Komeres nous alerte sur l’e-réputation

Komeres nous alerte sur l’e-réputation

Le Club ACE et Initiative 95 ont organisé mardi matin un petit déjeuner sur l’e-réputation, en présence de David Cruchon, dirigeant de la société Komeres, spécialisée dans le digital et la gestion des réseaux sociaux.  David a mis l’accent sur les témoignages clients, élément d’importance à exploiter au maximum, que l’on soit une grande ou une petite entreprise. Près de 40 personnes ont répondu présent à cette invitation. Cette rencontre s’est déroulée au Comité départemental du tennis du Val d’Oise à Cergy.

C’est un constat : Internet a changé le rapport des consommateurs avec les marques, les produits ou les services. Le parcours d’achat a évolué. Aujourd’hui, le consommateur va souvent se connecter à Internet et effectuer des recherches sur le produit en question ; recherches qui pourront influencer sa décision. Dans ce contexte, un nouveau concept a émergé : celui de l’e-réputation, ou réputation en ligne. Il s’agit de l’image véhiculée (ou parfois subie !) par une entreprise, une marque, un produit ou même un individu sur Internet. Elle est devenue incontournable, au point même que plus aucune entreprise, aussi petite soit-elle, ne peut l’ignorer.

Pour gérer sa réputation en ligne, il faut tenir compte de plusieurs facteurs et être sur plusieurs fronts à la fois. En premier lieu il y a, évidemment, les réseaux sociaux. Une bonne gestion de ces plateformes est cruciale. Il suffit parfois d’un tweet négatif d’un client qui aurait eu une mauvaise expérience pour faire fuir les prospects. Dans cette même lignée, les avis utilisateurs sont eux aussi primordiaux.

Comme l’a expliqué David Cruchon, nous avons déjà tous acheté sur Amazon. Imagineriez-vous acheter la première lampe de chevet de la liste, sans d’abord comparer les caractéristiques avec les dizaines d’autres lampes disponibles, proposées par des dizaines d’entreprises ? Et sans lire les avis clients, éliminant peut-être même directement les articles sans commentaires ? Les avis clients sont devenus essentiels pour une marque, car ils sont désormais un point de référence décisif pour les acheteurs potentiels. En la manière chaque entreprise se doit de passer à l’action pour essayer de collecter un maximum d’avis positifs et les gérer de façon pertinente.

Cependant, beaucoup de petites entreprises ont peur d’avoir des avis négatifs. Cela n’est pas si improductif que ce que l’on pourrait penser. En effet, un produit ou une entreprise qui ne reçoit que des éloges, sans aucune critique, cela peut sembler suspect. Il faut veiller à encourager les clients à poster des commentaires sincères et nuancés : un client peut être globalement satisfait, mais il peut toutefois trouver des éléments à améliorer, avoir détecté des petits couacs dans l’utilisation, ou encore avoir trouvé le service client peu sympathique. Ces critiques peuvent aider à améliorer et prouver votre volonté de satisfaire le client en répondant et en vous efforçant de résoudre le problème évoqué. Autre élément important : suite à un avis positif, ne pas publier de remercier celui ou celle qui a posté le message, cela fait toujours plaisir.

Pour connaitre toutes les bonnes pratiques et en savoir plus sur le sujet  : http://www.komeres.fr/ Tél. : 01 85 76 65 30

Les acteurs du bâtiment sensibles aux enjeux du développement durables

Les acteurs du bâtiment sensibles aux enjeux du développement durables

Dans le cadre de la semaine Européenne du développement durable et pour nourrir la réflexion sur la transition énergétique, s’est tenue mardi 28 mai à Taverny une matinale dédiée à cette thématique avec plus de 70 personnes, élus, maitre d’œuvre, maitre d’ouvrage, entreprises et partenaires économiques, organisée par la FFB 95.

EKOPOLIS a tout d’abord présenté la démarche Bâtiment Durable Francilien (BDF) qui s’appuie sur des commissions composées de maitres d’ouvrages publics/privés, de Fédération dont la FFB, d’architectes, d’ingénieurs, d’AMO et vise à favoriser les relations entre chaque structure avec comme axe le développement durable. Elle accompagne les maitres d’ouvrage publics et privés sans distinction.

Une table ronde était consacrée ensuite aux véhicules utilitaires propres. Jean-Philippe DUGOIN-CLÉMENT, Vice-Président du Conseil Régional d’Ile de France a rappelé les engagements de l’Ile de France dans la démarche du développement durable qu’il s’agisse des véhicules mais aussi de la construction ou de la rénovation des bâtiments. Steve GIGUET, directeur technique GNV Iveco France, a ensuite expliqué la démarche, les projets, la gamme et l’ensemble des solutions GNV proposées par le groupe. De manière très concrète, Laurent Galle, PDG des Etablissements NOBLET a témoigné au travers de l’expérience de sa société et évoqué les raisons de ses choix de véhicules GNV principalement. Pour finir, Pierre Jean NAVELLOU, Mercedez-Benz France a évoqué l’approche alternative électrique au travers les objectifs Européens (malgré la problématique des batteries qui rend encore délicat le passage au tout électrique) et Hervé FOUCARD, pour la Mairie de Paris, a expliqué la démarche dans laquelle la ville s’était engagée et les résultats obtenus et attendus à terme.

Un point essentiel a émergé et permis aux élus locaux de prendre conscience d’une nécessité cruciale pour répondre aux attentes des besoins des VI GAZ ou électrique : « Développer les bornes et les réseaux nécessaires car sans cela il est évident que l’on ne pourra répondre aux objectifs de développement ! » 

La matinée s’est conclue par la remise et la présentation du 13e Palmarès de la construction durable en Val d’Oise, organisé par le CAUE 95, l’OGB 95 et la FFB 95.

Cette année les prix ont été les suivants dans les catégories :

Equipements scolaire/petite enfance :Crèche des Cordeliers, Ville de PONTOISE, Ateliers OS architectes.

Logements individuels : Maison de Particulier, Architecte Philippe BOURILLET

Logements collectifs : Logements sociaux MENUCOURT, Val d’Oise Habitat, Atelier Arago

Espaces publics : Place FINOT, Ville d’ANDILLY, Yuli ATANASSOV

Téléphone 01 34 20 11 90
ffbvo@d95.ffbatiment.fr 

CapPigeon : finies les nuisances en ville !

CapPigeon : finies les nuisances en ville !

C’est un vrai fléau dans les villes et pour certains habitants. Installés en colonies bruyantes, les pigeons provoquent des dégradations et peuvent transmettre des maladies comme la salmonellose. Ils sont responsables de salissures er de mauvaises odeurs à cause de leurs déjections. Yannick Faure, dirigeant de la société CapPigeon, exerce un métier peu connu  : piégeur agréé de pigeons et de nuisibles, convaincu que la capture est la meilleure solution, à la fois pour contrôler les populations et préserver la biodiversité. Sa société est installée à Frépillon. 

Trois raisons incitent les pigeons à s’installer quelque part : nidifier, se reposer et manger. Quand ils trouvent un lieu qui leur convient, ils ne se déplacent plus ! Pour les déloger, beaucoup de villes font appel à lui. Ce spécialiste qui connait parfaitement leurs modes de vie et leurs habitudes ne manque pas de subterfuges. Il dispose de nombreux engins et outils pour capturer les pigeons et attirer les congénères comme l’utilisation de faux spécimens ou de cages à portes télécommandées pour piéger les volatiles.

Le piégeage, une méthode efficace 

La technique est infaillible : Yannick Faure, qui a repris la société créée par son père jean-Luc, installe des pigeonniers dans les villes et parcs municipaux pour éviter qu’une trop grande population de volatiles ne s’y développe. Dans cette maison pour les pigeons, de la nourriture est disposée pour les attirer. Une fois qu’une population assez importante est installée, elle est capturée et déplacée. Le pigeonnier est nettoyé et remis en service jusqu’à ce qu’une nouvelle colonie s’approprie les lieux.

La volière ou les cages (toutes de fabrications artisanales réalisées par Cap Pigeon) ne servent qu’à la capture. Elle sont installées par exemple sur les toits de HLM, sur les rebords de fenêtre, les monuments… Une fois rentrés, les pigeons ne peuvent plus sortir. Lors de ses interventions, Yannick Faure porte des équipements de protection : combinaison intégrale, masque anti-poussière, gants jetables…

Le piégeage permet de réguler et contrôler les populations sans les éradiquer. Les techniques d’effarouchement sont très efficaces en complément. Après la capture, les pigeons sont déplacés chez des professionnels (colombophiles, associations de chasses, fauconniers…). Les pigeons trop malades sont euthanasiés en dernier recours, afin d’éviter les risques de propagation de maladies.

Dès qu’une volière est installée, de nombreuses captures sont réalisées. « Mais la nature n’aime pas le vide, souligne le dirigeant, et il y a toujours d’autres espèces ou d’autres pigeons qui essaient de prendre place. Comme je suis déjà installé, je peux intervenir immédiatement ! »

Tel :   01 39 47 85 08 – cappigeon@hotmail.com

 

Les 3h du GARAC donnent rendez-vous aux amateurs de voitures anciennes

Les 3h du GARAC donnent rendez-vous aux amateurs de voitures anciennes

La 5e édition des « 3 HEURES DU GARAC » aura lieu le Samedi 25 Mai 2019 de 9h à 12h. Cette matinée réunit chaque année toujours plus de visiteurs et de voitures. En 2018, plus de 1 100 visiteurs se sont pressés pour découvrir les 250 véhicules exposés. Seule règle pour le rassemblement des « 3 heures du GARAC » : la passion des véhicules historiques et d’exception.

Élèves et apprentis du GARAC, professeurs, entreprises partenaires de l’école, nombreux anciens élèves, clubs de collectionneurs se mélangent durant cette journée, créant une ambiance à la fois joyeuse et bienveillante. Parmi les 250 véhicules exposés l’an dernier : une Ford T 1923, une Brissonneau et Lotz de 1954, une Buick Invita 1960, une Mercury Cougar 1967 et aussi des Cadillac, Porsche, Maserati, Ford Mustang, Rolls, Jaguar, Renault, Citroën, et des youngtimers.

Chaque année, le parc des véhicules exposés se renouvelle à plus de 70 %, ce qui attire à la fois de nouveaux visiteurs et en fidélise d’autres. Un départ groupé permettra aux véhicules de parader dans les rues d’Argenteuil. Pour vous inscrire en tant qu’exposant ou visiteur, https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScKBoUfatyRT1LDsiF2TmGs65svm9nJR9fAGy0judbrwtxAYw/viewform

GARAC 3 boulevard Galliéni – 95100 ARGENTEUIL

Premiers contacts pour les entreprises de Frépillon

Premiers contacts pour les entreprises de Frépillon

Vendredi 17 mai, la Communauté d’agglomération Val Parisis organisait un buffet convivial sur la nouvelle zone d’activité de Frépillon, Les Epineaux, en présence des entreprises fraichement installées et de celles en cours d’implantation. Yannick Le Boedec, Maire de Cormeilles-en-Parisis et Président de la Communauté d’agglomération Val Parisis et Bernard Tailly, maire de Frépillon, assistaient à cette rencontre conviviale. L’objectif : créer du lien entre les acteurs économiques de la zone.

L’initiative, coordonnée par Laëtitia Arès, chargée de la commercialisation des locaux en zone d’activité au sein de la Communauté d’Agglomération Val Parisis, a réuni le temps d’un déjeuner les dirigeants d’entreprise de Frépillon pour leur permettre de se rencontrer, d’échanger, de mettre en place des synergies au fil du temps… Le traiteur Arometsaveurs, installé sur le parc, assurait le buffet. Pour divertir les participants et permettre des connexions plus faciles, des jeux en bois et un circuit de voitures géant avaient été installés pour l’occasion. L’hôpital de Pontoise, représenté par Pauline Amoudry, a présenté en quelques mots son 2e open de golf caritatif au bénéfice des patients de l’hôpital, qui se déroulera au golf de Domont.

Le parc des Epineaux prend forme et compte déjà 12 lots bâtis en exploitation. Six autres sont en cours de travaux et cinq, de préparation. L’ensemble des bâtiments se révèle d’une belle qualité architecturale, au coeur d’un parc paysager très agréable, au pied de la N184. Parmi les constructions attendues, un bâtiment de 17 000 m2 sortira bientôt de terre, et en 2020, plus de 60% des surfaces sont ainsi bâties, générant quelque 500 emplois.

« Le premier à avoir investi la zone est Daito Kasei, a précisé le maire. Ils étaient pionniers. Depuis, le développement du parc a bien avancé. Nous avions prévu une décennie pour remplir la zone : le défi sera tenu puisqu’en 2023, l’ensemble de la zone sera construit. »

https://www.valparisis.fr