif d’aider les salariés ayant un faible niveau de qualification par rapport aux besoins du marché, à condition qu’ils ne soient pas en chômage partiel. Le dispositif FNE-Formation est donc renforcé de manière temporaire afin de répondre aux besoins des entreprises en activité partielle par la prise en charge des coûts pédagogiques. Il est accessible à toutes les entreprises qui ont des salariés en chômage partiel. Tous ces salariés (hors salariés en contrat d’alternance), quel que soit leur niveau de diplôme sont éligibles. Il n’y a plus de critère de taille d’entreprise ou de secteur d’activité.
Plusieurs acteurs valdoisiens dispensent des formations qui rentrent dans le cadre de ce dispositif. C’est le cas de Lena Conseil (https://drive.google.com/drive/folders/1PGX-DM2zvsrqiIkTynjVyTF4Q6g5VQXk?usp=sharing – lp@lenaconseil.com). Laurent Pillard et son équipe interviennent à distance pour former les salariés durant les heures théorique de chômage partiel sur les logiciels de bureautique, PAO et infographie, CAO et DAO, comptabilité et analyse financière…
De son côté, Sabine Dechaumont intervient auprès des responsables des ressources humaines ou directement en lien avec les dirigeants et gérants d’entreprise afin de les aider à mettre en oeuvre leur plan de formation, à optimiser le compte professionnel de formation et à mieux l’utiliser, en privilégiant des temps de discussion permettant de cerner les spécificités propres à chacun.
L’ensemble des coûts admissibles pour la mise en place d’une formation est pris en compte, à l’exception des salaires, déjà soutenus par l’activité partielle. L’Etat prend en charge 100% de ces coûts pédagogiques sans plafond horaire. Lorsque les coûts pédagogiques sont inférieurs à 1500 € par salarié, la Direccte peut alors donner son accord. Au-delà de ce montant, le dossier fait l’objet d’une instruction plus détaillée, notamment sur la justification du niveau du coût horaire. Les formations se faisant en principe en formation ouverte à distance (FOAD), il n’y a pas lieu d’avoir une prise en charge de frais annexes (transports, hébergement…).
Les actions éligibles sont les bilans de compétences, les actions de VAE et toute action de formation permettant au salarié de développer ses compétences et de renforcer son employabilité, quel que soit le domaine concerné, notamment dans le cadre du plan de développement des compétences (sauf les formations relevant de l’obligation de formation générale à la sécurité). La durée de la formation ne doit pas excéder le nombre d’heures en activité partielle.
Pour bénéficier de ce dispositif, les entreprises doivent établir la liste nominative des personnes placées en activité partielle et suivant les formations (après accord écrit de ces derniers), et se rapprocher de leur Direccte pour établir une convention simplifiée qui permettra cette prise en charge. L’employeur doit s’engager à maintenir dans l’emploi le salarié formé pendant toute la période de la convention (pas au-delà comme en période normale). `
Contact : Laurent Pillard : 06 52 74 54 35 – lp@lenaconseil.com
Sabine Dechaumont (Formobilis) : 06 31 69 85 91 – sabine.dechaumont@formobilis.com
par Audrey Le Meur | 27 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Innovations
Fabricant français spécialisé dans les systèmes de gaz médicaux depuis 1977, NOVAIR (Roissy-en-France) conçoit, fabrique et exporte dans le monde entier des solutions de production d’oxygène sur site : les générateurs d’oxygène. Cette technologie éprouvée, encore peu généralisée au sein des établissements de santé européens, fait ses preuves depuis plus de vingt ans dans de très nombreux pays aux quatre coins du globe et permet de produire “in situ”, en toute autonomie, l’oxygène nécessaire aux patients. L’hôpital devient alors son propre fournisseur, à partir d’une matière première gratuite et illimitée : l’air ! En cette période de crise sanitaire majeure, et alors que la disponibilité de l’oxygène médical à l’hôpital en quantité suffisante devient une question centrale, cette solution fiable, écologique et économique, encore sous-exploitée, représente une alternative pour tous les acteurs de la santé, en conformité avec les exigences médicales et sécuritaires.
À ce jour, l’oxygène livré aux hôpitaux est majoritairement produit dans des usines puis conditionné en bouteilles ou sous forme liquide et transporté jusqu’à l’hôpital. Dans les conditions actuelles, ce schéma montre toutes ses limites. L’oxygène, produit vital en oxygénothérapie, en anesthésie et en réanimation, figure parmi l’une des principales dépenses de fonctionnement des hôpitaux en France. L’impact est également très positif au niveau environnemental : en produisant son oxygène sur site, l’hôpital s’inscrit dans une démarche éco-responsable; les multiples rotations de camions nécessaires aux livraisons de gaz sont éliminées. Autonome pour son approvisionnement en oxygène, l’hôpital élimine les risques de rupture de stock et de défaillance de la chaîne d’approvisionnement, et s’affranchit des contraintes logistiques et de manutention. Enfin, en éliminant le stockage d’oxygène en grande quantité, la production sur site à la demande améliore considérablement la sécurité et élimine les risques d’explosion associés à la manipulation de produits hautement combustibles.
Une valeur ajoutée pour tous les établissements
Déjà largement adoptés hors Europe dans de très nombreux pays, encouragés par des organismes tels que l’OMS, les générateurs NOVAIR présentent un avantage évident pour des sites isolés, ou mal desservis (Afrique, Asie ou en Amérique latine…) mais pas seulement ! Loin d’être de simples “solutions de repli”, ces dispositifs s’adressent à l’ensemble des hôpitaux français et européens nécessitant un approvisionnement en oxygène.
Dans le contexte actuel, NOVAIR souhaite mieux informer les décideurs des multiples avantages de cette technologie, afin qu’elle soit, à l’avenir, plus systématiquement considérée. L’objectif est d’encourager leur utilisation et de réussir à lever les freins existants. Comme l’explique Valérie Bokobza, Directrice Marketing du groupe, “nos solutions ont tardé à s’imposer face à l’oxygène livré en bouteilles, dans un contexte réglementaire qui a mis du temps à évoluer. Aujourd’hui, plus rien ne s’oppose, en termes de qualité du gaz produit et de sécurité, à ce que ces dispositifs médicaux certifiés ne se généralisent. Pour autant la partie n’est pas encore gagnée : il est regrettable que les appels d’offres ne permettent pas aux fabricants de cette technologie de se positionner sur l’ensemble des marchés face à la concurrence de multinationales qui imposent l’oxygène d’origine cryogénique avec un quasi-monopole sur le marché.”
Déjà, depuis quelques semaines, l’intérêt pour les générateurs s’accélèrent. Pour répondre à la demande grandissante face au Covid-19, les équipes de NOVAIR ont travaillé d’arrache-pied afin d’augmenter les capacités de production de générateurs et pouvoir ainsi satisfaire la demande mondiale.
par Audrey Le Meur | 27 Avr, 2020 | A la une, Actualitēs, Stratégie
Val d’Oise Tourisme, l’Agence de Développement Touristique, tente de réagir au mieux à cette période de grands bouleversements et de profonde incertitude en accompagnant les acteurs économiques du territoire directement touchés par cette crise. L’agence s’est attachée les services d’experts reconnus dans leurs domaines respectifs et a imaginé avec eux un programme de webinaires afin de permettre aux acteurs d’envisager, avec eux, les contours des nouveaux comportements des consommations touristiques à venir dans les périodes de post confinement. Pensés par secteurs d’activités, ces visio-conférences seront l’occasion d’évaluer les impacts, d’imaginer les programmes de relances, d’échanger des initiatives.
Programme webinaires Covid-19 par Val d’Oise Tourisme
Webinaire spécial Hôteliers et hébergeurs
« Définir ses objectifs opérationnels / grille tarifaire / CGV et CPV »
Date & heure : jeudi 30 avril 2020, de 10h à 12h
Intervenant : Guest & Stratégy – Jérôme FORGET
Nombre de places : 15 max
Webinaire spécial Sites & activités culturels
« Musées confinés : Assurer sa présence en ligne par un parcours digital adapté »
Date & heure : mardi 5 mai 2020, de 14h à 16h
Intervenant : Correspondances digitales – Antoine ROLAND
Nombre de places : 20 max
Webinaire spécial Offices de Tourisme & PNR
« Identifier les impacts de la crise pour ma structure / Prioriser les défis / Quelles ressources internes et externes ? »
Date & heure : jeudi 7 mai 2020, de 14h à 16h
Intervenant : CEPI Management – Frédéric LANGLOIS
Nombre de places : 15 max
Webinaire spécial Activités de loisirs
« Stratégie marketing et webmarketing / Politique tarifaire / nouvelles attentes et objectifs »
Date & heure : mercredi 13 mai 2020, de 10h à 12h
Intervenant : Guest & Strategy – Jérôme FORGET
Nombre de places : 15 max
Webinaire spécial Sites & activités culturels
« Musées déconfinés : Repenser le parcours (physique et digital) Client »
Date & heure : mardi 26 mai 2020, de 14h à 16h
Intervenant : Correspondances digitales – Antoine ROLAND
Nombre de places : 20 max
S’incrire : https://pro.valdoise-tourisme.com/informations-covid-19/inscription-webinaires-val-doise-tourisme/
Pour consulter les replays : https://pro.valdoise-tourisme.com/informations-covid-19/tous-les-replays-et-podcasts-des-webinaires/