par Audrey Le Meur | 2 Déc, 2020 | A la une, Actualitēs, Emploi
Basée à Saint-Ouen l’Aumône, cette PME fait partie d’un groupe de formation Travaux Publics, initié par le syndicat des TP du Val d’Oise SVOETP, lui-même adhérent au GEIQ. C’est par cet intermédiaire que l’entreprise d’une trentaine de salariés, spécialisée dans les travaux d’assainissement et de voirie, est entrée en relation avec le groupement et a pu embaucher le jeune Musa Abdelmula. Chargé d’exploitation au sein de l’entreprise, Rodolphe Dequatre est à l’origine de ce recrutement, qui colle parfaitement aux attentes de la PME. Il nous explique la manière dont s’est déroulé le processus.
Comment s’est orchestrée la mise en relation avec le GEIQ ?
Notre dirigeant appartient au Syndicat Val d’Oisien des entreprises de TP, qui organise des rencontres régulières, pour évoquer des sujets communs, comme les problématiques liées à l’emploi. Le BTP est un secteur sinistré : la main d’œuvre qualifiée est difficile à trouver. En relation avec le GEIQ IDF, le Syndicat nous a permis de participer à une table ronde pour identifier des candidats, en mode “speed meeting”. Nous avons répondu présents. J’y ai pris part avec un autre chargé d’affaires de l’entreprise.
Quels critères privilégiez-vous ?
On ne cherche pas uniquement des profils qualifiés, mais plutôt du savoir-être, du courage, de la ponctualité, de la motivation, des qualités essentielles ! On ne s’occupe pas du passé des candidats, mais de ce qu’ils souhaitent faire de leur avenir. Nous avons en permanence des postes ouverts chez nous : manœuvre, poseur – canalisateur, maçon, VRD, conducteur d’engins, chef d’équipe, chef de chantier, géomètre… Nous avons senti chez Musa l’envie de nous rejoindre.
Lors de l’entretien, il a fait preuve de transparence : sans qualification particulière, il avait déjà eu quelques expériences dans le bâtiment. De ce fait, il savait à quoi s’attendre et n’avait peur ni des horaires, ni des conditions de travail en extérieur. Finalement, ce choix s’est avéré le bon. Musa a démarré de zéro mais a beaucoup appris. Il évolue depuis plusieurs mois avec nous, le courant passe bien. Le chef de chantier qui le suit en est très content. Quand sa formation de 12 mois se terminera, il y aura très probablement des perspectives d’embauche qui l’attendent.
Quels avantages le GEIQ apporte-t-il ?
Les équipes du GEIQ assurent le suivi et l’encadrement des salariés, en plus de celui réalisé par l’entreprise dans le cadre de son activité. Musa bénéficie d’une formation, un vrai plus qui va lui permettre de valider ses acquis, de se confronter à autre chose qu’à l’univers de l’entreprise. C’est aussi une manière de le fidéliser. Administrativement, les démarches sont réellement simplifiées pour l’entreprise. Les GEIQ ne sont pas connus de toutes les entreprises mais proposent un service et une expérience réellement intéressantes pour les PME en mal de candidats.
VOTP – 20, avenue du Fief – 95310 Saint Ouen L’Aumône – Tél. : 01 34 64 61 13
Lire également le témoignage de Karine Heudre du GEIQ Ile-de-France
Embaucher par l’intermédiaire d’un GEIQ : une alternative gagnante
MEMO : pour aller plus loin
Le GEIQ : Une démarche collaborative pour recruter et former
Définition du GEIQ
“Le GEIQ est un Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification, une association pilotée et gérée par ses entreprises adhérentes …Le GEIQ organise des parcours d’inclusion économique adaptés aux besoins des salariés et des entreprises adhérentes en favorisant l’insertion et la qualification de publics éloignés de l’emploi” (Source : fédération française des GEIQ). L’appellation “GEIQ”, régie par un décret du ministère du travail, est renouvelée tous les ans.
Les modalités de la démarche collaborative
- L’entreprise accueille le salarié mis à sa disposition par le GEIQ dans le cadre d’un contrat en alternance. Elle permet au salarié d’assister aux formations prévues dans le parcours d’insertion bâti par le GEIQ. Elle peut recruter le salarié en fin de parcours.
- Le salarié est rémunéré par le GEIQ qui facture sa présence à l’entreprise. Il est suivi par le GEIQ du début à la fin et bénéficie d’un accompagnement social si nécessaire.
- L’OPCO associé en amont finance en grande partie les formations du parcours du salarié.
Quelles entreprises ? Toutes entreprises rencontrant des difficultés de recrutement et qui adhèrent au GEIQ.
Quels publics ? Tout public souhaitant acquérir une qualification et un emploi.
Quels contrats ? Des contrats en alternance, principalement le contrat de professionnalisation, d’une durée de 6 à 24 mois.
Quels secteurs d’activité ? Tous les secteurs d’activité à forte demande de main d’œuvre
Sur quels territoires ? Partout en France
par Audrey Le Meur | 2 Déc, 2020 | A la une, Actualitēs, Emploi
Karine HEUDRE est directrice du GEIG IDF, groupement francilien d’employeurs, spécialisé dans le domaine du bâtiment, des travaux publics et de l’énergie. Comme les 170 GEIQ déjà existants dans l’hexagone, ce collectif joue le rôle d’un service RH externalisé au profit des entreprises adhérentes. Les GEIQ existent dans des domaines d’activités diverses, souvent en tension, afin d’aider les entreprises à trouver des collaborateurs, tout en favorisant un public prioritairement éloigné de l’emploi. Encore mal connus, ces groupements font preuve d’une redoutable efficacité : ils répondent aux besoins de secteurs où les recrutements s’avèrent souvent délicats et offrent des opportunités de formation et d’embauche à des candidats peu ou pas qualifiés.
Elle nous en explique le fonctionnement.
Un GEIQ, qu’est-ce que c’est ?
Le groupement est une association d’entreprises adhérentes, qui en assurent la direction, fixent les orientations, tout en bénéficiant de ses services et prestations. Les entreprises qui prennent part à ce projet associatif parient sur le potentiel de candidats pour résoudre leurs problématiques de recrutement. A l’origine, le GEIQ a été créé par Vinci, rapidement rejoint par d’autres grands groupes du BTP, avant de s’ouvrir à des PME – PMI. Nous gérons actuellement quelque 200 salariés.
Concrètement, de quelle manière le GEIQ intervient-il en support de l’entreprise ?
Pour remplir ses missions, le GEIQ s’appuie sur une équipe de permanents. Lorsqu’une entreprise adhérente exprime un besoin, le collectif engage des démarches, en mobilisant les acteurs de l’emploi du territoire (Pôle Emploi, missions locales, tissu associatif…) et effectue une pré-sélection. Les candidats identifiés et retenus suivent ensuite un parcours de formation sur-mesure (dans le cadre d’un contrat de professionnalisation ou d’apprentissage de 6 à 24 mois). Celui-ci est signé avec le GEIQ, qui porte le risque et prend en charge tout l’aspect administratif. Le programme de formation proposé répond précisément aux besoins de l’employeur et permet au salarié d’acquérir des savoir-faire inhérents à son poste. Ces parcours modulaires adaptés, élaborés avec des centres de formation partenaires, permettent la plupart du temps d’obtenir une qualification reconnue par la convention collective. A l’issue de cette période d’accompagnement et de mise à disposition, les entreprises ont la possibilité d’embaucher directement le salarié si elles le souhaitent et ainsi de reprendre la main.
Et côté salarié ?
Nous assurons un accompagnement à la fois professionnel et social. Des difficultés peuvent venir se greffer, au niveau familial, financier, médical… Certains ont des problématiques de logement, de transport, d’autres sont sous main de justice, autant de freins à lever… Nous avons aussi des jeunes réfugiés, avec lesquels il faut briser la barrière de la langue. Pour autant, et bien que 70% des publics concernés soient sans diplôme, tous ont la volonté commune de s’investir pour obtenir un vrai métier. Nos chargés de mission les suivent, à la fois en entreprise – où ils sont chapotés par un tuteur – pour s’assurer de leur intégration, de leur progression – mais aussi dans leur quotidien, afin de les aider à surmonter d’éventuelles difficultés personnelles. Si besoin, nous mettons en place une préparation opérationnelle à l’emploi, dispositif préalable au contrat d’alternance. Chaque formation est étudiée en privilégiant des programmes basés sur l’apprentissage par le geste, plutôt que la théorie. Nos équipes sont toujours présentes aux côtés des salariés pour les remobiliser quand elles sentent une baisse de motivation. Cet accompagnement personnalisé tout au long du parcours permet sa réussite.
Et au terme du contrat ?
En 2019, 79% des salariés ont été embauchés par l’entreprise à l’issue de leur contrat. Pour une grande majorité, la sortie est positive et l’aventure se poursuit. Pour ceux qui n’auraient pas pu se voir proposer un CDD ou un CDI par leur employeur, nous avons créé un GEC, structure qui accueille les salariés ayant été formés par le GEIC, mais toujours à la recherche d’une mission. Ils sont remis à la disposition d’autres entreprises adhérentes, sans besoin de nouvelle formation.
Le GEIQ est-il actif dans le Val d’Oise ?
Le groupe Bouygues, adhérent au GEIQ IdF, nous a déjà mobilisés sur plusieurs chantiers, notamment celui du Tribunal de Grande Instance de Paris, et plus récemment, celui des Trois Fontaines, qui imposait un certain nombre de clauses sociales. Les besoins identifiés étaient ciblés sur le gros œuvre, avec, notamment, des postes de coffreurs bancheurs. Huit personnes ont été retenues à l’issue des sélections, avec la perspective d’un titre professionnel en fin de contrat. Nous travaillons également avec la société VOTP, par l’intermédiaire du syndicat des Travaux Publics du Val d’Oise (lire témoignage ci-contre).
Contacts : Karine Heudre – GEIQ Ile de France au 01 79 63 81 40 – kheudre@geiqidf.fr
Dans le département, d’autres groupements sont actuellement à l’étude, avec la création d’un GEIQ Industrie en réflexion. L’objectif est de répondre à la pénurie de main d’œuvre qualifiée que connait le secteur. Le projet est mené par la Plateforme d’Appui RH qui a déjà initié des solutions de formation sur-mesure à destination des industriels, pour répondre à leurs besoins spécifiques. La plateforme d’appui RH souhaite aujourd’hui aller plus loin en formalisant un GEIQ, de manière à pérenniser ce type d’actions. Le projet mobilise plusieurs industriels, intéressés par la démarche. L’étude devrait se terminer en février 2021 pour un démarrage effectif au printemps 2021.
Tatiana CORREIA : Chargée de projets – Appui aux PME Industrielles – Plateforme d’Appui RH au 01 34 41 70 87 – t.correia@associationavec.fr
A lire également le témoignage de VOTP
Témoignage : la société saint-ouennaise VOTP fait appel au GEIQ IdF
MEMO : pour aller plus loin
Le GEIQ : Une démarche collaborative pour recruter et former
Définition du GEIQ
“Le GEIQ est un Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification, une association pilotée et gérée par ses entreprises adhérentes …Le GEIQ organise des parcours d’inclusion économique adaptés aux besoins des salariés et des entreprises adhérentes en favorisant l’insertion et la qualification de publics éloignés de l’emploi” (Source : fédération française des GEIQ). L’appellation « GEIQ », régie par un décret du ministère du travail, est renouvelée tous les ans.
Les modalités de la démarche collaborative
- L’entreprise accueille le salarié mis à sa disposition par le GEIQ dans le cadre d’un contrat en alternance. Elle permet au salarié d’assister aux formations prévues dans le parcours d’insertion bâti par le GEIQ. Elle peut recruter le salarié en fin de parcours.
- Le salarié est rémunéré par le GEIQ qui facture sa présence à l’entreprise. Il est suivi par le GEIQ du début à la fin et bénéficie d’un accompagnement social si nécessaire.
- L’OPCO associé en amont finance en grande partie les formations du parcours du salarié.
Quelles entreprises ? Toutes entreprises rencontrant des difficultés de recrutement et qui adhèrent au GEIQ.
Quels publics ? Tout public souhaitant acquérir une qualification et un emploi.
Quels contrats ? Des contrats en alternance, principalement le contrat de professionnalisation, d’une durée de 6 à 24 mois.
Quels secteurs d’activité ? Tous les secteurs d’activité à forte demande de main d’œuvre
Sur quels territoires ? Partout en France
www.Lesgeiq.fr
www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031047402&categorieLien=id
(Arrêté du 17 août 2015 relatif aux modalités de reconnaissance des groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification) »
par Audrey Le Meur | 1 Déc, 2020 | A la une, Actualitēs, Le Magazine
Une lumière au bout du tunnel : Paris portera les couleurs de l’olympisme en 2024 ! Cette échéance est, nous l’espérons tous, la promesse d’un monde meilleur, où l’épidémie ne règnera plus en maître. C’est aussi la perspective d’une grande rencontre, prête à faire vibrer les cœurs, une formidable fête pour le territoire, qui bénéficiera d’une mise en lumière durant ces quelques semaines. Le département espère profiter de ces retombées économiques et déploie d’ores et déjà une stratégie active pour en récolter les fruits. Pour toutes ces raisons et parce qu’un peu d’optimisme fait du bien, les Jeux de 2024 sont à la une de ce numéro.
Pour beaucoup de secteurs, ce second confinement a été un vrai coup dur. Les commerces de proximité ont dû baisser le rideau pendant un long mois, tandis que les restaurateurs ne pourront pas accueillir de clients avant fin janvier. Chacun s’est organisé, entre vente à emporter ou en ligne, click and collect… Cette période a poussé chacun d’entre nous dans ses retranchements. Une double page est consacrée à ces héros des temps modernes, qui témoignent et racontent quelles solutions ils ont réussi à déployer afin de poursuivre leur activité. Dans ce numéro, Ramesh Caussy nous raconte son parcours et l’histoire du robot Diya One, capable de filtrer l’air ambiant : une solution plus que jamais d’actualité ! A l’honneur également, l’ESAT et l’entreprise adaptée de Villiers le Bel, dont équipes conditionnent les tests sérologiques et rapides de la société AAZ. Bonne lecture à tous !
À télécharger : https://bit.ly/37t53BR
par Audrey Le Meur | 30 Nov, 2020 | A la une, Actualitēs, Investissements
Vygon, groupe spécialisé dans les dispositifs médicaux à usage unique, investit près de 2 millions d’euros dans son usine d’Ecouen afin de moderniser la chaîne de production de son cathéter artériel Leadercath. Cette modernisation des équipements est rendue possible grâce à une subvention de 800 000 € accordée par la Région Ile-de-France, suite à un appel à projets. La gamme Leadercath de Vygon était jusqu’alors réalisée entièrement manuellement, limitant ainsi la capacité de l’entreprise à faire face aux augmentations de demandes subites, comme cela a été le cas lors de la crise de Covid-19. Pour Vygon, il est indispensable de permettre aux hôpitaux franciliens de s’appuyer sur une production locale et flexible, capable de répondre rapidement à une augmentation de la demande en cas de nécessité. L’automatisation de la chaîne de production des cathéters artériels permettra à la fois de garantir une montée en charge lors de fortes demandes tout en offrant une plus grande flexibilité dans les délais de livraison. Elle devrait être opérationnel fin 2022 et génèrera la création de nouveaux emplois.
« Vygon est fier de faire partie des projets sélectionnés pour la relance de l’économie post-Covid en Ile-de-France grâce à la modernisation de sa chaîne de production, souligne Stéphane Regnault, président de Vygon. Avec l’aide accordée par la Région Ile-de-France, nous pourrons non seulement augmenter notre capacité de production, mais nous participerons aussi à la création d’emplois dans la région. »
Suite à un appel à projets lancé par la Région Ile-de-France en juillet 2020, 285 entreprises ont soumis des dossiers. 75 ont été sélectionnées pour ce premier plan auquel la région prévoit de consacrer au total 40 millions d’euros. Les entreprises sont aidées à hauteur de 800 000 euros maximum. Les aides concernent différents volets d’amélioration : modernisation des outils de travail, relocalisation d’activités, création de nouvelles unités, diversification ou optimisation de la chaîne de valeur.
Pour Vygon, il est indispensable de permettre aux hôpitaux franciliens de s’appuyer sur une production locale et flexible. Cette nécessité a été démontrée durant la crise sanitaire, alors que les leaders mondiaux, en difficulté face aux cadences de production demandées, ont dû se concentrer sur l’approvisionnement des hôpitaux nationaux. Dans ces circonstances, il est important pour les hôpitaux de la région de disposer d’un fournisseur local capable de répondre rapidement à une augmentation de la demande en cas de nécessité.
La modernisation de l’outil de production permettra à Vygon de fournir aux hôpitaux des cathéters de qualité, offrant une excellente transmission de la pression artérielle. Le nouvel équipement qui sera mis en place à l’usine d’Ecouen offrira une sécurité supplémentaire grâce au calibrage des mesures lors du moulage des tubes cathéters.
A propos de Vygon
Vygon conçoit, produit et commercialise des dispositifs médicaux de haute technologie à usage unique, à destination des professionnels de santé (hospitaliers et libéraux). Figurant parmi les leaders mondiaux, Vygon propose une large gamme de produits dans plusieurs spécialités cliniques. Organisé en cinq départements (Soins intensifs – Néonatalogie, nutrition entérale & Obstétrique – Thérapies intravasculaires – Cardiovasculaire & Chirurgie – Anesthésie & Urgences), Vygon allie savoir-faire et expertise locale et internationale dans chacun de ces domaines. La maîtrise de la chaîne de valeur, depuis la conception jusqu’à la formation du personnel médical, permet à Vygon d’offrir aux professionnels de santé des produits efficaces et innovants, adaptés à leurs besoins et à ceux des patients, pour une utilisation et une sécurité optimales.
Grâce à son réseau de 26 filiales et de 331 distributeurs, Vygon fournit plus de 205 millions de produits par an dans plus de 120 pays. Les produits Vygon sont fabriqués dans les onze usines du Groupe en Europe, aux Etats-Unis et en Colombie, et disposent du marquage CE et/ou FDA.
Vygon est une société familiale créée en 1962 et basée à Ecouen (Ile-de-France). Cette ETI emploie 2 350 collaborateurs à travers le monde. En 2019, son chiffre d’affaires s’est élevé à 338 millions d’euros, dont 81% à l’international.
www.vygon.com
par Audrey Le Meur | 30 Nov, 2020 | A la une, Actualitēs, Mécénat
La STIVO & Les Restos du Coeur invitent les habitants à profiter de cette période de confinement pour trier vos jouets/jeux en bon état ! Les équipes collecteront les jouets du 30 novembre au 6 décembre au profit des familles en lien avec Les Restos du Cœur.
Vous pouvez déposer vos jouets, dans le respect des règles sanitaires, au sein des Points Relais sur Cergy-Pontoise l’agglomération, partenaires de l’opération :
– Le Bus de Noël STIVO présent sur le parking de Auchan Osny du lundi 30 novembre au vendredi 4 décembre entre 12h et 14h
– Le Siège de la STIVO : 13 rue de la Tréate 95310 Ville de Saint-Ouen l’Aumône
– Certaines Mairies et autres Points Relais (liste en cours d’actualisation)
– Centre Communal d’Action Sociale de Pontoise (CCAS) avec la Ville : 34 rue Alexandre Prachay 95300 PONTOISE / Du lundi au mercredi : 8h45-112h30 et 13h30-17h / Jeudi : 13h30-17h / Vendredi : 8h45-12h30 et 13h30-16h30
– Des Points Relais au niveau des écoles sur Jouy-le-Moutier en partenariat avec la Ville et l’APEIC
En participant à ce geste du cœur, vous soutiendrez de nombreuses familles économiquement fragilisées par cette période difficile.
Pour des raisons d’hygiène, les peluches et jouets en tissu doivent être neufs, les boites de jeux, notamment les puzzles, scotchés !