Que la force du burger soit avec vous !

Que la force du burger soit avec vous !

En mal de restaurant ? Rendez-vous chaque midi à la Fourgonnette, food truck spécialisé dans les burgers artisanaux et frites maison, à base de produits locaux. Matthieu et Mathieu se partagent entre Sannois (leur ville d’origine), Ermont, Deuil la Barre et la Défense tous les midis, avec une carte de quatre délicieux burgers « home made », dont un végétarien. Ces deux amis, qui se sont connus au collège, ont tout plaqué pour acheter leur premier camion en 2017 et s’apprêtent à faire l’acquisition d’un second truck.

L’un était commercial, l’autre faisait de la veille informatique. Au détour d’un voyage en Australie, puis d’un second périple en Asie, ils découvrent la street food. « L’idée de bouger tous les jours nous a donné envie. » Ils plaquent leur job respectif : l’aventure est lancée. Les deux compères négocient pour pouvoir s’installer à des emplacements stratégiques : les mardis et jeudi à la Défense (métro Esplanade), le mercredi et samedi à Deuil la Barre (place des Victimes du V2 près de l’église), le vendredi à Ermont (6 rue des Métiers), le dimanche au marché de Sannois face à la mairie, et le lundi à Sannois (place de la mairie). La clientèle est au rendez-vous chaque midi, de 11h à 14h30.

Matthieu Crastres et Mathieu Dezeque ont fait dès le départ le choix des produits locaux.  » On ne voulait pas être un camion à frites de plus. Chez nous tout est fait maison, avec des produits frais, locaux, de qualité et un choix de burgers volontairement réduit. On retrouve le traditionnel cheeseburger, le Despérado de Tijuana à base de chorizo, un peu pimenté, ou encore le Yeti, avec du fromage à raclette, qui laissera bientôt place à une nouvelle recette de saison. Le pain et la viande nous sont livrés par deux commerçants voisins, les pommes de terre et les légumes viennent d’Attainville et la bière (une blonde), est signée Terra Bière (Deuil la Barre). Très appréciée des clients, brassée de façon artisanale, elle est estampillée du logo la Fourgonnette. »

Malgré l’impossibilité d’ouvrir en soirée à cause du confinement, la recette fonctionne à merveille et la clientèle s’arrache les burgers. A tel point qu’un deuxième camion va prochainement rejoindre la flotte et que des embauches sont prévues dans le même temps, avec de nouveaux points de chute en perspective (toujours dans le Val d’Oise), qui seront officialisés dans les semaines à venir.

Facebook : La Fourgonnette
lafourgonnette95@gmail.com
Contacts : 06 01 02 42 32 – 06 95 40 93 29

Le Département soutient l’implantation de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy 

Le Département soutient l’implantation de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy 

Les élus du Département ont décidé d’apporter un soutien de 6 millions d’euros au projet d’implantation de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy (ENSAPC). Pour bénéficier pleinement de la dynamique du Campus international de Cergy-Pontoise, la nouvelle école de 6200 m² sera construite à proximité immédiate de l’Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales (ESSEC), en lisière Sud du Parc François Mitterrand, en face du site du Conseil départemental. L’ENSAPC travaillait depuis 2016 à la programmation d’un nouveau site répondant à ses besoins actuels et futurs. Le projet comprendra notamment des salles de pratiques artistiques et d’enseignement, des salles dédiées à des ateliers spécialisés, un espace dédié à l’administration, un Auditorium, un centre d’Art – Exposition et Diffusion, ainsi qu’un centre de documentation spécialisé. Les travaux débuteront en février 2024. L’objectif d’une ouverture des locaux est fixé à la rentrée universitaire de 2025.

« L’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, créée en 1975 à Cergy, contribue fortement au rayonnement et à l’attractivité du territoire, étant la seule école d’Art d’Ile-de-France localisée en dehors de Paris. Le bâtiment qui accueille actuellement l’ENSAPC est une passoire énergétique et ne répond plus correctement aux enjeux de l’apprentissage des formes et pratiques émergentes des arts visuels, sonores et vivants. C’est pourquoi il a été décidé de construire un nouveau bâtiment qui permettra à l’école d’accueillir 250 étudiants dans des espaces de meilleure qualité et mieux adaptés aux nouvelles pratiques pédagogiques. Ce nouveau projet d’école contribue à l’attractivité et au développement du Campus international valdoisien pour faire partie du Top 200 des meilleures universités mondiales », souligne Marie-Christine Cavecchi, Présidente du Département du Val d’Oise.

Confirmant l’ancrage territorial de l’école, alors que d’autres territoires franciliens s’étaient montrés intéressés pour accueillir l’école, ce projet vise également à renforcer l’intégration du site dans le Campus international valdoisien, à accentuer les collaborations avec les autres établissements d’enseignement supérieur, et à redynamiser l’accueil du public valdoisien.

 

Tribunal de commerce recherche juges consulaires

Tribunal de commerce recherche juges consulaires

Vous êtes chef d’entreprise ou cadre dirigeant ? Votre entreprise est immatriculée dans le Val d’Oise ou dans un département limitrophe ? Vous êtes motivés pour vous mettre au service de la justice économique ? Vous pouvez rendre service à la collectivité et permettre aux entreprises de résoudre leurs litiges et les orienter pour les aider à surmonter leurs difficultés. Devenez juge consulaire et rejoignez le tribunal de commerce de Pontoise. La justice commerciale ne peut continuer à fonctionner sans le dévouement des chefs d’entreprise ou des cadres dirigeants. Cette année encore, le tribunal de Commerce recrute 5 nouveaux juges d’ici la mi-mai.

Le tribunal de Commerce est compétent pour juger les litiges entre « commerçants » (entreprises industrielles ou de services de toutes tailles, banques, commerce de détail…) et pour décider du traitement des entreprises en difficulté (sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire). C’est la justice des entreprises, rendue par les représentants des entreprises. Le tribunal de commerce de Pontoise a compétence pour le département du Val d’Oise. Composé de 50 juges consulaires, il relève de la cour d’appel de Versailles.

Qui peut être juge consulaire ?

Le tribunal de commerce est composé de juges élus parmi les cadres dirigeants des sociétés industrielles ou commerciales, grandes ou moyennes, les chefs d’entreprise petites ou moyennes. Le juge consulaire exerce sa mission à titre bénévole, pendant 18 ans au maximum dans le même tribunal.

Quelles sont les conditions d’éligibilité ?

  • Avoir au moins 30 ans (limite d’âge pour siéger en qualité de juge : 75 ans)
  • Nationalité française
  • Etre inscrit sur les listes électorales utilisées pour l’élection quinquennale aux chambres de commerce et d’industrie et des délégués consulaires dans le ressort du tribunal ou d’un tribunal limitrophe.
  • Pouvoir justifier à ce titre : soit d’une immatriculation personnelle au registre du commerce et des sociétés pendant 5 ans. Soit, pendant 5 ans au moins, de l’exercice d’une fonction de dirigeant social ou de cadre de responsabilité d’une entreprise.
  • Le candidat chef d’entreprise ou la société dans laquelle le cadre dirigeant exerce ses fonctions ne doit pas faire l’objet d’une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire en cours.
  • Casier judiciaire vierge
  • La fonction de juge consulaire est incompatible avec tout autre mandat électif (conseiller prud’homme, conseiller municipal, départemental, régional, parlementaire…) et avec les fonctions d’avocat, notaire, huissier de justice.

Pour plus de renseignement ou pour candidater : Tél. : 01 72 58 75 20 – P.tco-pontoise@justice.fr

Hommage à Gérard Claudel, fondateur du Parc naturel régional du Vexin

Hommage à Gérard Claudel, fondateur du Parc naturel régional du Vexin

Ancien maire d’Ennery et figure emblématique du Vexin, Gérard Claudel est décédé le 25 mars dernier, à l’âge de 96 ans. De nombreux élus et Valdosiens ont rendu hommage à l’ancien maire d’Ennery et président du Parc naturel régional du Vexin français, qui a investi 35 ans de sa vie au Conseil général, 16 ans à la présidence des Maires du Val d’Oise et 48 ans à la ville d’Ennery, de 1960 à 2008.

Agriculteur de profession, Gérard Claudel s’était lancé en politique dès le début des années soixante. Connu pour son franc parler, ce cultivateur, à la taille et la carrure impressionnante, était devenu en 1976 conseiller général du canton de la Vallée du Sausseron jusqu’en 2008 et a été l’un des instigateurs de la création du Parc naturel régional du Vexin français en 1995, qu’il a présidé jusqu’en 2011. Très attaché à ce territoire rural du Val-d’Oise, Gérard Claudel était un vrai défenseur du Vexin français. Il avait su savamment préserver les atouts de ce territoire tout en le développant sans le dénaturer, faisant bloc face à l’urbanisation galopante de l’ex-Ville nouvelle.

Friches industrielles : bientôt dans Contact Entreprises…

Friches industrielles : bientôt dans Contact Entreprises…

Le prochain numéro de Contact Entreprises est en préparation, avec un dossier sur les friches et sites industriels sur le département : quel devenir pour ces terrains ou anciens bâtiments abandonnés, suite à l’arrêt des activités qui y étaient exercées ? comment leur donner une seconde vie alors que la dépollution et la viabilisation de ce type de terrains engendre souvent un coût important pour la collectivité… ? En attendant d’en découvrir davantage, extrait d’un article tiré de notre précédent numéro de février – mars.